les caprices de la vie

partie 05

ma vie sans ma mère m'a parut comme si je suis perdu dans un desert , j'avais compris l'importance d'une mère , mais son absence m'a plus fait d'experience que personne ne peut remplacer une mère , elle était ma force, mon espoir , ma lumière, j'oublie qu'elle n'est pas à la maison parfois je l'appele, parfois je regarde là où elle s'assoit de temps en temps, elle ne dort jamais tant que ces enfants ne sont pas regroupées, mais ma promesse , je le tiendrai , je vais sauver cette heroïne qui était toujours là pour moi. et je vois Moctar le proprietaire de la maison qui vient pour le payement du logement, j'avais complètement oublié

moctar: éh! toi , je viens pour le payement, je ne peux plus attendre

moi: moctar, j'ai des problèmes , ma mère est malade , je vous demande de me donner juste quelque jours encore , je vais vous payer

moctar: toujours c'est ce que tu dis et cette fois ci j'en ai marre de tout

moi: depuis qu'on habite ici, on a jamais refusé de payer le logement, et on payait à temps si on n'a pas encore payé c'est parcequ'il y'a une cause

moctar: je vous donne aucun jour de plus et je veux que vous quitter la maison aujourd hui même

et sort de la maison, comme il peut être egoïste , on payait le logement à temps et cette fois ci , qu'on a plus de sous à payer il ne cherche même pas à comprendre je vois trois hommes accompagner de moctar

moctar: sort moi tous ses bagages ! et laisse les meubles en guise de payement

moi: moctar ne fait pas ça s'il te plaît 🙏🏼 juste quelque jours et je vous payerai, je te le jure

il jouait au sourd, il ne me regardait même pas , et les hommes sortaient nos bagages dehors, une petite foule commencait à regarder la scène, je vois Amina qui ne cessait de regarder chacun, les faits et geste, la pauvre, elle était choqué par autant d'évènement qui ne suggérent rien de bon, après avoir fait sortir tous nos bagages, ils ferment la porte en clé et partent, les brouhahas qui venaient devant la porte de la maison , moi et ma sœur nous sortons sur les regards interrogatoire des curieux , où nous partons? je ne saurais le dire , car moi même j'ignore, et parmi la foule , une voix dont je peux reconnaitre parmi mille , c'était Mary, je la prends dans ses bras un bon moment avant de dire

mary: je comprends tout, je comprends , calme toi , et viens chez moi ,

moi: non non mary

mary: personne n'est à la maison , maman est partie en voyage, il y'a que moi à la maison , alors venez, vous êtes la bienvenue

moi: mary je sais que c'est gentille de ta part , mais je decline

mary: tu ne connais personne dans cette ville , alors viens s'il te plaît ma chère

et oui elle a raison je ne connais personne dans cette ville , donc je n'ai pas d'autre choix que de partir avec elle

moi: d'accord et merci

mary: ne me remercie pas, si c'etait moi, tu feras pareille , non?

je souriais et la suivre, j'avais ni la force ni l'état d'esprit de parler, j'avais besoins que l'on m'explique pourquoi la vie ne m'a jamais sourire, on dirait que j'ai la poise , arrivé à la maison , bon je connaissais déja les lieux, ils me sont famillière, donc je pénètre avec ma sœur, Mary nous montre notre chambre qui avait une salle de bain , je prends un bain froid et puis je descends trouver Mary qui dressait la table je l'aida puis nous à trois nous mangeons dans le silence

Mary: bon j'ai cours moi, je m'en vais

moi: bon Mary , .... hum je veux dire que ta mère ne trouve pas l'inconvenient que je viens co-habiter avec vous

Mary: bien sûre que non, elle est même au courant

moi: merci Mary , je ne sais pas comment ferais sans.... * elle me coupa*

Mary: ne me remercie pas, repose toi, mange bien et puis dors bien aussi , met toi à l'aise , fais comme chez toi, je m'en vais moi , à plus * en prenant son sacs *

moi et ma sœur débarrassèrent la table et je fais la vaisselle tandis que l'autre dormait dans la chambre .

A suivre
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Un événement se prépare, attaché vos ceintures, l'aventure de Khadija dans le plume d'Amira ◻️✏️