partie 06

331 47 0
                                    

me voilà deux semaines aprés l'arrivée de la mére de Mary, tata Fatou, elle m'a parut plus gentille que dans mes rêves, elle s'occupe de moi, aujourd'hui je dois partir au travail , depuis lors  je suis resté ici à cause de mes problémes et je l'ai dit à mon patron sans lui dire que j'ai des problèmes mais juste que je suis malade, et selon les infos il est parti à l'étrangère pour aménager un hotel là-bas avant de rentrer, dés mon arrivée, Astou lance

astou: d'aprés des jours d'absence tu te pointe là parceque monsieur n'est pas là

moi: je me suis justifié auprés de lui

au lieu de me répondre elle me lance un regard meurtrier avant de partir

je continue mon travail puisque je me suis habitué à ses piques et quelques minutes aprés elle se pointa

astou: ton certicat medical

moi: j'en n'ai pas

astou: donc tu ne seras pas payer pour ses jours d'absence

dit elle en tournant ses talons , je suis vraiment assomné par tant de méchancetés gratuite, mais je ne dis rien et continue mon travail

elle revient encore mais cette fois ci elle demande son collier en or

Astou: qui a volé mon collier en or , je l'avais acheté en Inde lors de mon voyage passé

mais elle se fou de qui elle? elle se met à harceller les gens comme si le voleur se trouvait parmi nous et elle vérifie nos sacs , mais arrivée au mien je l'arrache ,vraiment je ne le supporte plus et je n'aime pas quand on fouille mon sac ,alors je lui dis

moi: est ce que tu ne l'as pas oublié quelque part car............. * elle ma coupa la parole*

Astou: en tout cas je ne suis pas folle , mon collier je l'avais posé ici, maintenant tu sais quoi je vais vérifier ton sac car tu ne m'inspire pas confiance

moi: non! mon sac, tu ne le toucheras pas car je n'ai rien volé

astou: alors si tu n'as rien volé pourquoi tu ne veux pas qu'on verifie ton sac

moi: vraiment tu me crois pour une voleuse ?

astou: bah oui !!

moi: bah crois ce que tu veux mais tu ne toucheras pas mon sac , je suis une employée mais pas une esclave

astou: donne moi cet sac * en tirant le sac*

moi aussi je ne laisse pas faire , nous tirons le sac, l'un vers l'autre en un moment , mes outils qui étaient dans le sac commence à tomber car la fermeture était ouverte , et tantôt le collier d'or tomba du sac, j'etais animé par toutes les émotions , mes larmes me trahissaient, d'où venait cet collier, je peux jurer sur ce que j'ai le plus chér au monde que je ne l'ai pas prise, je ne suis pas une voleuse et loin de là , l'éducation dont j'ai reçu ne me permette pas de voler, sous les regards interrogatoire de mes collègues

Astou: voilà , je savais que c'etait toi, vous êtes tous pareille, materialiste, mais cet collier coûte trés chèr , si je t'avais demandé que tu le payes, ce sera ton salaire de 5 ans je vous l'assure

moi: c'est ....... pas ...... je ......snif ..... veux dire ...snif.......snif j'ai... rien ......snif *en pleurant de plus belle*

astou: c'est pour ça que tu ne voulais pas me donner ton sac *en rigolant*

astou: t'inquiète, je te paye la journée d'aujourd hui et aprés tu peux dégager , car vous êtes renvoyer , viens dans mon bureau

je la suit dans son bureau, c'était climatisé comme celui du patron, et c'est la premiere fois que j'entre dans son bureau

astou: tu sais pour les rumeurs et les journalistes , si tu ne veux pas être diffusé à la television, alors que .....

moi: je vous jure que je ne l'ai pas volé, aidez moi, madame, j'ai besoins de ce travail pour l'hospitalisation de ma mère, peut être que quelqu'un l'a mis dans mon sacs pour me mettre en mal

astou: qu'importe, mais à ce que je peux t'aider , les rumeux et faire taire aux journalistes, mais à une seule condition

moi: oui laquelle?

astou: éloigner toi de karim, oui ne me regarde pas , ne lui dis rien, ne prends plus ses appels , c'est bien

elle me fait du chantage mais je suis obligé d'accepter

moi: oui j'ai compris , et je vais le faire

elle: oh, oui c'est ça , et pour le payement, j'ai un peu pitié de toi, je te donne 1450 f cfa

je le prends sans bronche et je trouve  deux collegues Khady et Penda me parlent sur le dos

Penda: je t'avais dit que l'apparence est toujours trompeuse, cette fille n'est jamais une sainte comme nous l'avions crue ,

Khady: en tout cas ça me dépasse je ne la pensais pas capable de le faire

je prends mon sac sous leurs regards, elles savaient que je leur ai entendu

A suivre

n'oubliez pas ,de voter ,de commenter et de partager

les caprices de la vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant