03.

2.9K 258 86
                                    



_______________

𝙵𝚊𝚒𝚜𝚘𝚗𝚜 𝚖𝚘𝚗𝚝𝚎𝚛 𝚕𝚊 𝚝𝚎𝚗𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚍'𝚕𝚊 𝚍𝚊𝚛𝚘𝚗𝚗𝚎.

_______________








Maman: COMMENT T'AS PU LES LAISSER SANS SURVEILLANCE HEIN ! *pleure* COMMENT T'AS PU FAIRE ÇA CAMÉLIA ?! T'AS LAISSER TES PETITES SOEURS TOUTES SEULES ! ET SANS SURVEILLANCE ! *pleure* DIOS, VOY A MATAR A ESTE NIÑA !

Elle a enlevé ces chaussures et les a jeté sur moi toujours en pleurant.

Mon père et les policiers l'ont alors retenu parce qu'elle s'apprêtait à me frapper.

Policier: Calmez vous madame, nous allons retrouver vos enfants. Elles doivent juste s'être perdu dans un endroit alors je vous promet qu'on les retrouvera.

Dit-il après 5 heures de recherche.

Il était déjà 23h.

Elle s'est effondrée par terre en faisant coulés toutes les larmes de son corps.

Maman: Mes filles...*pleure* mes petites filles...

Les policiers ont un peu parler à mon père puis ils sont partis.

Tout le monde pleurait, tout le monde sauf moi.

Même mon père avait les larmes aux yeux.

Sérieux c'est quoi mon problème ?

J'arrive pas à comprendre pourquoi même pour ça je peux même pas me comporter comme tout le monde.

J'avais la tête baissée et fixais le sol sans rien dire.

Maman: Tu prends tes affaires et tu sors de ma maison.

Je l'ai regardée.

- Mam-

Maman: SORT DE MA MAISON ! *pleure* SORT !

Elle prenait tout ce qu'elle pouvait avoir entre ces mains et me le jetait dessus.

Maman: Temps qu'on aura pas trouvé mes filles tu remettra plus jamais les pieds ici t'entends ?!

Je me suis levée et je suis allée dans ma chambre.

J'ai commencé à faire mes affaires.

J'étais vraiment trop mal.

Je savais même pas ou j'allais dormir.

Je pouvais pas demander à Mam's, Younes ou Hassan parce qu'ils vivent encore chez leurs parents.

En plus je pourrais jamais me permettre de profiter d'eux parce que ce sont mes meilleurs potes.

J'allais appeler William mais je pense que je l'ai aussi déjà assez impliqué dans cette histoire pour aujourd'hui.

Je suis sortie de ma chambre et j'entendais la voix de mes quelques tantes au salon.

Trop à l'affut elles.

J'ai traversé le couloir sous leurs yeux malsains et je suis sortie de la maison.

Ai-je fait quelque chose de mal ? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant