Sana - traité comme une merde puis devenue une princesse {TOME1}

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Salem Aleykoum

Dans la peau de Mehdi

Sa m'énerve jpeux rien faire putain. Juste m'énerver. Je sais pas où est ce fils de pute c'est sa le problème. Jvais le baiser putain.

Sana: Mehdi calme toi

Elle avait pris ma main que j'ai ensuite serrer. Sana jsuis désolé.

Nassim:Mehdi sa va?

Il m'énerve. Je vais le tuer

Nassim: ba répond moi orhh

Sana: ferme la toi

Nassim: alala Sana

???: NASSIM NASSIM FAUT QU'ON BOUGE ET VITE

Il a raccrocher ensuite. Bizarre sa

Sana: AÏEE

J'me retourne vers elle et jvois qu'elle s'est prise une balle a l'épaule. Putain. Jvais vraiment le tuer Nassim.

J'ai couru vers Sana et je l'ai prise avec moi et Jsuis partie vers ma voiture. Je l'ai mis sur les sièges arrière et je suis monter coter place conducteur. J'ai direct foncer à l'hôpital.

Arriver devant l'hôpital j'ai porter Sana comme une princesse et j'ai commencer a courir.

Sana: Mehdi calme toi. C'est qu'une balle à l'épaule je peux marcher t'inquiète pas

Moi: ferme la

Jsuis partie a l'accueil

Dame: bonjour vous voulez ?

Moi: ma femme s'est pris une balle à l'épaule j'ai besoin d'un docteur pour l'opérer

Elle a afficher une mine de déçu. Euh ok

Dame: votre femme. Ok ok

Elle a appeler les docteurs. Ces derniers sont arriver même pas quelques secondes après et ont pris Sana.

3 heure sont passer et toujours aucune nouvelle. Normalement sa devait aller vite car c'est juste une balle à l'épaule c'est pas normal sa. Je commençais à devenir fou. Putain putain putain.

Je venais de recevoir un appel de Sarah. Je réponds donc

Moi: ouais ?

Sarah: elle va bien *pleure*

Moi: je sais pas ils sont toujours au bloc

Sarah: putain j'arrive *pleure*

Moi: reste sa sert a rien en plus t'es fatiguer

Je parlais calmement mais en vrai j'étais énerver de fou malade. Sarah fesait que de pleurer

Sarah: je suis .. désolé Mehdi *pleure*

Moi: c'est pas de ta faute Sarah

Ce n'est pas de sa faute. C'est de la mienne. J'aurais du le tuer depuis le debut ou juste tout simplement ne pas revenir. Mais Sana me manquais tellement ainsi que mes enfants. Je ne pouvais pas rester plus longtemps loin d'eux. C'est impossible. C'est toutes mes vies. Au jours d'aujourd'hui je ne vie que pour eux.