partie 13

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Il se gara dans un immeuble r+4, et nous dirigions vers les escaliers, il habitait au 2ème étages arrivée là bas la porte laisse s'ouvrir une belle décoration,j'adore, je regards et complimente en même temps

Moi: waouh j'adore votre déco, vous avez un bon gout

Lui: non celle de ma maman

Moi: en tout cas c'est beau

Lui: merci , viens! je vous montre ta chambre

Je hocha la tête puis le suivre,

Lui: voila votre chambre, là-bas c'est la salle de bain, ici c'est le balcon et bienvenue fais comme chez toi si tu as besoin de quelque chose rek tu vas me le dire

Moi: pas de soucie et merci

Lui: je chauffe le diner après tu viens on va prendre ensemble

Moi:ok.

Je visite alors la chambre, elle était si spatial que la mienne que j'avais, en parlant de ça j'ai la nostalgie de maman et ma sœur. Je ne peux pas m'empêcher de pleurer. J'ai jamais crue qu'un jour je quitterai la famille pour ses genres de situations , et pour le vieux pervers je le trainerai à la justice, il a gâché ma vie, qui va me croire?

Lui: moi je vous crois

Oh non je pensais en haute voix

Lui: arrête de pleurer ma chère, je serai là et je suis prête à accepter la paternité de cet enfant.

J'etais bouche bèe comment il peut porter cette fardeau, pour moi? Non non il a une vie pleine, un si gentil homme ne merite pas une femme comme moi

Moi: non, s'il vous plais j'accepte de venir vivre avec toi et tout mais je decline de porter mon fardeau, tu ne mérites pas ça

Lui: je ne te demande pas d'accepter ou décliner, laisse moi faire ma chere,et pour ta mère je vais aller le voir dans quelques jours

Moi:non....je ....

Lui: avant que le dîner ne se refroidisse allons le prendre ensemble

Je vous passe le dîner, rien de spéciale.

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La plus grande gène aujourd'hui je vais rencontrer ses parents ou bien sa famille, si le stress pouvait tuer je serai morte
Et on dirait que monsieur lise mes pensées

Lui: détends toi, no stress mademoiselle

Moi: mais comment vont ils m'accueillir?

Lui: comme une princesse 👸🏾, ne t'en fait pas

Nous pénétrons dans une maison moderne 🏠, simple avec une décoration d'art africain, nous empruntons un long couloir qui mène dans le salon,on trouva une dame avec une calebasse de riz 🍚, des lunettes au yeux, souriant dès qu'elle aperçoit notre silhouette

La dame: mon fils, je ne t'ai pas vu depuis belle lurette .

Lui: ma maman adorée, c'est juste le travail

La dame: arrête de m'amadouer, c'est pas une excuse

Lui: bon maman je te présente khadidiatou , de même khadidiatou voici big maman

Maman: oui moque toi bien, cava ma fille ?

Moi: je vais bien Tanty

Maman: appelle moi Astou, c'est simple non?

Je hoche la tête et le monsieur qui éclate de rire dans l'autre côté, moi et Astou nous le regardons interrogativement. Il finit par ajouter

Lui: sacré maman, elle ne veut pas être surnommée « Tanty » car elle sera vieille

Là sa mère prend une paire de chaussures qui traîner par terre et tenter de lui lancer, mais monsieur a déjà pris fuite, car il ne voulait pas recevoir des fessiers dans cette matinée

Maman: je te jure que tu as eu la chance Alioune Badara si je t'attrape tu vas voir. Alors ma fille installe toi faites comme chez toi, cet connard ne t'as même pas fait installer. Poufs, assis toi

J'exauce puis le remercier on parlait de tout et de rien, je trouve que cette dame était ouverte et sociable avec ses deux filles Ngoné et Ndiaya
Deux filles qui sont totalement différentes
Ndiaya me toise du regard depuis qu'on sait vu, contrairement à sœur Ngoné qu'on pouvait dire depuis des illustres, elle est gentille avec tout le monde, qu'en a Ndiaya, stricte envers tout le monde. C'est après le dîner que nous avions pris congé.
Arrivée à l'appartement, j'étais tellement épuisé que je ne voyais rien que mon lit.

Alioune Badara : qu'est-ce que je t'avais dit, qu'ils vont t'accueillir comme une reine, et moi comme toujours l'esclave

Moi: (meurent de rire) Sérieux, j'adore ta maman,elle ne te laisse jamais l'occasion d'en placé une, mais Alioune Badara dit, pourquoi tu les as fait croire que j'étais ta fiancée et j'attends un bébé de toi

Alioune: ( prendre mes deux mains) khadidia qu'est ce que je peux faire d'autre? A part leur mentir?

Moi: et si ils découvrent la vérité ?

Alioune Badara: arrête d'être pessimiste ma chère, ne t'inquiète pas je vais gérer ça, saches que je suis toujours de ton côté, bats toi , obtenir ce que l'on veut ne signifie pas l'égoïsme, je ne te demande pas de vengeance , car elle se mange froidement, mais juste de prendre ce qui t'appartient.

Moi: oui

Et c'était la seule réponse que je pouvais donner, il a raison d'une part

Alioune Badara: alors veux-tu que je t'aide? Il va falloir me dire tout sans me mentir, parce que la chose que je déteste le plus est le mensonge

Il m'invita à s'asseoir sur le canapé, puis fait de même en face de moi.

Alioune Badara: rassure toi que je t'écouterai sans te juger

Est-ce que je dois lui faire confiance ? Est-ce qu'il n'est pas un élément de mes ennemies pour me détruire ? car sa gentillesse me suffit pour semer la doute que ce n'est pas gratuit. Et puis un autrui qui vient de loin, je lui emballe tous mes secrets , il va falloir lui répondre faussement

Moi: c'est un gars que je sortais, mais il a refusé la paternité

Alioune Badara :et sa famille ?

Moi: de même aussi

Alioune Badara: ce n'est pas grave ils vont le regretter, viens dans mes bras

Je m'allonge dans ses bras pendant un moment, j'en pleurai jusqu'à mouiller sa chemise, j'avoue que ça me fait mal de lui mentir, c'est pas mon habitude, mais que vais je faire? Situation obligée.

A suivre

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