Chapitre 14: Les ténèbres aux creux de la lumière...

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Je le suis arrivant dans une vaste pièce circulaire palier de grandes marches qui mènent au centre. Comme un théâtre enfaite ! Norbert était derrière moi, me dépassant de presque une tête avec sa taille, il colla son épaule contre la mienne.

« Mais qu'est-ce qu'ils font ici ? » Demandais-je avant de me retourner vers lui. Grinderwald ? »

Il me regarda muet tout en haussant les épaules. Mes yeux analysent la foule, soudain mon corps vacilla mon ami me rattrapa de justesse par la taille.

« Trop de sentiments? » Questionna t-il légèrement inquiet.

« Énormément et tous dans l'angoisse et la peur... Se sont des sangs pures Norbert, ils seraient près à me démanteler juste pour pouvoir jouer avec moi...» Dit-je dans un murmure.

Il me cala contre lui avec fermeté. Je me sens... Comment pourrais-je décrire ceci ? Si bien, en sécurité. Pourtant je sens le regard d'une tierce personne dans mon champ de vision Léta ne rate pas un seul moment de notre échange. Tina s'approcha discrètement de nous.

« C'est un piège.» Chuchota t-elle à notre encontre.

« Oui; Répondit Norbert laissant place à un court silence; Queeny, l'arbre généalogique. C'étaient des appâts.»

« Il faut vite trouver un moyen de sortir d'ici.» Expliqua t-elle quand je remarqua que la porte par laquelle on est passés, se referma et fut protéger par un garde du corps.

« Je ne crains que malheureusement ceci sois légèrement compromis Tina.»

Norbert et elle suivirent mon regard et poussèrent un soupire nerveux.

« Allez chercher les autres. » Demanda mon ami d'enfance, prenant ma main l'entrainant avec lui.

« Qu'allez-vous faire ? » Questionna t-elle.

« On va trouver une idée ! »

Lança t-il tout en détachant ma main, je le suis restant attentive à la foule et à cette estrade présente au centre de la salle. Soudain il arriva t-elle un dieu un héros admirés de tous ! Nous eûmes pas le choix de nous placer dans la foule. Norbert tenant d'une main fermement sa valise et de l'autre tenant fermement la mienne dans la sienne. Je laisse échapper un petit sourire, me calant doucement contre lui. Tout les regards étaient rivés sur cette homme aussi abjecte qu'il est, on ne peux cacher son pouvoir de manipulation et de persuasion. Tout le monde l'applaudissa et pour la première fois de toute ma vie je ressentie un sentiment fort et unique qui cachait nos peurs et qui me fait angoisser alors qu'il ne le devrait pas, l'Espoir.
Le bruit s'atténua pour laisser place à sa voix.

« Mes frères, mes sœurs, mes amis. La belle récompense que sont vos applaudissements n'est pas pour moi non, elle est pour vous. Vous êtes venu aujourd'hui animer par un profond désir et en ayant conscience que les usages d'anciens ne nous conviennent plus. Vous êtes venu parce que vous aspirer à quelque chose de nouveau. Quelque chose de différent...»

Mon corps ne contrôla pas mon sentiments de curiosité plus animer par l'espoir et le courage de toute la foule. Cependant mon esprit à moi me fît comprendre que ceci n'est pas normal et se traduisa par un frisson incontrôlé. Mon ami d'enfance me regarda mais moi j'étais pendue aux lèvres de Grinderwald de façon apeurée et inquiète.

« On raconte que je déteste les non magique, les moldus. » Il fût couper par un homme dans la foule.

« Vermine!» Je remarqua que Queeny essaya de calmer la peur de Jacob tout en posant une main sur sa poitrine.

« Les non mages! Les sans charmes! Je ne l'ai déteste pas, pas du tout. Mon combat n'est pas motivé par la haine. Je dit que les moldus ne sont en rien inférieure, seulement différent. Ils ne valent pas rien, ils valent autre chose.»

Je sent une pression plus soutenue à ma main me faisant revenir à la réalité. Norbert me fixait du regard et me murmura un « ça va ?» sourd sur ce je lui répond par un hochement de tête revenant sur les paroles du discours de Grinderwald.

« Ils ne sont pas insignifiants, ils sont d'un tempérament différents. La magie, s'épanouit seulement chez des êtres d'exception. Elle est accordée, à ceux qui poursuivent de grand desseins. Ah... Qu'elle monde nous pourrions battirent pour l'humanité toute entière, nous qui vivrons pour la liberté. Pour la vérité, et pour l'amour.»

À se mot ma mâchoire se crispa, de qu'elle droit il peux se permettre LUI de parler de l'amour. On en serait pas là s'il y connaissait le véritable sens de se mot.

« Le moment est venue de vous montrer comment je vois l'avenir qui nous attend...»

Mon regard se stoppa sur un objet qu'il porte à sa poitrine au niveau de son cœur... OH! Mais c'est ?! Je fût couper dans mes réflexion par une image qui me fît froid dans le dos. Au dessus de nos têtes, on pouvaient voir des chars d'assauts, ainsi que des immeubles détruits ou en flammes, des avions lançant des bombes et des habitants fuyant pour leurs vies. Tout à coup un énorme allô de lumière transperça la pièce dans un vacarme assourdissant, laissant place à une vision d'une bombe qui explosa devant nous. Je regarda Norbert perdue et perplexe avant de lui dire à voix basse.

« Pas une autre guerre...»

Il enfoui ma tête dans son cou pour me cacher cette vision d'horreur. La peur en moi avait augmenter, stimuler par celle des autres.

« Voilà; cria t-il toujours présent au centre de la pièce; ce qu'il nous faux affronter. Le voilà notre ennemi, leurs arrogance ! Leurs soifs de pouvoirs, leurs barbaries.»

Je me retourna et vis Thésée accompagné de tout son petit groupe d'Aurore. Oh non... Que vont-ils faire.

« Encore combien de temps avant qu'ils ne retournent leurs armes contre nous. Mais ne faite rien, vous devez garder votre calme. Contenir vos émotions.»

C'est que maintenant que tu le dit! C'est pas toi qui supporte la tristesse, la peur et la colère voir la haine des gens qui t'entourent !

« Il y a des Aurores parmi nous.» Dit-il d'un calme mais qui se veux prévenant et strict.

Je baisse la tête comme si j'avais était pris en flagrant délit, Norbert lui regarda autour de lui jusqu'à croisé le regard de son frère. Les gens autour de nous commencèrent à s'agiter.

« Approchez frères sorciers, rejoignez nous.»

« Il ne vont pas faire d'approche selon ton frère.» Murmurais-je à Norbert aux creux de son oreille en toute discrétion.

« Ils ont tués bon nombres de mes disciples, c'est vrais. Ils m'ont enfermés et torturés à New York. Ils ont anéantis leurs amis sorcières et sorciers. Dont le seul crime a était de vouloir connaître la vérité. D'aspirer à la liberté.»

Tout à coup mon corps bascula vers l'avant Norbert me rattrapa d'une main habile, une forte colère me brûle de l'intérieure, je me consume t-elle la braise fraîche qui viens de naître. Malgré tout je visualise très bien d'où elle viens mon regard est rivée sur une jeune femme qui se trouve très proche d'un des sbires de Thésée. Mon ami d'enfance suiva mon regard, me maintenant avec force.

« Votre colère et votre désirs de vengence sont naturels. »

Argumenta Grinderwald avant que la dite sorcière ne pointe sa baguette sur l'aurore qui lui asséna sans réfléchir un sort qui la fît écrouler au sol. On pu entendre un « Non! » dans l'air, sûrement la voix de Thésée mais je n'en suis pas sur encore chamboulée de ce que je venais de voir. Alors nous sommes vraiment des monstres à leurs yeux, nous qui essayons en vains de les protéger !
Le silence vains à notre rencontre, un silence pesant et pleins de noirceurs. Et malheureusement pour moi je crois avoir goûtée à se baiser du diable tant convoité.

Les Animaux Fantastiques: À la traversée des sentiments.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant