Je regardais alors mon téléphone où était affiché : "Maman♥". Je décrochais rapidement alors immédiatement afin de ne pas l'inquiété.
« Allo ? »
« Tu vas bien ma chérie ? »
« Oui bien sur ! »
« Tu as déjà mangé ? »
« Je comptais le faire maintenant justement ! »
« Je ne te dérange pas j'espère ? »
« Non ! Bien sur que non »
« Tant mieux alors ! J'aimerai venir te chercher après les cours ? On pourrait faire un tours ensemble ? Tu veux bien ? »
« Aujourd'hui ? »
« Oui aujourd'hui Miku ! »
« Je suis désolée maman, je quitte à 18h aujourd'hui.. »
« Mais tu fini à 16h non ? Tu m'as dit cela ce matin avant de partir. »
« Je me suis trompé, désolée.. »
« Dans ce cas reportons à demain ? »
« Oui ! »
« Je vais te laisser manger, à tout à l'heure ! »
« Bisous »
Je raccrochais alors suite à mon échange avec ma mère. Étais-je différente ? Aux yeux de ma mère je suis une adolescente normal qui a juste des hallucinations dû aux stresses. Rien de grave non ? Je l'avais dit que les adultes haut placé tenter de tout cacher. Il était évident que ma mère ne connaissait pas la vérité. Et c'est une bonne chose, au moins elle ne se mettait pas en danger à cause de moi.
Après une réflexion, j'entamais mon repas. La faim se faisait attendre alors je devais me remplir le ventre au plus vite. Du riz au thon, rien de plus banale mais rassasiant.
ELLIPSE DE 2 HEURES
14h, salle de classe. Les cours avaient repris depuis 1h. Dernière ligne droite de la journée ! M'enfin j'étais au lycée jusque 18h, ça allait être long. Comme je le pensais, les messes basses se faisait entendre. J'y étais déjà préparé donc cela ne me faisait rien. Mais certes, ils auraient pu être un peu plus mignon tout de même. C'étais pas très chaleureux et cela ne m'étonnait même pas. Soit, les cours avaient repris et pouvait faire fermer leurs bouches, ça me permettait d'avoir moins mal aux oreilles. Nous étions à ce moment là en littérature, on allait étudier un nouveau livre. Celui-ci raconter l'histoire d'une femme séquestrée pendant des mois, elle finit par s'enfuir puis l'homme en question est arrêté. Je n'aimais pas ce livre, ça me créer une boule aux ventres. Une peur que cela recommence. D'autant plus que cette femme dans ce roman fini par avoir une justice, elle a eu cette vengeance. Pas moi. Je voulais l'avoir, je voulais la savourer. Un de mes désirs était que cette homme paye pour ses crimes ainsi que les personnes qu'ils l'ont aidé à tout cacher.
- Hatsune Miku ! Vous êtes convoquée chez le directeur. Rendez-vous sans plus tarder. Fit un des surveillants.
Il était rentrer dans la classe sans que je ne m'étais aperçu de quoi que ce soit. Je devais arrêter de rêvasser. Sans plus attendre, je m'étais rendue dans le bureau du directeur. J'ai traversé une bonne partie des couloirs avant d'arriver dans la partie administrations du lycée. C'étais assez vivant ici.
Alors, je toquais sur la porte imposante puis entendit le mot «Entrer ! », c'étais assez rugueux. Je n'ai pas perdu de temps à entrer dans la pièce tout en me la fermant. Je savais pertinemment que je n'étais pas ici pour rien et que là je ne devais pas la ramener.
- Tu sais pourquoi tu es là ? Me demanda le directeur tout en appuyant ses coudes sur le bureaux en face de lui.
- Non. Répondis-je.
- Je ne vais pas passer par quatre chemins. Ton camarade que tu as envoyé à l'infirmerie ce matin, ses parents ne pas comptent pas en tenir à de simple heures de colles. Ils comptent te poursuivre en justice. Bien sur j'ai tout fait pour t'éviter des problèmes même si tu es la responsable dans tout cela. J'ai regardé ton dossier, tout est cleane. Alors je vais t'envoyer une nouvelle fois chez la psychologue. Les parents de ton camarade sont d'accord, en contre partie ils te poursuivront pas. M'annonça-t-il.
- Pourquoi est-ce que je devrai aller la voir ? Pourquoi ça réglerai le problème ? Demandais-je dans l'incompréhension.
- Les incidents que produit un élève ainsi que ses rendez-vous chez un psychologue apparaissent sur les dossiers scolaires. Cela va te pénaliser pour l'université, voilà pourquoi tu iras chez la psychologue à la place des poursuites. Continua-t-il.
- J'ai déjà vu Madame Maniwa en début d'année. Ça ne va être qu'une perte de temps. Répondis-je.
- Madame Maniwa a démissionné. Nous avons un nouveau psychologue : Monsieur Noguchi. Les surveillants te donneront les rendez-vous. Ne rate aucun rendez-vous ou tu auras un avertissement. Finit le directeur.
J'étais alors sortie du bureau une fois ses derniers mots prononcés.
Dans quoi est-ce que je me suis fourré ? J'étais foutue. Rien que de penser que j'allais de nouveau revoir un psychologue me rendait anxieuse. D'autant plus que c'étais un nouveau psychologue. Il allait sûrement reprendre depuis le début, depuis ses fameuses "hallucinations". J'étais alors préoccupé.
Je sentais alors que quelque chose n'allait pas, quelque chose clochait. Et puis pourquoi Madame Maniwa aurait démissionné en plein milieu d'année ? Toutes sortes de réponse hanté mon esprit. Chacune d'elle était accompagné d'un sentiment d'inquiétude. Qu'est-ce que j'allais faire ?
Je voulais esquiver les rendez-vous mais je ne voulais pas donner de tord à ma mère. Nous avons subitement déménager par ma faute. Je l'avais supplié pour partir de notre ancienne ville. Là-bas je restais enfermé dans ma chambre. Je ne bougeais plus de ma maison. J'avais peur qu'ils me retrouvent, qu'ils viennent me chercher suite à cette nuit-là. Ils avaient sans doute peur que je parle, que je dise la vérité. M'enfin ils avaient prit le devant, en me qualifiant d'attardée. Une fille qui voyait des hallucinations, personne n'aurait cru ce que j'allais dire. Alors nous avons déménagé de cette ville étouffante.
Seulement, une chose était encore attaché à moi : l'angoisse.
Je ne savais pas si ils allaient s'arrêter la. Peut-être allaient-ils faire plus ? Comme me supprimer.
Θ ////////////////////////////////// Θ
Une porte s'était ouverte vers ma vengeance. J'avais peur de ses rendez-vous chez le psychologue mais au final ça allait m'aider à conclure ma vengeance.
Ils sont venue à moi d'une mauvaise manière. J'avais une opportunité en or.
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• Vocaloid : Clock •
Mystery / ThrillerMini-Fiction : C'était l'automne, proche de l'hiver. Il n'y avait presque plus de feuille sur les arbres. Ils étaient vident et mort comme je pouvais l'être. Le vent glacé effleurait ma peau nue et découverte. Seulement je ne ressentais pas cette s...