Une journée au parc

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PDV Léo :

Je venais de lui poser la question qui me trottait en tête depuis le début de la journée et Kaïa semblait pensive, comme si elle réfléchissait a sa réponse.
Au bout de quelques secondes elle finit par déclarer :

- J'aimerais qu'on en discutes, mais asseyons nous, se seras bien plus confortable.

Et c'est sur ces mots que je la suivit jusqu'au banc qui se trouvait quelques mètres plus loin.
Une fois que nous étions assis et confortablement installé, c'est elle cette fois-ci qui engagea la discution.
Après avoir pris une grande et longue inspiration.

- Je ne souhaite absolument pas m'excuser pour se que j'ai pu dire sur cette femme, car je sais très bien que je n'ai pas mal entendue et que je ne me suis pas trompée.

Elle me dit sa comme sa, d'un coup, sans reprendre sa respiration entre temps.
Je sentais le doute s'installer en moi.
Je me devait de croire ma petite copine mais en même temps j'avais l'impression que Lorie n'était pas capable d'une telle chose avec ce pressentiments qui me soufflait que Kaïa avait raison mais ma conscience me criait qu'elle avait tord, et tout cela en même temps !
Je ne savait plus où donner de la tête et Kaïa a du le remarquer bien vite car elle me demanda :

- Tout va bien, Léo ? Tu es tout pâle.

La douceur, la tendresse, l'inquiétude et l'amour s'entendait dans sa voix et cela me rassurait énormément.
Une fois que j'eus reprit un peu mes esprits je répondait a sa questions :

- Oui, oui. C'est juste que je ne sais pas vraiment que penser.

Je vit une grimace presque invisible se former sur son visage pour disparaître presque aussitôt, déformer par les mots qu'elle avait prononcer.

- Je comprend, ne t'inquiètes pas. Je peux te laisser autant de temps que tu veux pour y réfléchir. Temps que tu y réfléchis bien, cela me convient.

Je lui souris et elle me rendit mon sourire en m'embrassant. C'était un baiser remplit de tendresse mais assez fougueux, il était doux, tout en étant acharner, bref c'était un des baiser les meilleurs de ma vie.
Après ce chaleureux moments nous nous séparons avec regrets mais nous laissions nos fronts collés l'un a l'autre pour garder du contact et sentir nous haleines chaudes se mélanger.

Après plusieurs minutes qui m'ont semblé durer seulement cinq secondes nous nous séparons et elle se lève, je l'imite et nous continuons de marcher dans le parc, nos doigts enlacés comme si nous avions tout deux peur que l'autre ne veuille s'en aller

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Après plusieurs minutes qui m'ont semblé durer seulement cinq secondes nous nous séparons et elle se lève, je l'imite et nous continuons de marcher dans le parc, nos doigts enlacés comme si nous avions tout deux peur que l'autre ne veuille s'en aller.

Au bout de vingt minutes de marche nous décidons de nous arrêter sous un cerisier en fleur, juste magnifique.
Je m'adosse au tronc et Kaïa pose sa belle petite tête sur mon torse, elle est presque entièrement sur moi.
Elle chuchote quelque chose d'incompréhensible et moi, je lui demande de répéter, ce qu'elle fait sans la moindre difficulté.

- Je t'aime, MON Léo.

Et elle avait bien appuyer sur le "mon" ce qui me fit lâcher un petit sourire amusé.
Je lui répondit donc :

- Je t'aime aussi, MA Kaïa.

En appuyant a mon tour sur le "ma" et je sentit malgré mes vêtements qu'elle souris sur mon torse, sûrement autant amusée que moi quelques secondes plus tôt.

Après ce petit moment de complicité, elle s'endormit dans les bras et le marchand de sable ne tarda pas a me faire subir le même sort, mais nous étions tellement bien, la, rien que tout les deux, sans rien pour nous déranger.

Je me réveilla et vit que Kaïa n'était plus là. Je me leva donc pour faire le tour le l'arbre mais elle n'était pas la non plus.
En retournant a ma place, je vis qu'elle m'avait laissée un mots en disant :

Chère Léo,
Je te laisse se petit mots pour t'avertir que je suis partie chez Loukas.
Je voulais te prévenir mais je ne voulais pas te réveiller alors je suis partie.
Si je suis partie chez lui, c'est pour me marier avec lui.
Et oui Léo, j'ai joué avec tes sentiments et je ne t'ai jamais aimé !
Maintenant, je te fait mes adieux et j'espère ne jamais te revoir.
Au revoir.

Ta Kaïa que tu aime mais qui, elle ne t'aime pas

A ces mots, mes larmes ruisselait a grosse goutes sur mes joues, je tomba au sol, lisant et relisant ce mot, tellement douloureux pour moi.
Je commençait a crier a Kaïa de ne pas m'abandonner et que je l'aimait, priant pour que ce ne soit qu'une mauvaise blague.

Tout a coup, je sentis quelqu'un me secouer.
Je cligna des yeux et me retrouva dans la même position que quand je me suis réveillé mais cette fois-ci, avec Kaïa, penchée au sur moi, elle avait les larmes au yeux et elle semblait inquiète, très inquiète. Je me rendit alors compte que mes joues était trempés et que j'ai pleurer dans mon sommeil, a cause de mon cauchemar.
Je prit Kaïa dans mes bras et la serra fort, comme si elle allait s'enfuir.
Une fois que je la lâcha, elle me demanda :

- Que se passe-t-il mon prince ?

- Rien, juste un mauvais rêve.

- Ah oui ? Tu peux me le raconter ?

- Oui, bien-sûr.

- Explique moi tout, je veux savoir tout les détails pour te rassurer.

- Entendu.

Je me lançait alors dans une expliquation détaillé, sans rien oublié, je me souvenais encore mots pour mots de la mini-lettre, alors je la lui redit comme si elle était sous mes yeux.

- Et après, je me suis réveillé.

J'eus enfin fini et je vit quelques larmes couler sur les joues de ma princesse.
Je les essuyait alors avec mes pouces.

- Ne t'inquiètes pas Léo, jamais au grand jamais je ne ne ferait quelque chose d'aussi horrible, je te le promets !

Je lui souris et la remercia, d'un hochement de tête.
Une fois que nous allions mieux, nous nous levons et marchons ensemble pour rentrer a la maison.

PDV Kaïa :

Ce rêve qu'il avait fait me perturbait beaucoup, il en avait pleurer, ce qui me prouvait qu'il tenait vraiment beaucoup a moi. Cela me fit plaisir malgré qu'il est souffert dans son rêve et qu'il en ai pleurer, dans la vrai vie.

Si comme on dit, les rêves se passent réellement dans une autre vie, dans cette autre vie je serait une personne vraiment horrible et je ne me reconnais même plus moi-même.
Mais bon, si jamais cela était vrai, je  maudissait la moi de cette vie du rêve de Léo.
Je fit taire les pensées pas très agréable pour les remplacer par mon regard qui se posa sur le beau jeune homme a mes côtes, je le fixait, le détaillait, chaque partie de son visage qui m'était désormais si familier, je fit comme si, c'était la première fois que je le voyais et le détaillait exactement pareillement.
Une fois que j'eus fini il me regarda, me souris, sourire que je lui rendit tout de suite avant de tourner la tête pour regarder devant moi, évitant un poto de justesse, ce qui décrocha un rire à Léo.
Une fois qu'il eu fini de se moquer de moi, je sentit son regard perçant me détaillant, comme je l'avait fait un peu plus tôt.

mon kidnappeur et moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant