Chapitre 7

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- Les caméras. J'ai accès à toute les caméras du lycée. Fit-il. Ne compte pas sur ton professeur pour t'aider petite Miku. Vient plutôt me voir en tant que psychologue je suis bien plus efficace. Finit-il.

- Je ne vous fait pas confiance ! Sachez que je ne vous parlais jamais.  Déclarais-je en courant vers la sortie.

J'avais l'impression d'être suivi, surveiller. Cela me m'était mal à l'aise. Je n'avais plus aucun endroit dans le lycée où je pouvais souffler. Cet homme me faisait de plus en plus peur. Je voulais l'éviter, ne plus aller à ses rendez-vous. 

J'avais dévalée les escaliers comme jamais, les couloirs étaient bondés d'élèves mais j'en faisais abstraction. La seule chose que je voulais été de quitter le lycée, être en dehors de cet immeuble étouffant.

Bien que j'étais concentré sur mon objectif, une nouvelle personne m'arrêta. Il était évident que ce n'était pas mon jour.

- Eh Miku ! Déclara Haruto.

- Qu'est-ce que tu veux toi ! M'énervais-je. Tu vas écouter tes petits potes et me "prendre" c'est cela ? Continuais-je sur les nerfs.

- Non je voulais seulement dire que je suis désolé pour ce que tu as vu. M'annonça-t-il. Ok je ne t'aime pas mais vu les sentiments que tu as pour moi, je ne veux pas remuer le couteau dans la plaie ! Finit Haruto.

- Mais toi tu n'as encore rien compris ! Comment est-ce on peut être aussi stupide comme toi ? Demandais-je.  Je n'ai aucun sentiment pour toi alors dégage ! Je n'ai plus rien à te dire.

Je finissais par lui rendre un regard haineux. Ma foi, c'étais devenue quotidien.

Je sortais enfin de cet enfer, que je m'étais souvenue d'une chose importante ma mère. Je m'empressais alors de lui envoyer un message pour lui dire que j'avais quitté plutôt. Encore un des mes nombreux mensonges. De plus, je lui avais dit de se rejoindre directement aux centres commerciales. Je n'avais pas envie  qu'elle vienne devant le lycée.

Alors je m'étais empressé de monter dans un bus et enfiler mes écouteurs. J'avais besoin d'entendre de la musique. Ça me calmais. Heureusement les magasins ne sont pas très loin et il m'a fallu moins de 15 minutes pour rejoindre le lieu précis.

J'étais alors sortie du bus, je devais me transformer, devenir à présent une adolescente heureuse. Faire passer mes soucis et mes inquiétudes derrière moi. Je devais jouer le jeu afin de ne pas inquiéter ma mère. 

Une fois apparu dans mon champs de vision, je la rejoignais. Elle était assez de bonne humeur, elle attendait se moment avec impatience. Je refusais souvent de sortir, elle était assez triste en général. Ça me brisait le cœur, car c'étais de ma faute. Ma peur me prenait le dessus. 

Cependant, j'étais également contente  de passer du temps avec ma mère. Je n'avais pas senti ce sentiment depuis longtemps. Alors nous nous étions rendu à Miniso, le fameux magasin que ma mère voulait tant s'y rendre.

On parcourait les rayons à la recherche d'objet qui sortait du lot. Ça me rappelai des souvenirs du temps passé. Je voulais retrouver cette joie de vivre mais ? Cette vengeance était aussi importante.

Cependant, je m'étais rendu compte que je n'étais pas la seule à sécher. 2 - 3 filles de ma classe étaient également sorties. Cela m'étonnait pas mais bien sur il fallait que je tombe sur elle. Vu la chance d'aujourd'hui, le ciel m'en voulait. 

Elles m'avaient enfin remarqué. Des petits ricanements se faisaient entendre, ça m'exaspéré du plus au point. J'avais réellement envie de leur régler leurs comptes. 

- Tu les connais Miku ? Demanda ma mère.

- Ah non elles me disent rien du tout. Continuais-je dans le déni.

J'avais installer le doute chez ma mère et ça se voyait.

- Tu ne veux pas aller quelques parts d'autre ? Rien ne m'intéresse ici. Annonçais-je.

- D'accord. Répondit ma mère qui me suspectait.

On avait donc fait quelques magasins avant de rentrer. La nuit s'était imposé rapidement. Je sentais le besoin de rentrer. 

Malgré le léger problème avec "mes camarades", j'avais essayé de remettre en confiance ma mère, lui dire que tout aller bien. Si elle avait des soupçons, ça serait encore pire.

ELIPSE 

Le lendemain, 09h45. 

J'arrivais devant le portail du lycée, j'avais envie de mourir comme d'habitude. Que quelqu'un me prête une corde. Cependant, j'avais un autre problème de taille. J'avais séché tout les cours d'hier. Je devais impérativement rendre une absence. Bien évidemment, j'avais moi-même signé cette fameuse absence. La seule chose qui me perturbait, était ma mère. Elle n'avait pas l'air au courante, alors que le lycée l'appelait en général.

Alors j'avais pris ça comme une nouvelle chance. Je cherchais donc Kagamine-sensei, étant mon nouveau professeur principal je devais lui remettre en main propre.

Je faisais les recoins du lycée, afin de le retrouver.  Pas en salle de classe, pas dans les bureaux, nulle part. J'avais donc remuer mon esprit, et me rendais alors dans un endroit peut-être improbable : le toit. 

- Je vous chercher partout. Déclarais-je.

- C'est mon heure de pause Miku, qu'est-ce que tu as besoin ? Demanda-t-il froidement.

- Je voulais vous montrer mon absence d'hier. Fis-je en lui tendant mon carnet.

- Tu n'as jamais était absente. Fit-il en se retournant vers moi. De tout manière je sais que ce n'est pas ta mère qui l'a signé. Finit-il sérieusement.

Il était parti du toit, encore une fois sur ses mots. Mes altercations avec Kagamine-sensei était toujours bref. Mais cette fois-ci je sentais une ambiance différente. Il avait l'air assez énervé.

Peut-être étais-ce à cause de monsieur Noguchi ? Mes propos échangés avec lui sur le toit hier m'on confirmé que les deux adultes ne s'aimaient pas.

Je soupirais encore une fois. J'avais descendu les escaliers pour rejoindre l'étage de ma salle de classe. Cependant ,arrivé à l'étage souhaité une chose retient mon intention. Celle qui était présente dans le couloir ce jour là ! 

J'avais envie de me défouler ! La maintenant ! Cette envie m'était apparu soudainement. Elle n'aurait jamais dû apparaître devant moi cette petite princesse. Je la suivais discrètement pour assouvir mes désirs. Elle allait au toilette.

On allait alors se refaire une beauté ensemble ma belle ! J'ouvrais la porte, rentrais et la verrouiller. Personne à part elle est moi était à l'intérieur, je crois que je vais m'amuser.

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Mes envies s'affirmaient de plus en plus. Je n'arrivais plus à les enlever. 

Ça me faisait plaisir.





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