Les Animaux Fantastiques: À la traversée des sentiments.

Chapitre 8: Une âme solitaire

Je relève ma tête doucement et m'aperçois que je suis devant une petite maison caché à l'abris des regards. Je me lève avec difficulté, mon corps souffre d'une façon si violente chaque pas est un supplice pour moi! Je toque à cette porte.
Jacob vient m'ouvrir, Norbert et Tina derrière lui accompagné de l'homme que nous avons vus au café.
Quand mon regard croisa celui de Norbert apparemment soulagé de me voir, mon corps s'effondra. Je sentie une pression dans mon dos.
Qui m'avais rattrapé aucune idée, mais je pense que se fut mon ami d'enfance.

«Beth?!»; Me dit-il en me secouant; «Beth!»

«Emmène là dans la chambre d'en haut!» Je crus comprendre que ses paroles viennent de Tina.

Mon corps décolla du sol, j'étais paralysée! J'avais envie de crier, d'hurler «Eh, oh! Je suis là!»
Mais rien... Je fut déposer sur un lit, et sentis une légère pressions sur mon poignet on me prenais mes pulsations.

«Ils sont faible mais rien d'aggravant!» s'exprima mon amie New-yorkaise.

En effet je me sentais... étrangement bien! Malgré les circonstances.
Le calme reviens petit à petit dans la chambre. Je suis complètement désemparée... Pourquoi Grinderwald m'a t-il fait ça?!
Albus avait raison... Et moi qui ai décidée de faire ma crise au bon moment... Je m'en veux à un point. Tout à coup une main viens délicatement prendre la mienne.

«Vous le ressentez ou pas?» Murmura Norbert.

«Non quoi?» Questionna Jacob.

«Une magie puissante... Je la ressens aussi.» Dit Tina qui a l'air de se rapprocher de Norbert qui entre temps c'est posé sur mon lit à ma droite.

Le silence deviens pesant et je remarqua alors que mon corps deviens de plus en plus froid. Grinderwald a très bien réfléchi à son sort ... Il veux me faire passer pour morte!
Tout à coup j'entend la porte s'ouvrir à la volée.

«Dumbledor!» s'exclama Norbert.

Quoi! Albus! Mais c'est pas vrais! Pire qu'un gosse franchement!
C'était bien la seule personne que je ne voulais pas voir...

«Grinderwald...» Dit-il la gorge serré. Je l'entend tirer une chaise, il s'assoit sur celle-ci et glissa délicatement ses doigts dans mes cheveux.
Se simple geste m'émouvois, quand j'étais pas bien à cause des émotions que je recevais ou des problèmes à cause des autres élèves ou encore de mes cauchemars! Il me prenait dans ses bras et glissé ses doigts dans mes cheveux pour m'appaiser.

«Elle est si pâle..» Chuchota Norbert.

« J'aurais dû la protéger... rester avec elle...» dit Dumbledor.

«Tous ça n'est pas votre faute mais de la mienne...»

J'ai bien envie de leur dire
«C'est bon vous avez finis de trouver un coupable?»
Mais bien sûr je dois assisté à ça sans rien dire, on dit merci qui les enfants?!
Merci tonton Grinderwald!
J'aurais bien ris à ma blague mais c'est un peu compromis. Cependant même si j'essaye de faire passer cette scène comme quelque chose de comique, j'ai une boule qui se forme dans ma gorge.

«Vous pouvez me laisser deux minutes avec elle... J'ai peu de temps et je ne veux pas vous attiré d'ennuis monsieur Dragonneau.»

Je sens le corps à ma droite donc celui de Norbert se lever, je suppose qu'il a du acquiescer d'un mouvement de tête pour donner sa réponse, la porte se claque doucement.

Une forte respiration se fait entendre dans la pièce, non s'il te plaît pas maintenant ne craque pas je t'en supplie... Je ne pourrais supporter de te faire autant de mal!
Ses mains entoure la mienne, il la maintient avec force.