PDV Éléna
Nous arrivons tous en même temps après 30 min de route. Nous nous garons devant la villa. Des dizaines de voitures plus belles les unes que les autres sont déjà garées, si je n'étais pas habituer à voir ça, je serais vraiment étonner.
Je sors de la voitures suivie de Jess et les autres. Nous marchons deux par deux, moi et Jess devant sous les regards des gens. Nous montrons nos invitations à l'homme qui est censé vérifier les invitations. Vous savez le mec qui est toujours là à vous dit que vous êtes pas dans la liste des invités. Celui qui casse les couilles. Il nous laisse passer bien sûr. Les fausses invitations sont vraiment très crédibles.
Nous avançons le long d'un couloir, immense à première vue. Nous arrivons devant deux grandes portes ouvertes avec deux gardes posés de chaque côtés. Les portes mènent à un grand et long escalier vous savez comme dans les châteaux, il manques plus que le tapis rouge ( voir média ). En bas des escaliers, des centaines de personnes sont là.
Nous descendons les escaliers sous les chuchotements et les regards des gens dans la salle. Bien sur nous ne descendons pas ensemble mais séparément, ça évitera les soupçons. Je laisse les autres passer devant, une fois tout le monde passer je descend.
Je regarde autour de moi et vois un grand buffet à volonté dresser sur une grande table. Bien sûr je me dirige vers le buffet. On oublie pas les priorités hein.
Sur la table, des tonnes de choses à manger ont étaient préparer, entrer, plat, dessert, tout y est. Un menu digne de cinq étoiles quel dommage que le cuisinier sera bientôt sans patron.
En prenant une part de gâteau au chocolat, qui me fait de l'œil depuis tout à l'heure, je regarde autour de moi.
Tout les hommes sont accompagner par leur femmes. Je les détestes, hommes comme femmes, ils croient tous être au dessus de tout le monde, que tout leurs appartient et qu'ils se font respecter de tous. Une illusion. Enfaite ils sont tous cons, les un comme les autres, puissant, travailleurs et riches, c'est se qu'ils croient dégager. Moi je dirai plutôt, écœurant, fainéant et débiles. Ouais, voilà c'est parfait.
Je ne suis pas jalouse, comme certains d'entre vous le pense. Je trouve juste que c'est injuste qu'ils reçoivent tous le mérites de ce qu'ils n'ont jamais faits. La plus part des gens dans cette salle recrutent des gens pour se salir les mains à leurs places. Certaines personnes ne veulent que payer leurs loyers et ils en profitent parfois même en leur fessant du chantage pour leurs business de merde. C'est honteux.
Je me fait sortir de mes penser par une voix.
? : Vous n'avez pas peur de grossir ? Dis une voix aiguë.
Je me retourne et vois une femme, la trentaine je pense, elle est habiller d'une robe violet qui ne couvre que le tiers de ses seins avec des talons équivalant à l'ego de mon père, gigantesque. Je ne vous parle même pas de sa tête là, enfin si c'est sa tête parce que là ça craint. Trois milles pot dans la gueule je sais maintenant que c'est possible.
La pouf : Je vous parle. Dit elle en criant à moitié.
Moi : C'est du mascara ou du marqueur ? Dis-je en la regardant attendant une réponse.
La pouf : Comment oser vous ? Dit-elle dramatiquement.
Moi: Tagueul. Dis-je, j'ai le chic pour être direct et claire quand je parle.
La pouf me lance un regard noir et m'écrase le pied. Je me mord la lèvre pour éviter de lâcher un cris.
Je me reprend et lui balance une de ces droites, le bruit a tellement résonner qu'il eu un blanc dans toute la salle tandis que la pouf s'écroule par terre sûrement dans les pommes.
Je regarde autour de moi et vois Jess au loin. Elle sourit en coin, elle savait très bien que j'allais pas être tranquille pendant tout la soirée. Je lui souris en retour.
Mon regard se perd dans un groupe de deux hommes. Celui de devant doit avoir la trentaine tandis que celui de derrière a l'air un peu plus jeune.
Ils se dirigent vers moi furieux en tout cas pour le premier.1er homme : Qu'est-ce qui vous as pris ? Dit-il furieux.
Moi : T'es qui ?
Il me regarde en fronçant les sourcils pendant que l'homme derrière sourit.
1er homme : Éric Tascon et la femme que vous venez d'agresser et ma femme. Dit-il avec sont air d'hypocrite.
Moi : Et bien vous direz à votre sac à merde qui vous sert de femme de bien se tenir la prochaine fois car je pense qu'en tant que chef d'entreprise vous savez que les femmes de patron sont censée représenter leur entreprise. Je pense que vous aller faire faillite avec la gueule de sorcière qu'elle a. Vous l'avez trouver chez les poulets ou c'est comment l'a ? Nan mais n'importe quoi cette génération. Dis-je en partant vers les toilettes.
Arriver dedans, je vois deux femmes discuter. Elle me regarde de haut en bas.
Moi : Vous voulez ma photo ? Dis-je sur les nerfs.
Elles me lancent un regard noir semblable à celui d'un mouton puis partent. Je rentre dans une cabine et fait mes besoins. Une fois finis, je sors et me lave les mains. Je prend mon téléphone et vois un message d'Emilie.
« Salut, sa te dirai d'aller à la plage demain ? Je te laisse le dire à Jess je dois y aller aller kiss ma coupineee »
Je lui dit d'accord et de m'envoyer un message avec l'heure et l'adresse. Je range mon téléphone et sors des toilettes.
Je m'en vais au bar en attendant que l'autre con se montre pour sûr je puisses le tuer et rentrer dormir.
Moi : Ah putain talon de merde. Dis-je en les élevants puisque je suis assise sur la chaise de bar.
? : Vous êtes aussi charmante pour parler que pour frapper. Dit une voix dans mon dos.
Moi : C'est un compliments ça ? Dis-je en me retournant.
Je vois le deuxième homme de tout à l'heure.
? : Prenez le comme vous voulez. Dit-il en souriant.
Moi : Sarah Roscoff et vous ? Dis-je, je préfère garde un faux nom.
? : Julien Tascon.
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Éléna Jones
Acción- Moi, c'est Éléna Jones et je vous emmerde. Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez.