La vie est une œuvre sans début
Comme le silence, elle s'est tue
Dans la mort pour nous donner envie
De vivre à travers la douleur sans préavisMais l'on oublie toutes ces choses que l'on devrait voir
On cherche juste ce grand pouvoir,
Peut-être l'illusion d'un savoirUne plume à la main, je me suis fais chroniqueur
Je raconte l'histoire d'un autre, qui lui n'écrit pas sa douleur
Mais bien la mienne pour qu'à la fin je le traite de voleur
Je veux simplement me faire oublier à travers cet art
Car j'écoute pour ne pas être celui qui la narre
Je n'en suis qu'un personnage plus que l'acteur
Car de ce rôle, je ne m'en sens pas à la hauteurJ'ôte mon masque pour dire ma vérité
Le voile qui nous sépare trouble ma fierté
Pourtant, je souris à chaque lettre posée sur la feuille
Mais à la fin, je serai sûrement en deuilPuisque je note une partie de moi dans des cahiers
Chaque jour, mon âme paraît de moins en moins inquièteJe me dis, la lumière ne vient pas que des cieux
Que nos pleurs ne s'alignent qu'avec la pluie
Et le cœur n'en devient que plus obséquieux
Cela se résume par une larme chaque nuit
Je découvre, et l'encre fait disparaître mes ennuis.Apothéose...
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Les Maux Du Mal
PoésieQuels sont les différences entre mot et maux ? Vous pouvez donner votre avis sur ces textes en commentant une partie précis du texte ou le texte dans son ensemble. 10k 06/04/2019 20k 01/07/2019 30k 12/10/2019 40k 10/12/2019 50k 20/01/2020 Je vou...