chapitre 27

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PDV Aries

Je regarde les minutes, les heures, les jours passé, j'ai l'impression que mes journées se répète, je reproduit exactement la même choses depuis des jours

De mes journées je me plonge dans le travail pour éviter de pensé à ce manque,

Je regarde par la fenêtre de ma chambre, les gens passé dans la rue, des parents avec leur enfants, des adolescent a courir pour avoir leur bus, en passant par des femmes et hommes d'affaire, et s'ajoute à ça des personnes âgé, de jeune couple à se balader mains dans la mains, je vois aussi ses chiens qui courent et la queu devant la boulangerie en face se chez moi

J'ai sous mes yeux la terre qui continue de tourner, le soleil qui se lève et fini par se coucher le soir en laissant apparaitre un ciel rouge tournant au rose orangé

La vie autour de moi suit son cour mais la mienne c'est arrêté
May elle vie, sa vie, elle chantonne même le matin, c'est pour vous dire qu'elle est de bonne humeur, mais moi c'est une autre histoire

En me levant le matin, cette sensation d'un manque est présente depuis leur départ, j'ai un noeud dans le ventre qui me fait ressentir du stress, et en cours je regarde dans le vide, je n'arrive pas à me concentrer ni même à écouter qui que se soit

Je suis actuellement dans la salle de musique, mais je ne joue à aucun instrument, je suis juste la, assise sur une chaise à observer les parages, je regarde les violons posé sur leur présentoir, la guitare mise à disposition pour y jouer, et bien évidement ce magnifique piano en bois vernis, aussi grand et majestueux qu'un roi, il est en plein milieu de la pièce est prend quasiment tout l'espace,

Je fini par me lever de ma chaise et vais m'installer devant cette instrument volumineux,

J'ouvre son couvercle, éfflore les touches avec mes doigts et tout naturellement je me met à jouer, je joue une de ces magnifique musique que mon grand père écouté beaucoup auparavant "Nuvole Bianche"

Il la joué en boucle, il ne s'arrêté pas, il ne voulait jamais s'arrêter de la jouer, mais un jour est venu ou sa maladie c aggravé et il a du se contenté de l'écouter, mais ne plus ressentir cette sensation dans ses doigt en touchant les touches noir et blanche qui formé ce magnifique instrument le rendez malade, il ne pourrait plus ressentir l'émotion que sait de pouvoir pratiquer ça, c'était une passion pour lui, mais le temps et la maladie lui a interdit de continuer à la vivre

J'ai toujours voulu apprendre, en voyant mon grand père joué, il ma transmise cette passion qu'il avait en lui sens même que j'ai eu besoin de sentir se toucher sur mes doigts que j'aimais déjà le piano

Il ma appris à y jouer, mais pas que, à ressentir les émotions, à vivre la musique, à donner ton coeur et ton âme, il m'a appris ce que c'était de pouvoir se sentir libre de jouer

En jouant je repense à mon grand père, à nos moments passé ensemble à ce qu'il me dirait en ce moment même, mais je pense aussi à V parce que cette musique instrumentale est l'une de ses préférés...

A la fin de mon morceau, j'ai juste envie vouloir jouer toute ma vie sans pouvoir m'arrêter mais mon téléphone se met à sonné, je ne prend pas le temps de regarder qui m'appelle je décroche juste :

~Appel téléphonique~

Moi : Allô ?

??? : Aries ! Faut vite que tu vienne !

Moi : attend comment ça ?

??? : sltp tu es ou ?

Moi : à la salle de musique pourquoi ?

??? : sort vite et rejoint moi !

Moi : ok ok !

Je raccroche et pars en vitesse..

Tome 1 : La magie du destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant