Des étoiles plein les yeux.

14. Fin de Mission

Mizury Yada, capitaine du Zéphyr III.

- Maman ??, dit Maeva.

- Ma... Maeva ??, lui répond la femme.

Les deux filles ce saute au cou, en pleurant.

- Tu m'as tellement manqué ma chérie, dit la mère. J'aurai tellement voulus être la pour toi....

- Tout va bien maman, on est là pour toi, on va te sauver

Au moment où elle finit ça phrase, une autre secousse, plus importante, frappe le vaisseau.

- Mesdames, on devrait VRAIMENT se dépêcher, finir par odornné Gale.

On aide la femme à se relever, et on engage le pas en direction du vaisseau. Les couloirs son désert, comme à l'allée, et le vaisseaux nous laisse aller la ou veut aller. Même si le chemin semble avoir changé. Eva et sa mère sont en pleine discussion, cette dernière ne semblant pas du tout stresser face à tout ce qui l'entoure. Elle discute tranquillement avec Maeva, comme si de rien n'était. Les secousses se font de plus en plus fréquente et forte. On arrive enfin au sas de notre vaisseau. Je leur demande d'ouvrir, mais Lillie refuse.

- Non, elle nous dit dans l'interphone du sas. Pas question que je laisse cette chose entrer dans le vaisseau. Ils ne rentrerons pas.

Tout le monde est perplexe, sauf Gale qui me regarde. Il le pose une question muette, et je lui répond d'un hochement de tête. Il pointe son arme sur la mère de Maeva, qui affiche un sourire satisfait sur ça tête, et presse une fois la détente. Un blanc s'installe, ou personne de bouge, tout le monde regardant Gale. Puis, regardant la mère d'Eva. Cette dernière ce relève, un énorme trous dans la tête, de contamination Biomorphe autour qui le referme. Gale tire 2, 3 coups en plus, puis nous force à rentrer dans le vaisseau. Je porte Eva, qui est en pleure devant ce qu'il reste de ça mère, cette dernière ce relevant malgré sa tête en très mauvais état. Le sas se referme, et le vaisseau s'éloigne. Même pas dix seconde plus tard, Le vaisseau Biomorphe que l'on vient de quitter explose en une multitude d'étincelle. On entre en HyperEspace.

Je tente de calmer Eva, mais rien ne marche, elle est complètement remontée contre Gale, qui est la seul, a part moi, a avoir compris ce qu'il c'est passé. Elle l'insulte de tout les noms, lui crie qu'on avait le remède, qu'on aurai pue la sauver. Lillie intervient, lui attrape gentiment le bras, et la calme. Elles s'assoient sur le canapé avec moi, alors qu'Eva pleure dans mes bras.

- Il ... il n'aurai pas fonctionné, me dit-elle. Le remède ... n'aurai pas fonctionné.

- Pourquoi, je lui demande ??

- Ça faisait trop .... trop longtemps. Il ne...  marche que sur les personne qui... qui sont entrain de ... se transformer. Elle, ça faisait d.... des années qu'elle.... n'était plus elle-même. Il .... n'aurai .... pas ... fonctionné.

Elle finit en sanglots dans mon épaule.

- Tu sais, lui dit Lillie, tu as passé beaucoup de temps à chercher ta famille, mais en faite, tu l'avais déjà sous tes yeux. C'est... c'est nous ta famille Maeva.

- Oui, on sera tous toujours là pour toi Eva, je rajoute.

Elle essuie une larme, et lève sa tête en nous regardant.

- Vous avez raison.

Je l'embrasse. Personne ne semble choquer, excepté Léo, qui lâche un ... crie ... de surprise. Quand on arrête, on rigole tous de ça, sûrement du à tout le stress qu'on a accumulé pendant les dernières heures. Les soldats prennent congé, et on se retrouve tout les cinq dans la pièce principale. Lillie s'installe sur mes genoux, Eva pose sa tête sur mon épaule, avec toujours quelque larmes qui coule sur son visage. Luc se colle à sa sœur, passant un bras protecteur sur ses épaules et Léo s'asseoir au pied du canapé en allumant la télé. Après avoir risqué nos vie dans ce vaisseaux Biomorphe se regrouper pour faire une action aussi anodine me redonne le sourire. On en a pour 12 heures de voyage avant d'arriver à l'académie pour le briefing, alors autant les faire passer dans la bonne humeur.