Papa, je t'aime 3x1000

Chapitre 3: Le cul de l'Amérique est génétique

-"Aïe...ma tête."

-"Aïe...mon dos."

J'ouvre les yeux. Je suis littéralement tombé sur un mec. Genre vraiment! Lui aussi à les yeux ouverts, mais n'a pas l'air d'avoir capté que mon corps était allongé sur lui. Je me dégage vite sur le côté, comme si de rien était.

-"Tu aurais pu faire attention."

Il est sérieux là.

-" Attends, quoi? Mais c'est toi qui m'a foncé dessus."

Il se redresse et ce mets dans la même position sur moi.

-"Tu rigoles j'espère. C'est toi...qui...

Il me regarde abasourdi.

-"était sur...ton téléphone."

C'est yeux sont grands ouverts et se dirige sur...ma poitrine!

-"Non mais je rêve! Tu n'as que ça a faire!"

Je me sens mal à l'aise, et j'ai froid.

C'est pas normale, nous sommes encore en été, et je n'avais pas froid, il y a de cela 1 minute. Je me frotte les bras.
C'est là que je remarque que je suis trempé. Je suis totalement trempée. De la tête au pied.
Je remarque un gobelet de coca parterre. Son contenue c'est renversé... sur moi.

Le gars a dû le prendre à la cafétéria. Je comprends du coup pourquoi il regarde ma poitrine. Le tee-shirt de Malecia est trempé et laisse apparaître mon soutien-gorge, d'une façon extrême.
MAIS C'EST PAS VRAI, JE SUIS PAS CHANCEUSE AUJOURD'HUI. NON PAS 1 MAIS 2 TRUC RENVERSÉ SUR MOI AUJOURD'HUI. J'EN AI MARRE P****.

Il a l'air d'avoir remarquer ma gêne. Mais je ne suis pas une fille qui laisse voir ses émotions. Je ne cache pas ma poitrine tel une saint-ni-touche. Je l'assume. C'est mon corps. Et puis pour vous dire. Son tee-shirt aussi est mouillé.

-"Pas mal."

MERDE, J'AI DIS ÇA À VOIX HAUTE.

-"Merci, toi non plus."

Je frissonne. Pas, par son "compliment ", mais car j'ai froid.

Il me regarde, et va chercher son sac.
Il va pas partir quand-même?
Il s'approche, et en sort une veste, puis me la tend.
Je le regarde d'un air étonné

-"Elle va pas te manger. Et puis tu as l'air d'avoir froid."

Il hausse les sourcils en me regardant de la tête aux pieds. Comme pour constater mon état.

Je prends sa veste et la secoue.

-"Elle a pas le cancer, non plus?"

Il me regarde et ce reprend immédiatement

-"Euh...désolé...c'est pas ce que je voulais dire."

Je secoue la tête

-" C'est pas grave. C'est une blague, on va pas être dramatique par rapport à ça. "

Je lui sourit pour détendre l'atmosphère.

"Bon j'imagine que tu sais qui je suis, du coup?"

-"Morgan Stark?"

Je me touche la tête.

"Enchanté."

Il me tend sa main. Je la prend.

-"Également."

Ce tee-shirt me colle. J'en ai marre. Je lui fait signe de se retourner. Ce qu'il fait. Quel gentleman! C'est bizarre!
J'enlève le tee-shirt et le met dans mon sac. Oui j'ai pas peur qu'on me vois faire ça. Et puis il feront quoi m'envoyer chez la principale, ou appeler mes parents.
Après quelques secondes. Il prit la parole.

-"Je peux me retourner?"

-"Oui c'est bon."

Au moment où il se retourne.
Je venais à peine de fermer la fermeture éclair de sa veste. Elle est très douce, je dois l'avouer.
Il se racle la gorge, comme s'il venait de réaliser que sous sa veste j'étais nu.

Il ouvre la bouche, mais mets du temps avant de prononcer le moindre mots.

-"Je peux faire quelque chose...pour... me faire pardonner?"

Je lui sourit. Et fait mine de réfléchir.

-"Tu fumes?"

Il se penche vers son sac, et en sort un paquet. Il a l'air très content de son geste. Je rigole

-"Je parler pas de ça."

Je sourit et rigole.
Il jette son paquet de cigarette dans son sac, sans même regarder sa trajectoire.

-"Malheureuse, le jour de la rentrée! Voyons, c'est pas top, comme premier jour de ce faire choper, avec ce genre de substances dans le sac!"

Je rigole.

-"Malheureuse? Sérieusement? Même pour le petit-fils de Captain America, je ne m'y attendais pas."

Il me regarde interloqué.

-"Come on! Un mec qui se retourne lorsque qu'une fille enlève à son tee-shirt, ou qui lui donne ça veste pour pas qu'elle est froid, sans même la connaître? C'est assez cramé?"

Il fait un geste du bras pour dire zut.

-"Merde, ma couverture est tombé à l'eau."

-"Language!"

Nous rigolons.

-"Bon je te laisse?"

Je ne sais toujours pas son prénom?

-"Michael, Michael Rogers."

Il se mets en position soldat.
Je sourit. Il fait de même.

-"Je te laisse Michael, je rentre chez moi."

Je commence à partir.

-"Tu ne voudrais pas rester un peu?"

Il me regarde avec des yeux de merlan frit.

-"Non. Désolé."

Je lui renvoie sa tête de chien battu.

-"Alors je peux avoir ton numéro? Pour nous organiser, ce rendez vous pour m'excuser. Sans aucune arrière pensée, bien-sûr."

Je rigole, et il sourit.

-"Rendez-vous? Calme toi Don Juan. C'est pas un rendez-vous."

Il se touche la poitrine comme si une balle venais de le toucher en plein cœur.

-"Le numéro au moins?"

-"Peut-être la prochaine fois."

Je l'embrasse sur la joue. Un sourire se forme sur son visage.

-"Je te rassure, il y aura une prochaine fois!" -me dit-il.

Je part et là je l'entends au loin.

-"Tu n'as pas dit non, à notre petit rendez-vous à deux!"

Il le dit avec tellement de joie.

Un simple réponse, je lui fait un doigt, sans me retourner. Et je disparait de sa vu en escaladant le mûr, pour rentrer chez moi. Je ne peux pas m'empêcher de sourire. Qu'elle idiote? Ne sourit pas pour juste ça. On dirait une de ces filles dans les films d'amours cucu-la-praline.

Arrivé je prend mes affaires mouillé, et sale pour les mettrent dans la machine à laver.
Je pose la veste de la progéniture du CUL de l'Amérique, sur ma chaise de bureau, et mets ma tenue de maison. Puis lance la musique sur l'enceinte. Du Queen, Mmmh J'adore!

Cette journée est mieux que je l'aurai imaginer. 2 rencontre 2 renversement.

Oui on peut dire que c'est un bon début. Comme rentrée dû moins...