Chronique D'amira: Une Vie ?

partie 29

PDV de IBOU

Billay Hélène est la plus capricieuse du monde , elle n'arrête pas ses enfantillages depuis que son père m'a menacé en disant qu'il va me tuer, je me suis marié avec elle depuis trois mois mais on dirait trois siècle, n'empêche qu'elle me donne l'argent et tout son père m'envoie des chèques, chaque semaine, comme les anglais disent" i have a lot of money" j'entre dans la chambre je le trouve allongé sur le lit entrain de manipuler son portable, mais dès qu'elle aperçoit ma silhouette elle se leva brusquement , on dirait qu'elle n'attend que moi

Hélène : amour , j'ai faim et j'ai envie d'un bon Yassa au poulet

Je lui regarda , non mais elle est bizarre, il y'a deux jours de cela elle disait qu'elle n'aime pas le Yassa, nom de dieu à la fin je vais devenir dingue, sans piper mot je me lève , appelé le restaurant d'à côté pour la livraison, je reviens et je m'assois au canapé, qui se trouve à face d'elle mais on sonne à la porte et j'aille ouvrir pour prendre le Yassa que j'avais commandé, je lui apporta avec une cuillère je l'observa manger un peu et Lance

Hélène: j'ai plus faim, sakh, mais il faut qu'on se parle.

Moi: entend demain , pour l' instant je dois partir voir quelqu'un pour mon carte banquier qui a un peu de problèmes

Hélène : c'est important !

Moi: alors je t'écoute

Hélène: je veux rejoindre la maison conjugale , et retrouver ma co-épouse.

Moi: shiii Hélène n'en parlons pas à ça, d'abord ce qui m'intéresse, c'est notre enfants , je ne veux pas des querelle de jalousie ni des problème au sein de ma maison, alors reste là.

Hélène: tu penses que j'ai peur de Nafi, ah non non, je suis une femme comme elle, encore plus ton épouse, alors je dois vivre dans cette maison au même droit que Nafi, pour les disputes, ne t'en faites pas pour ça je ne vais pas qu'à même me rabaisser à ce point, et je suis sage moi

Elle veut ma mort je pense, Nafi et Hélène , dans une même maison, c'est déclaré la troisième guerre mondiale

Moi: y veillerai d'abord concentre toi sur ta grossesse, car c'est plus important

Elle : en tout cas tu es averti

Je m'habille d'un ensembles de pull , coast, me parfumé puis sortir de cette enfer

PDV de fanta

Depuis le départ de Abou je restes toujours dans ma chambre, j'arrêtes toutes les sorties alors tout ce qui m'intéresse c'est de voir Abou, il me manque déjà , avec les cours de coran ,de hadith par vendredi, dirige la prière du fadjr, ses promenades au jardin , ses caractères d'homme respectable et ses sourires qui me donnent la joie de vivre, il n'a même pas prit le soin de me dire qu'il est arrivé mais il appela mon fils , voilà c'est ça il ne m' aime pas notre amour n'est guère réciproque, alors moi comme une folle je lui avoue mes sentiments sans arrière pensée, je m'éclate en sanglots et tantôt mon fils entra

Ousmane: toujours pleurer jusqu'à quand ? Tu penses que ton fils est content de voir sa mère chérie pleurée. Peux tu m'expliquer, qu'est qui est à l'origine de ça maman depuis une semaine tu n'es plus cette femme joyeuse ,souriante que je connaissais , maman il faut que tu me parles , je suis ton fils , pas un étranger , tu es ma meilleure amie, alors dit moi maman, où est la femme forte, battante et garde toujours la tête bien haute.

Moi: ce sont les affaires des grands, je vais le régler toute seule , occupe toi de ceux qui te concerne,ce n'est pas ta vie mais la mienne

Ousmane: c'est bien je m'excuse si j'ai un peu dépassé les bornes, *en se levant*