Je descendis du bus, portant mon gros sac a dos.
Ce chemin, je l'avais emprunter des centaines, voir des milliers de fois auparavant, mais ... Cette fois c'était différent, car quand je pousserais la porte de la maison, je n'entenderais pas d'éclats de rire, pas de paroles ; rien.
Je ne suis mise en marche vers la maison et passe devant la vielle bâtisse de notre seule voisine des environs. Madame Taisha m'avait gardé d'innombrables fois lorsque j'étais petite et me connaissait mieux que personne sur cette terre.
Mais ce jour là , elle savait que l'heure n'était pas au thé et aux annedoctes douteuse sur mon enfance. C'est pourquoi quand elle m'aperçus depuis sa fenêtre, elle se leva , sortie et vin simplement me prendre dans ces bras.
- Comment te sent tu Risseltéa ? demandait elle gentillement
- Bizarre.
- J'imagine que tu préfères y allé seule ?
J'hocha faiblement la tête, les yeux brillants de larmes.
Taisha me lâcha en me faisant promettre de l'appeler au moindre problème.
Je continua ma route jusqu'au chemin de terre s'enfonçant dans une petite forêt.
Le jardin était a l'image de la maison : bien trop grande pour moi. C'est pour sa que je suis partis d'ici le plus tôt possible, j'ai toujours détester le super flux, le too much. Et j'étais bien la seule a qui ce manoir posais problème.
Mais j'avais beau détesté cette maison, j'en était maintenant la dernière propriétaire... La seule encors en vie du moin.
En me focalisant sur le bruit de la terre sèche sous mes pieds, je tentais de mes cris de rage et de tristesse. J'étais et heureusement, c'était tous ce dont j'avais besoin.
Mes vingt minutes de marche ce terminèrent devant le manoir et ses portes. Je brandis la clé, et la main tremblante, j'ouvris les lourdes portes de chênes. Le grincement du vieux bois me donnait des frissons.
Je lâcha mon sac a l'entrée et fit le tour du rez de chaussée : rien avait bougé, comme si le temps c'était arrêter dans la maison depuis que la voiture avait finit dans ce satané faussé. Je suis ensuite monté a l'étage avec une certaine appréhension : j'espérais vraiment que mon idiote de sœur avait pensé a faire son lit avant de mourir, je n'aurai pas supporter de devoir me taper ces corvée a ça place, en sachant pertinemment qu'elle ne le réutilisera jamais.
Après avoir jeter un coup d'oeil dans toute les chambres ( qui étaient toutes impeccables, a mon plus grand soulagement), je suis allé dans la mienne.
J'ai ouvert la fenêtre et observa la vue qu'elle offrait sur le domaine: tous simplement magnifique. Mais comme je le disait tout a l'heure : trop grand pour moi. Moi toute seule en tous cas.
La seule raison pour la quelle je suis revenu était qu'il était pour moi hors de question que ce manoir ce retrouvé sur le marché de l'immobilier : il appartenait à ma famille depuis bien trop longtemps pour le vendre.
Depuis la fenêtre, j'appercevais une petit bâtisse de pierre, dont la flèche dépassait des arbres qui l'entourait.
J'inspiras un grand coup : il était temps d'aller les voir.
C'est non sans traîné les pieds que je suis sorti, m'engoufrant a nouveau dans la forêt. Tout en me rendant sur le leur lieu de repos, j'entrepris de faire un bouquet avec les fleurs des rocailles que la mère aimait tant. Des roses blanche et rouge, des tulipes et des bruyères, que des fleurs claire.
Il fallait bien que je me mette a entreprendre des choses plus "joyeuse" pour me débarrasser de cette tête d'enterrement qui me collait depuis une semaine.
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Dans les bras de l'ombre - Fanfic Eldarya [ Nevra ]
FanficRisseltéa est une orpheline a 19 ans et hérite du manoir familiale perdu en plein milieu de la campagne. Seule, elle pensait tombé en dépression en moins de quelque jours, mais c'est a peine arrivé qu'elle découvre une mystérieuse créature qui semb...