Elle ~
La tête dans l'oreiller je cherche mon téléphone qui vibre quelque part sur ma table de nuit. Je tourne ma tête vers cet engin et l'attrape. Je le déverrouille et lis le message. Oh ça fait toujours plaisir de recevoir un message du garçon que t'aime le matin. Il me souhaite une bonne journée juste ça, suffit pour me mettre dans un état pas croyable. Je souris comme une tarée et file directement sous la douche je lui répondrais après. Je sors de la douche avec une robe blanche qui fais enfant sage mais ceux qui me connaissent vous dira le contraire. Je prends mon téléphone et lui répond. Deux mois déjà que je vis heureuse c'est vrai que nous avons vécu quelque bas, je lui ai dit un jour que j'en ai marre qu'il voit sa grand-mère tous les jours et qu'il n'a pas le temps pour moi et pourtant on habite deux rues pas loin... Ce jour-là il avait très mal pris il m'avait traité de jalouse possessive. Mais on s'est très vite réconcilié. Il me répond très vite et sa j'aime beaucoup ! Je souris comme une conne à son message, on ne met pas beaucoup de cœur parce qu'il n'y a pas besoin de tout ça pour prouver son amour a quelqu'un. Je remarque que je n'ai pas déjeuné mais je n'en ai pas vraiment envie du coup je reste dans ma chambre et comme d'habitude je suis seule chez moi, mes parents bossent le jour et arrive tard la nuit. Je souffle et je commence un défilé solo dans ma chambre avec plusieurs paires de chaussures. Il me répond quelques minutes plus tard il a dû être avec être avec sa petite sœur. Je souris encore plus quand je vois le surnom de mon copain : Mon connard d'amour ♥ Quand il ma présenter sa grand-mère j'étais très froide mais au final j'ai adoré cette vieille dame. Elle est pleine de vie, adorable, aimable par contre elle ne supporte pas qu'on touche son potager. Même son petit-fils n'a pas le droit d'y toucher elle lui a dit un jour : Quand je serais morte tu pourras enfin toucher mon potager. J'étais là et les mots de cette dame a fait verser une larme à mon connard. Il a une heure précise quand il doit décoller c'est un peu un cycle de vie, il le fait chaque jour. Mes parents savent que j'ai un copain et ses parents aussi. Il est arrivé qu'une fois j'étais en pleure et je suis allé chez lui, sa mère ma accueillis très gentiment et ce jour-là j'ai dormis avec lui, j'étais si paisible. Enfaite c'est un peu grâce à nos parents qu'on est ce qu'on : un couple. Mon père a été le premier à me pousser à aller vers lui. Sa mère et sa sœur lui ont poussé à venir me parler. Au final nous avons tous les deux demandé en même temps. Mes amies ? Je n'en ai pas je suis une louve, je vis solitaire. D'ailleurs je me souviens encore de la première fois que je l'ai rencontré. J'étais assise sur un banc du bahut il s'est assis à côté de moi tout en souriant je n'ai pas fait un cas avec lui, j'ai regardé un point imaginaire tout en me demandant « qui est-ce ? ». On a été ami et un certain moment j'en ai parlé à ma mère et mon père que je ne supporter pas le voir avec des filles et c'est ce jour-là que mon père me pousser à aller vers lui. Ce garçon est ce qu'il y a de plus beau dans ma vie. Je regarde l'heure, apparemment je parle beaucoup à moi-même et je ne vois pas le temps passer. Il ne va pas tarder à m'envoyer un « Bonsoir, je suis rentré. » en tout cas le message qui m'enverra me fera sourire comme toujours. J'enlève mes chaussures et je range un peu le bazar qui se trouve dans ma chambre j'ajuste ma robe et je remarque qu'elle est tâchée c'est affreux ! Je prends : leggings et un haut blanc et je file me changer. Je me fais une tresse sur le côté, je prends mon téléphone et je m'écroule sur le canapé. Je prends la télécommande et je zappe. Et sans m'en rendre compte mes paupières se font lourde et à ce moment précis je m'en dors dans un endroit inconfortable et je sais très bien que demain matin j'y serais encore. Je sens mon téléphone vibrer deux ou trois fois et je sais très bien que ce n'est pas ce soir que je lui parlerais ! Mais demain matin... Comme chaque matin. Je n'ai plus le courage de le prendre je baisse les bras mon corps lâche tout je file au pays des rêves.
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My light
Teen Fiction** À quinze ans, j'ai donné naissance à ces lignes. Je dois les retravailler. ** Découvrez l'histoire bouleversante d'Élena et Luke, deux jeunes amoureux qui luttent contre vents et marées. Entre familles compliquées, amour contrarié, tragédies et é...