les déménagements n'ont jamais été facile , mettre en ordre, les décorations, les équipements des meubles, mais sinon il n'a plus gros chose à faire aujourd'hui, ah j'ai oublié de vous dire, j'ai deménagé il y'a 3 jours, à OUAKAM non loin de l'appartement où vivait Ibou (partie 12) je me rappelle de cette jolie dame voilée , avec un sourire magnifique, sa fenêtre s'ouvre sur mon jardin , ce qui fais que hier j'ai la possiblité de parler avec elle , elle me disait qu'elle se souvient du jour ,on a parlé un bon moment , quand elle me promet d'y passer pour visiter la maison , ce que j'accepte sans hésitations, pour le déménagement j'en suis pour rien , c'est mon mari qui l'avait decidé, Maman Diouldé m'a tellement insulté, et pour une premiére fois , Momo dit à sa mère de me laisser , j'en suis pour rien, Yacine à cause de son frére elle n'ose pas parler, au moins elle le respecte ou même peur, je suis tellement contente, et je pense que Momo l'a decidé ainsi pour avoir la paix un peu, Maman diouldé debarquait dans notre chambre à n'importe quelle heure et encore loin sans toquer la porte, vraiment ma belle mére est pire qu'une maison étroite , je suis maintenant libre de circuler dans ma maison sans avoir des critiques, je peux passer maintenant une journée sans insultes, je sens la securité car il n'y aura pas mon beau frère qui me violerai, je peux dépenser sans qu'on me demande la monnaie, je peux préparer et manger avec appétit, j'ai supporté tout ça pendant 8 mois , sans l'aide de personne, même mon beau père ne me défendait plus quand on me critique , Ndioba etait là mais ne disait rien juste pour me consoler et me conseiller , je me sentais seul à 18 ans j'ai subit tous ces choses méchantes mais ça m'a apprit à être mature et ce qui m'interesse c'est de passer le restant de ma vie à côté de mon mari, au moins lui, il aime me voir heureuse, il me supporte malgré nos différences d'âge, il sait m'écouter et me donne des conseils. j'etais dans mes pensées quand on sonna à la porte et c'etait tante Nabou en chair et en os, j'ouvre grandement ma bouche, elle n'etait pas comme ça dans mes reves , habillé comme une grande dame , eh j'ai raté une épisode moi, aprés ma belle mère je pense que c'est elle la remplaçante , je l'invita respectueusement au jardin
moi: voulez vous boire quelque chose?
Tante Nabou: non non ma fille assit toi j'ai une chose importante à te dire?
moi: d'accord je vous ecoute
tante nabou: tu sais je suis loin d'être méchante, je ne voulais que ton bien, je sais que tu es respectueuse car tu ne m'as jamais montrer l'impolitesse, malgrè tout ce que je vous ai fais subir , j'ai compris que la vie n'est rien , depuis que j'ai découvert le vrai visage de Abou kébé, j'insistais pour te le dire car tu ne vas pas me croire , mais tant pis je vais prendre la décision de te le dire aujourd'hui
moi: oui ma tante! je vous écoute
tante: de 1 Abou m'a repudié le jour où tu as rejoint la maison conjugale * en eclatant en sanglot*
moi: calme toi ma tante
tante nabou: il m'a repudié et partir car non seulement il avait l'argent de notre défunt père c'est à dire l'entreprise n'est pas la mienne mais aussi il a épousé ma meilleure amie Fanta * en s'eclatant de plus belle*
je suis navré pour elle , vraiment aucune femme ne merite de vivre ça et elle continue
tante nabou: nous sommes allée jusqu'au tribunal , rien que pour l'argent
donc tout ça s'est passé derrière moi, donc je ne suis pas la seule à souffrir donc
tante nabou: l'argent ne m'interresse pas non pas l'argent mais le fait qu'il est en cause de la mort de tes parents c'est ce qui me fait le plus mal
moi: comment ça, tu..... veux di...re * je bégaie comme jamais*
tante nabou: oui , mamy c'est lui qui avait tué tes parents pour succéder à notre héritage , je m'en vais moi * en quittant les lieux*
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Chronique D'amira: Une Vie ?
RandomSalam je m'appelle Mamy ly, Je suis timide, intelligente et belle 100% sénégalaise mais tout à commencer après la mort de mes parents où ma tante paternelle me fait vivre l'enfer jusqu'à elle et mes autres tantes ont décidé de me marier à un cou...