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━〖16h38〗━ ➢𝑆𝑀
"Dis ma Y/N d'amour, qu'est-ce que ça fait d'être vieille ?"La voix mielleuse de ton petit ami te fit sortir de tes pensées. Agacée, tu lui lançais un regard foudroyant.
En plus de te le coltiner chez toi, tu devais aussi travailler avec lui dans son agence...
"Retourne travailler tes pas sinon je te jure que je vais te tuer." grogna-tu en pointant fermement ton stylo vers le miroir face au brun.
YangYang sourit. Il continuait de te détailler à travers la glace, le regard brillant d'admiration à ton égard, tout en continuant ses étirements.
"Tu es vraiment belle pour une vieille." commenta-t-il pour la millième fois.
"Tu vas vraiment t'amuser à dire tout ça parce que Kun n'est pas là ?" demanda-tu totalement agacée en relevant ton visage vers le sien. "YangYang sérieusement, travaille tes pas. J'ai pas envie de me faire disputer parce que tu es encore en retard sur le programme." lui ordonna-tu.
"Mais Noonaaaaa !" se plaignit-il.
"Bon sang, Liu YangYang..."
Sûrement l'aurais-tu déjà étranglé, tué, et enterré en pleine forêt, si il n'avait pas été un chanteur aussi connu et apprécié que maintenant.
"J'ai envie de te faire des bisous." miaula le brun en se retournant vers toi.
"T'auras droit à de l'attention uniquement lorsque tu auras finit de travailler sur Love Talk." marmonna-tu en regardant à nouveau la feuille sous tes yeux.
"Mais j'ai envie de te faire un câlin..." insista-t-il.
Tu relevais tes yeux vers lui, l'air mis agacée, mis épuisée.
"Si je te laisse me faire un câlin, tu arrêteras de me casser les pieds et tu ira travailler sur Love Talk ?" demanda-tu.
"Oui !"
Un immense sourire se formait sur les lèvres de ton petit ami. Il arrêtait ses étirements et courait presque dans tes bras. Tu avais cette constante impression de sortir avec un enfant. Ce n'était pas déplaisant, juste étrange.
La tête de ton brun vint se loger dans ton cou, ses bras autour de ta taille.
Tu pouvais sentir son torse se coller à ta poitrine, quelques mèches de ses cheveux caresser ta lèvre inférieure, ainsi que ton menton, et ses mains t'agripper fermement les flancs.
Même si il était brusque dans ses gestes, tu ne pouvais pas nier apprécier le sentir contre toi. Rien que sentir son odeur sous ton nez t'emmenait déjà au paradis.
