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Ma Ré,
Ma terre de soleil, mon île de beauté.
Ton air frais frémissant sur mon teint halé,
Qui a bercé mon enfance, dans ce coin de douce France.
Tes marrées, ton sel affuté et tes ânes bariolés.
Les roses trémières ne sont point éphémères lorsqu'elles sont en Ré.
Le long de la côte, au-dessous des dunes, des châteaux de sable contemplés par milliers.
Les longues balades dans tes sentiers tamisés,
Me rappellent la douceur de mes étés,
Auprès de ma Ré.
Si belle et si pure, tel un ciel d'azur.
Ô ma Ré! une partie de moi est ancrée dans ce havre de paix,
J'entends les chaines de vélos se contrebalancer contre les vents,
J'entends la joie de ces gens-là, qui partent un bout de toi,
Mon île, ma Ré, ma dulcinée.
La terre pour laquelle j'ai succombé.

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