Chapitre 84

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"Quand tout se fait petit, FEMMES, vous restez grandes ! " Victor Hugo

Bonne fête de 8 mars à nous filles, sœurs, amies, mères, épouses...

Bonne fête à nous FEMMES !

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\______Agréable lecture______/

¦Keina¦

Je vérifie si mon téléphone est bien éteint avant de plonger sur le matelas , ce matelas si moelleux qui m'appelait dès l'instant que j'ai franchi le seuil de cette chambre

J'ai toujours les membres en compote.C'est comme qui dirait un gros porteur m'est passé dessus et à plusieurs reprises

N'empêche, je me sens un peu mieux après un petit tour chez la masseuse action de me requinquer

Bref

Ce matin, j'ai émergé de mon sommeil tout en sentant une main baladeuse et experte s'attarder sur mon mon venus avant de venir fouiller délicieusement mon antre. Un réveil tout en douceur

Mais, quand il a voulu revenir à la charge, j'ai commencé à chialer comme une petite fille

J'avais pas fait exprès. Mais, sérieusement ? avec ses assauts d'hier là , wollah même un brasier était peu pour qualifier l'état de mon entrejambe je vous dis.

La tête reposée sur ma poitrine, qu'il qualifie "d'oreiller" , on était dans notre petite bulle à refaire le monde, discutant de tout et de rien après un copieux déjeuner remplit de rires, de bisous à tout va

Mais, toujours est-il, c'est mal le connaître !. Il mit fin à ce moment magique car ses mains commençaient à être beaucoup plus entreprenantes et ses câlins, devenaient un peu plus poussés

-Qu'est-ce tu fais ?. Lui demandais je en lui donnant une petite tape sur la main

-Je veux ma tété !.Lance t-il naturellement en faisant descendre les bretelles de mon déshabillé

Je rigole limite jusqu'à l'étouffement pendant qu'il me scrute bizarrement avant de rejoindre mon rire, hilare !

Ok.

-Comme tu veux pas me faire goûter, il faut que je me console avec mes deux nouveaux potes !.Continue t-il en luttant toujours avec mon déshabillé

Ok.

-Mooh lolu rek ?, yako mom, lo beugg rek yallnay diam néné yayam.Wa legui defal ni ma défarou.
(Rien que ça ?. C'est à toi bébé à sa maman.Pousses toi un peu pour que je puisse me redresser). Lui dis-je pour qu'il arrête de m'écraser avec son poids

Son sourire pervers s'agrandit

-Mais...où vas-tu ?. Me demande t-il en enlevant son t-shirt à la hâte

-Prendre de l'air !. T'as failli m'envoyer chez mes aïeuls hier ! Boudei sa pistolet bi dou niakh balle, ki mom ay balam takhnagn, faut que mou recharger !
(Si ton arme là n'est jamais à court de balles, celui là est déchargé !, faut qu'on l'a recharge !).L'informais je en désignant mon entrecuisse

Je chope une robe à la volée puis sors de la chambre, Ilyes toujours sur mes talons

Aka nior, il sait bien que s'il commence à faire ces choses rek, je ne vais pas résister longtemps. Il ne me la fera pas à moi !

Day mbong mbong lou, beug ma diay khelou mak, wayei fi lamay fek

Ce fût un marathon toute la journée durant : moi l'évitant comme la peste, et lui me collant toujours comme une sangsue

𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝐴̀ 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝐴̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒   Où les histoires vivent. Découvrez maintenant