Timide

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Dans un cœur qui trépigne
Tant, une plume rendu triste par le poids du regret
Accepte cette mort qui enferme les mots dans une discipline
En chantant les louanges d'un coup de foudre contre mon gré

Un regard, un baiser, tu te mets à rêver
Comme pour blâmer,
Des sentiments qui dépassent les plis d'une raison
Qui ne comprend pas la couleur des saisons
Mais ricane sur ton dos car tu ne t'es pas levé

Après avoir compris que la vie n'est pas un long fleuve tranquille
Et que de lumière à ombre, il suffit d'un battement de cils,
Afin de transmettre ce lien, qui chaque fois veut élever.

Les Maux Du Mal Où les histoires vivent. Découvrez maintenant