Pour sauver le monde: Natsu X OC TOME 1

Première mission

La maisonnée s'était réveillée très tôt pour une mission. Nous sommes extrêmement fatiguer vu qu'hier, Levy était venu parler de mon cas. Je me brosse les dents et m'attache les cheveux en queue de cheval. J'ai enfilée un chandail et un pantalon très simple avec l'écharpe que Natsu m'avais offert. À 6h, nous sommes enfin partis pour nous dirigés vers la gare de Magnolia. Notre train partait vers 6h30. Quand le train est partie, mes maux de cœur sont revenu. Faut croire que je n'ai pas juste le mal de mer. Me sentant pas bien (Natsu n'est pas mieux), je décide de m'accoter pour dormir. Je repense aux paroles de Levy... Suis-je vraiment pas comme les autres ?

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Tu es inutile la mauviette. Arrête de te cacher derrière ton prince charmant. Tu es l'une de mes créations. Une des plus belles. Arrête de cacher ton vrai potentiel. Tu es maudite je te le rappelle. Maudite par moi ...

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Encore une fois, je me réveille en sursaut. Mon cœur battait à mille à l'heure. J'avais des sueurs froides. Natsu ne dit rien. Il m'a juste accoté contre son torse et jouait dans mes cheveux. Peu à peu je retrouve mon calme. 

(Natsu)- Veux-tu en parler ??

(Kamiku)- ...

(Natsu)- Pas grave si tu veux pas en parler maintenant

(Kamiku, à voix basse)- Je suis maudite ... Je suis juste l'une de ses créations

(Natsu)- Tu es peut-être maudite, mais ça n'a pas d'importance. Moi, je t'apprécie comme tu es. Ne te laisse pas démoraliser pour autant. Tu es spéciale et j'aime les gens spéciaux.

Après avoir repris conscience que nous étions dans un train, j'ai couru aux toilettes pour vomir un bon coup. Je ne m'adapterai jamais au moyen de transport je crois. En étant assise à côté du bol, je repensais à mon rêve et aux paroles de Levy: j'étais un démon du livre de Zeleph. Je détruirai le monde dès qu'il me l'ordonnera. J'étais une bombe à retardement. Je tuerais tout le monde sans exception... même mes amis... même Natsu ...

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Enfin arriver à destination !!! Ça fait tellement de bien de sortir de là, surtout si vous avez le mal des transport comme moi. À pied, nous nous rendons chez le client pour avoir plus d'information sur notre mission. Un peu plus tard que midi, nous étions devant sa porte ...