Je courrais,
Je pouvais plus m'arrêter,
Je ne le voulais pas.Mes long cheveux flottaient dans le vent,
Mes grands yeux étaient rouges et brillaient grâce a mes larmes.
À cet instant présent je me sens libre. Enfin !Je cours si vite et je ne suis en aucun cas fatiguée.
Je me demande si à force de courrir je vais trouver un autre monde,
Un monde plus juste que celui ci.Je voudrais partir mais je ne peu pas.
Partir voudrait dire que ce monde aurait gagné contre moi.
Le monde s'est toujours beaucoup amusé avec moi ...Je crois qu'il test ma résistance a la douleur.
C'est pour ça que je ne peux pas abandonnée,
L'abandon c'est la défaite, et j'ai toujours été mauvaise perdante.Pourquoi ce monde est-il si cruel ?
Il est tellement fort qu'on est obligés de perdre un jour,
C'est injuste. Je veux le défier.Je ne veux plus voir personne souffrir,
Plus voir personne perdre contre lui.
Je cours de plus en plus vite,Je me sens si libre comme si tous mes problèmes s'envolaient.
Je ne perdrais pas, jamais, je ne peux pas !
Je dois vaicre ce monde et sauvé toutes les personnes qui sont tombées dans son piège.Je ferme mes yeux l'espace d'un instant,
Je continue de courrir, toujours plus vite,
Mes pensées s'embrouillent, je sais que c'est impossible de gagnerMais je le désire si fort, tellement fort mais l'espoir et la volonté sont des choses fragiles.
Les larmes coulaient. Le destin me donne une chance,
Je vais me contenter de la saisir.J'ai serré mes poings le plus fort que je pouvais,
Je tremblais, mon cœur battait à une vitesse hallucinante.
J'ai abaisser la tête puis je l'ai relevéeD'un mouvement brusque pour hurler de toute mes forces.
Et puis ce fut le silence ... Un silence si effrayant....
Mais qui allait me permettre de parler.Je peux gagner.
Je veux gagner.
Je vais gagner.
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Sous la Lune
PuisiReceuil de poèmes, des textes en vers ou en proses écrits pendant des insomnies.