Bonus - Frédéric

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Je regardais avec délectation ma future femme alanguie après les trois orgasmes que je venais de lui donner. Elle m'avait demandé un massage.

- J'adore tes mains chéri, m'avait-elle dit avec ses yeux de cocker.

Qui pouvait résister ? Pas moi, je l'avais dans la peau et je ne pouvais pas dire non à une telle demande. J'avais peut-être des mains magiques, mais j'appréciai surtout de toucher sa peau douce et satinée. Rien que de passer mes mains sur ses courbes, mon cœur s'affolait. J'avais rapidement glisser mes doigts huileux sur les zones qui l'excitaient. Ses fesses rondes et moelleuses étaient un plaisir à pétrir. J'y passais peut-être plus de temps que nécessaire, mais les gémissements de ma belle me confortèrent dans mon choix. Mes pouces s'égarèrent dans la vallée de ses fesses, ravie, elle releva davantage son derrière, se cambrant à la rencontre de mes doigts. Je faisais mon possible pour rester concentré, mais ma queue déjà raide, réclamait sa libération. Je me retins cependant, elle m'avait demandé un massage, en bon professionnel, je devais au moins tenir dix minutes avant de lui sauter dessus.

Je poursuivis sur ses jambes et remontais lentement par l'intérieur de ses cuisses. Ce geste lui fit écarter les jambes et me dévoila son intimité déjà luisante. Je glissai un doigt contre ses lèvres, je sentis son bourgeon déjà gonflé. Je ne me retins pas plus longtemps et ajoutai ma bouche à mes doigts. je lapais, suçais, mordillais et léchais avec délice. J'aimais son goût, sa saveur sur ma langue. Je me délectais du pouvoir que je possédais sur son plaisir. Je savais comment la mener à l'orgasme, ou bien le retarder pour qu'elle jouisse encore plus fort. Depuis que le troisième mois de grossesse était passé, sa libido était décuplée. Elle se montrait entreprenante, délicieusement audacieuse. Le plus difficile était de me maîtriser devant les enfants. Elle était très forte pour m'aguicher. Elle dégageait un tel sex-appeal qu'un seul de ses regards suffisait à m'allumer.

J'introduisis deux doigts en elle. Son fourreau chaud et étroit les aspirait. Elle n'allait pas tarder à jouir. Je lui offris ce premier orgasme. Son cul se releva et ses hanches se raidirent. Elle enfouit son visage dans l'oreiller pour contenir ses petits cris. Je ralentis pour lui laisser le temps de récupérer. Je lui titillais l'anus. Elle y était sensible et j'avais la chance d'avoir pu explorer cette partie-là. Les fesses toujours relevées, je pris comme une invitation sa posture et glissai un doigt dans son petit orifice. Il y eut comme à chaque fois une légère résistance, mais il engloutit finalement mon doigt. Je lui laissais le temps de s'habituer, bougeant à l'intérieur.  Elle gémit de plus bel et ne tarda pas à exploser de nouveau quand j'associai un massage de son clitoris de mon autre main. Je n'en pouvais plus, ses gémissements m'invitaient à la prendre, je descendis alors mon pantalon, je n'avais pas de sous-vêtement. Je m'allongeai sur elle, ma bite entre les globes de ses fesses, me branlant avec délice.

- Viens chéri.

Sa supplique eut raison de moi et j'entrais alors en elle. Cette sensation était unique. Elle était la seule à ne m'avoir jamais fait ressentir ça. Cette alchimie entre nous était puissante. Je restais immobile un instant, savourant la chaleur de son con. J'embrassai sa nuque, mordillai le haut de ses épaules. Elle frissonna. Je savais qu'elle était sensible à cet endroit. Je repris appui sur mes bras et m'activai. J'essayai de ne pas me laisser emporter. Je voulais en profiter et surtout offrir à mon amante le massage demandé. Bon d'accord, je ne respectais pas vraiment le cahier des charges mais aux vues des gémissements de ma partenaires, elle semblait satisfaite de la tournure des choses. Je nous fis bouger légèrement, sans quitter la chaleur de son intimité, et en levrette je pus m'enfoncer encore plus loin. Je quittai alors mon rythme de croisière pour des coups de butoir de plus en plus vifs. L'orgasme me prit sans que je ne m'en rende compte vraiment. Alors que je me déversais en elle, elle jouit encore une fois. Nous gémîmes nos prénoms dans une synchronisation qui ne cessait pas de m'étonner. 

Je me relevais pour finir de me dévêtir et je la rejoignis sur notre lit. Je posais ma main sur petit ventre encore discret. Dans quelques mois nous serions cinq à la maison. Je plongeais mon regard dans le sien :

- Je t'aime Betty. 

Elle me sourit. Sur ma joue, elle passa sa main que j'embrassai.

- Je t'aime aussi Frédéric.


Allez, comme promis, un chapitre du point de vue de Frédéric. Je pensais reprendre le dernier chapitre de son point de vue, mais finalement, ce petit moment d'intimité entre nos deux tourtereaux me semble plus sympa. Merci d'avoir lu Lovesitting ! A très vite pour de nouvelles aventures ! Gary est d'ailleurs de retour ! ^^

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