Chapitre 22

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Pour qu'ils n'aient pas trop peur, Ophélie a décidé de rester éveiller toujours avec la flamme dans la pomme de ses mains. Le feu éclairait  donc la salle ce qui a fait que quelques uns d'entre eux ont pu s'endormir.

Durant cette nuit, seule Ophélie et Fabian n'ont pas pu dormir. Fabian eu sommeil mais, il voulait tenir compagnie à Ophélie histoire de veiller sur elle.

Elle fût fatigué, sa main tremblait ,voilà encore le sommeil qui l'empêche d'ouvrir les yeux mais, elle refusait d'abandonner.

Elle était assise à l'autre côté de la salle et regarda Fabian qui somnolait, un petit sourire s'échappa de sa bouche. Sa l'amusait.

-vient te reposer aussi, tu en a vraiment besoin"lui chuchote Fabian"

Comme réponse, Ophélie secoue simplement la tête de gauche à droite. Elle veut juste veillé sur ses collègues le temps qu'ils dorment.

Fabian se lève alors d'un pas tremblant, il a encore sommeil et part donc s'asseoir près d'Ophélie. Elle le regarde quelques instants étonnés avant de détourner son visage de Fabian. Il fait apparaitre un bule d'eau dans sa main pour éteindre la seule  flamme qui éclairait la salle, étonnée, Ophé fronce ses sourcils puis le regarde  étrangement.

-ton bras est fatigué, tu as besoin de te reposer aussi"dit-il en lui caressant les cheveux, les autres ce sont déjà endormi grâce à toi, il ne savent  plus à présent si il ya une lumière dans la salle ou pas. Regarde les, ils se sont profondément endormi tu as fais tu bon boulot.

Fabian la prit dans ses bras et caressait son dos, c'est ainsi qu'ils se sont endormi l'un dans les bras de l'autre.

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Axelle

Je me réveille difficilement avec un horrible mal de crâne, je n'arive pas à croire que nous nous sommes endormi dans cette salle jusqu'àu matin, je me redrèsse tant bien que mal cherchant la porte  des yeux car la salle est toujours sombre, je marche lentement pour ne pas piétiné quelqu'un. J'arrive enfin à la porte et l'ouvre, la lumière du dehors éclairait la salle. Je peux voir mainant la décoration de cette pièce, c'est plus horrible que celle de ma chambre.

Je baléyais la salle des yeux quand mon regard s'arrête sur un couple, ils ont l'air très heureux. Je m'approche un peu plus du couple, je peux voir qu'il s'agissait de Fabian et d'Ophélie. Non, dites moi que je rêve.

Je m'approche de Marie et de Crystine que je réveille silencieusement, je leur montre  du  doigts notre couple. Un sourire s'échappe de la bouche de Marie, je la regarde en fronçant les sourcils,il ne faut pas qu'elle les réveillent, ils sont adorables.  elle ne dit rien puis continue de rire. Je me retourne vers Crystine et constate qu'elle aussi souriait, apparemment ça leur donne juste envie de rire. Je me lance aussi.

Max et Edwards nous regardait depuis sans qu'on ne s'en rende compte qu'ils nous regardait.

on fini tous par quitter la pièce leur laissant seul, ils sont sûrement épuisés.

Je regagne ma chambre prendre un bain glacé, je ressors quelques minutes, m'habille le plus vite que possible avant de descendre je remarque quelques chose d'étrange.

une jeune fille est allongée sur mon lit, elle baignait dans son sont. Ses yeux sont fixé sur le plafond, le sang coule de trop. Je n'y crois pas. Prise de panique, je recule d'un pas en arrière. Il ne faut pas que je reste là, je cours vers la porte et l'ouvre putain, la porte est verrouillée. Je  frappe dessus avec toutes mes forces mais, elle ne s'ouvre pas.

Je me retourne et vois quelque chose de plus étrange, le corps n'est plus à sa place, je  regarde dans tout les sens avant de me  me rendre compte que la jeune fille se trouve devant moi.

Avant que je ne fis quoi que ce soit, elle me prit par le cou  puis d'un seul geste, elle me jeta  au sol.cela me fait pensé à Crystal.

Ma tête vient cognée contre le carrelage, je me redrèsse avec difficulté essayant de me débattre mais, c 'est peine perdu, elle est plus forte que moi.

Allongée au sol, je ne sens rien qu'une vive douleure. La porte s'ouvre soudainement laissant apparaitre deux silhouettes, je n'arrive plus à distingués la jeune fille qui est au dessus de moi et ceux qui viennent d'entrer.

J'ai pu entendue une dernière  phrase avant de sombrer dans le noir.

-Elle est encore en vie, on peut l'aider !

Enfermés [en cours] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant