Münchner Traum 💭

10) Braquage

POV Anna :

Moi : Mais la 3e est encore mieux !

Robert : Bah montre moi alors ?

Moi : Yep j'arrive !

Je vais donc enfiler la sublime robe bleu roi à manches longues, col montant qui m'arrive juste au dessus du genou et je reviens dans la chambre.

Robert : Absolument sublime ! T'es magnifique miss, enfin noisette !

Moi : Merci marmotte !

Robert : D'ailleurs j'ai un service à te demander.

Moi : Euh... d'accord...

Robert : Pour ma tenue, t'as des idées ?

Moi : Donne moi 5 minutes et je te donne des vêtements.

Robert : Les trucs classes c'est l'armoire de droite.

Moi : Ça marche !

Je vais donc dans le grand dressing de Robert, je jure qu'il a plus de fringues que les 3 Déesses du Bayern réunies !

J'ouvre donc sa grande armoire, et je vois une penderie avec des costumes et leurs pantalons, des chemises pliées dans un autre compartiment, des chaussures en bas.

Aujourd'hui ce sera costume coloré, donc je lui prends une chemise blanche et des chaussures pointues noires pour compenser et pas faire Cirque du Soleil.

J'hésite entre deux costumes, pas pétants comme une cérémonie du Ballon d'Or, mais colorés quand même.

Au final, j'ai la flemme de lui choisir un costume.

Donc comme d'habitude avec moi, je change mes plans, et ce sera un pantalon noir et une chemise bleu clair.

Je lui ramène ses vêtements et je les pose à côté de lui.

Robert : Pas con ! Merci !

Moi : Marmotte... Tu sais, mes cheveux sont moches là...

Robert : Non.

Moi : Si. Donc...

Robert : Donc tu veux que je fasse le coiffeur.

Moi : S'il te plaît ?

Robert soupire mais accepte d'un regard

Nous nous préparons donc, Robert me fait mes cheveux, nous prenons nos affaires et y allons.

Une fois dans la voiture, je me rends compte d'un truc frappant.

Je suis en robe de soirée dans une Ferrari. Et je suis pâtissière. Trouvez l'erreur.

Robert : Anna ? Tu étais ailleurs ?

Moi : Ouais désolée, tu disais ?

Robert : Qu'on va être 5 petites minutes en retard.

Moi : Oh t'inquiètes pas, c'est pas un entretien d'embauche.

Sur le trajet, il me raconte que les joueurs de Nürnberg étaient chiants, provocateurs.

Moi : Leurs enfants étaient en train de nous dévisager, y'a la copine d'un joueur elle m'a pété les cacahuètes toute la mi temps.

Robert éclate de rire, et je mets quelques secondes à comprendre.

Moi : Cacahuètes ? Noisette ?

Robert acquiesce en rigolant. Avec sa tête de marmotte là.

Moi : T'es pas possible...