Chapitre 7: Beth Delatour je présume...?

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À pas pressé je sort de Poudlard, les yeux rougis par les larmes de même pour mes joues. J'utilise un sort pour me rafraîchir et entame une téléportation vers Paris. J'en viens à constater que la ville est sous la pluie. Aucune trace de Norbert, Tina, Queeny, Jacob et de Croyance... Je pourrais chercher un peu en ville si je trouve des informations?
Mise en marche je regarde autour de moi pour ressentir un sentiment de peur, mais rien. Le temps n'est toujours pas avec moi! C'est alors que je ressens une forte pression sur ma poitrine, la peur! Je me dirige vers celle-ci avec discrétion. Les aurores français sont entrain d'enquêter, la pauvre femme elle est dans tout ses états. Je me faufile jusqu'à elle.
Avant d'entamer la discussion je l'apaise.

« Qu'est-ce qui c'est passé mademoiselle?» Lui demandais-je.

« Et bien... J'étais chez moi; Elle m'indique l'étage en dessous de l'immense trous présent dans le toit; et tout à coup j'ai entendu des cris, j'avais si peur!» Elle me regarde tristement.

«Vous pouvez me décrire se que vous avez vue?»

«Et bien... Je dirais...Comme une masse sombre, mais très puissante cependant!»

C'est lui! C'est Croyance!

«Et vous savez où elle est partie cette masse sombre?»

La jeune femme secoue la tête en guise de non et se mue dans le silence. Je la remercie de m'avoir répondu et je m'éloigne avant qu'un aurore remarque ma présence.
Je me faufile dans les rues étroites de Paris. Je suis complétement perdu et vidée. Je repense à ma dispute avec Albus...Je m'en veux terriblement. Il a sacrifier sont travaille pour moi et qu'est-ce que je lui dit... Qu'il n'est pas mon père, que je sais me défendre seule que j'ai pas besoin de lui. Je soupire dans le vide, en relevant ma tête j'aperçois une silhouette qui me semble familière.

«Quenny?» La jeune femme continue sont chemin je retente.

«Quenny!?» Aucune réponse! Je décide donc de la suivre.

Après environs quinze bonne minutes de marche je la perd de vue. J'ai comme l'impression que toute les rues se ressemblent ça en deviens presque angoissant. C'est bien la première fois que je n'arrive pas à me dirigée dans un endroit inconnu. La tension reçus lors de notre échange avec le chef du ministère de la finance britannique ma laissée des séquelles. Mon regard se perd sur tout ses bâtiments bien que magnifique, ceux-ci ne m'aide pas à me retrouver dans cette ville! Et je viens de pensée que l'adresse que nous a passé Albus est avec Norbert. Je suis un boulet... Bon Beth calme toi, respire et arrête toi deux secondes, se que je fût. Je suis entrain de tourner en rond et clairement c'est pas vraiment le moment vue la patience que je n'ai pas maintenant!
Et en plus la pluie ne se calme pas! Ok j'abandonne... Je m'affale sur un rebord de mur et ferme les yeux.
Je me demande se que font les autres, si ça se trouve ils sont avec Croyance ou avec Grinderwald... Comment j'ai fait pour me faire avoir par une lettre, de Léta en plus! Avec se qui se passe elle devrait essayer de chercher son frère potentiel ou du moins essayer de lui parler! Elle se fait passer pour la méchante pour éviter d'expliquer aux autres qu'elle ne l'ai pas...

La pluie tombe de plus en plus vite, grâce au ciel je trouve une jeune parisienne adorable qui m'accompagne chez elle. Sur le coup je ne pense pas à lire ses sentiments, de toute façon rien n'émane d'elle se qui n'est pas forcement mauvais, cela peux juste être une personne renfermer. Je me retrouve devant un bâtiment typique de la touche française et suis la jeune femme dans son salon d'un vert émeraude stupéfiant.

« Attendais ici je vais vous ramenez du thé pour vous réchauffer ! »

Je la remercie et me lève en regardant par la fenêtre. Tout est comme a son habitude un paysage froid remplie de différente teinte de gris et de noir. L'air se fait plus froid tout à coup je sort ma baguette et la pointe sur Grinderwald. Le voir en face de moi ne me fait aucun effet cependant quelque chose m’apparaît comme une évidence, je n'arrive pas a comprendre ni à voir ses sentiments c'est un Auclumente.

«Je suis ravie de vous rencontrer enfin mademoiselle... Delatour il me semble? » Me dit-il avec un ton presque enjoué.

« Vos informations son exact, je suis mademoiselle Delatour.»

Il me sourit faussement.

«Depuis le temps qu'on me parle de vous! Vous plaisez vous à Paris ?»

Je soupire lentement.

«Et bien pour être tout à fait honnête Paris n'est pas la raison de ma principale venue; Je le regarde avec intensité; Mais vous le savez déjà !»

Il détourne son regard du miens.

«Vous avez la même façon de se tenir que lui, c'est fascinant à qu'elle point il a déteint sur vous! »

Ma colère monte en flèche, je murmure.

« Je vous interdit de parler de lui...»

Il me sort rire franc.

« Bouuuhhh j'ai peu...»

Avant de finir sa phrase ma baguette est pointé sur son cœur, il lève les mains.

« Il y a tellement de rage en toi, de colère! Tu me ressemble en faite! »

Je le regarde avec dégoût.

« Parler de sentiments quand on en est vide, n'est-ce pas quelque chose dénué de sens...»

Je maintient mon regard glaciale.

«Je pourrais te tuer. » Me sortit-il.
Ce à quoi je lui répond.

« Essayai mais... Je ne crois pas que sa vous sera d'une grande aide, la mort ne me fait pas peur...»

Il s'écarte de moi et me contemple, se qui me donne un frisson.

« Toute une vie à recevoir autant de sentiments néfaste, je me demande bien qu'elle est la personne qui me permet de t'avoir devant moi ?»

Ma baguette retombe en accord avec mon bras.

«Toute ma vie je n'est ressentie que l'angoisse, la peur, la colère et la tristesse des personnes qui m’accompagnaient dans ma vie. Et pourtant mon cœur est remplie d'un sentiment plus destructeur que tout ce que j'ai pu vous énoncer : l'amour; ma voix déraille; Un sentiment que vous ne connaissait pas! Il vous aimez! Il vous aimez tellement!»

Ma voix se change en colère.

« OUI! Oui je ressens tout autour de moi à part la seule personne que j'aime, alors oui mourir ne me fait rien car je n'aurais jamais se que je souhaite! Mais dans tout les cas; Je me rapproche de lui; vous lui faite du mal ou vous touchez à Albus ou à Croyance, croyez moi vous allez regretter d'avoir mis une Delatour en colère! »

Alors que j'allais partir, il me rattrape par le bras et sourit.

«Alors laisse moi t'offrir un cadeau!»

Alors que j'essayais de me détacher de son emprise, il murmura quelque chose et une douleur atroce me fusille le cœur.

Je hurle « Grinderwald! » Ma vision se trouble et je me retrouve dans la rue sous la pluie. Je regarde autour de moi et murmure.

« Que m'a tu fait Grinderwald...»

Les Animaux Fantastiques: À la traversée des sentiments.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant