Un matin

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La rosée immergée d'intempestifs chagrins,
De pourpre et d'azur comme le ciel au matin.
Elle coule.
Descend la dune et roule jusque Séoul.
Elle houle.
La rosée fit perdue face au déferlement des vagues, on ne distinguait qu'une hauteur attirée au large .
Trace perdue quand l'orage fait des naufrages.
Passent les nuits passent les semaines,
Ta peau n'est plus mienne quand sonne l'heure des chrysanthèmes.
D'une vitesse monotone, bien plus longue qu'un automne,
Tous ces écrits, à vrai dire, ne sont que des babioles.
Un couché de plus, sans cette aura auprès de moi,
Un levé de plus et un rouleau qui m'emporta.

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