Chapitre 9 : Un nouveau problème

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Je me réveilla dans une forêt, plus sombre et plus angoissante qu'une simple forêt . Au loin je pouvais entendre des voix, des cris stridents ainsi que des chuchotements étrangement familiers qui se rapprochaient de plus en plus de moi.

Tout cela est de ta faute !
Ils sont morts à cause de toi !
ressens leur douleur !
Meurt !

T/P, T/P réveille toi !

Je sentais que je me faisait secouer, mais ce ne fut pas cela qui me fit sortir de mon sommeil, mais une intense douleur me sortit de mon cauchemar.

J'hurla de douleur tandis que des larmes coulaient le long de mes joues.

Ce n'est pas ma faute, je n'y suis pour rien ! Je ne veux pas mourir ! Je suis innocente !

Pdv Livaï :

T/P si il te plait calme toi !

Je... ne... veux... pas... mourir dégage !

Je sais que tu n'y es pour rien ne t'en fais pas, mais je ne peux pas t'abandonner dans ton état.

Je t'ai dis de partir !!

Elle me poussa violemment hors de ses bras.

Pdv T/P :

Laisse moi je t'ai dis !

Je ne peux pas croire que c'est lui, mais je l'ai entendu de mes propres oreilles " que tout cela était de ma faute " ensuite j'entendis les deux voix de mes parents crier à la mort puis plus rien. Je m'étais réveillée.

Livaï me fixa dans les yeux un court instant et souffla d'exasperation, avant de se retourner et de bousculer une infirmière, afin de sortir.

Attends ..!

Je m'éfondra en larme, à nouveau, j'étais heureuse, j'étais enfin dans ses bras et ce corps que je désirais tant, mais, j'ai tout gâché en un fragment de seconde, tout ça à cause d'un simple geste. Un simple mouvement brisant toute complicité.

Je sanglotais sur mon lit d'hôpital, la tristesse m'avait envahit en quelques secondes, j'étais désormais seule, seule face à mes erreurs du passé.

Pdv Livaï

Je suis dévasté, comment avait t'elle pu penser une chose pareil, comment aurais je pu les sauver ?!

Je frappa le mur de cette endroit respirant la mort avec une telle force que je sentis mes phalanges se briser une par une.

Je ne pesta pas, une douleur si insignifiante par rapport au reste, une ou plusieurs phalanges, qu'est ce que cela change à la douleur dans ma poitrine.

Tout à coup un cri strident resonna dans cet endroit sinistre, cette voix, je la connaissais par coeur, raisonnant comme une chanson dans ma tête. Je voulais y aller, la rejoindre, mais mon esprit n'était pas de cet avis.

Je ne pouvais pas revenir comme si de rien n'était, je suis rancunier de nature et malheureusement pour elle ce qu'elle venait de faire était difficile à pardonner, et surtout à oublier.

Pdv T/P :

J'hurlait comme une folle, je me tenais la poitrine comme ci mon coeur allait s'arrêter. Immédiatement trois infirmières vinrent me rejoindre afin de m'aider. Elles me demandèrent de me calmer mais rien n'y fait, mon poul, accélérant de plus en plus m'empêchait de bien respirer.

Livaï x Reader : Il ne suffit d'un rien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant