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\______Agréable lecture______/¦Keina¦
Une fois arrivée chez moi ce jour là, les joues baignants de larmes de joie, j'ai direct sauté dans les bras de maman pour lui annoncer la bonne nouvelle. Après avoir pleuré comme une madeleine dans ses bras, je lui ai narré tout ce que Fat Binetou m'avait raconté tantôt
Et elle était très émue et heureuse sur le fait que je puisse retrouver enfin les miens
Ah !, avant que je n'oublie Namay est rentrée chez elle !
La délivrance !
Bref
Quelques jours ce sont passés depuis ces retrouvailles. Et avec maman, nous avions prévu de nous rendre à Mermoz, disons chez mon oncle, aujourd'hui même..
J'appréhende un peu, mais que j'ai hâte !
Très hâte de revoir ma sœur ainsi que Sally. J'ai hâte me blottir dans ses bras si réconfortant...
C'est Fat Binetou qui nous a retrouvé en cours de route, afin que l'on se perde pas
-Bonjour tata, je suis Fat Binetou. Se présente t-elle en tendant timidement la main à maman
-Ayoo déret mo foort deug !
(Le sang ne ment pas ! )
Vous vous ressemblez comme deux gouttes d'eau avec Kaïna !
Allez, viens dans mes bras ma chérie, tu es ma fille. Lui dit-elle en joignant le geste à la paroleAprès l'avoir limite étouffé, maman se détache d'elle en lui désignant Fanta de la main
-Voici Fanta, c'est ma fille
Elle reporte son attention sur Fanta puis fronce les sourcils
Je ne lui ai pas parlé d'elle
-(Sourire) Salut, comment vas-tu ?
-(Sourire) Je vais bien..Lui répond cette dernière en lui faisant la bise
-On s'est pas une fois rencontrées ?. Lui demande ma sœur
-Non, je crois pas..
-Ah, je me trompe sûrement.
Petite sœur !. Fît-elle en me faisant un câlin-Grande sœur ! .Fis je en lui rendant son étreinte
Dis-moi c'est loin ? , écoutes, maman s'est garée au coin de la rue, on peut aller..Elle me coupe
-Pourtant elle est juste là .Nous informe t-elle en nous indiquant du doigt un R+2, façade en pierre dont la devanture est ornée d'une belle composition de fleurs et d'arbustes sur tige
Nous trottinons derrière elle
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-Asalamu aleykûm !. Salua maman une fois que nous foulons l'entréeTrès simple, mais tout de même jolie
-Aleeykûm Salam !. Nous répond une voix féminine
Un femme sort d'une pièce, s'essuyant les mains avec torchon de cuisine
Elle doit être Fifi
Sûrement la quarantaine, teint café au lait, un gabari moyen et très charmante..
Appuyant ma supposition, elle se dirige vers nous avec un grand sourire
-Ayway sama dom diangui ni, seikhando Fatmata Bintou bi !
(Ma fille est là, le jumelle à Fatmata Binetou !). Commence t-elle en m'enlaçant avant de me coller dix bises bruyants
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𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝐴̀ 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝐴̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒
Romance𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑚𝑒́𝑑𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑖𝑙 𝑦'𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑑𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́. 𝐸𝑡 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑎̂𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑓𝑒𝑚𝑒�...