/!\ Bon. C'est la fin de cette histoire. Ca fait assez bizarre haha. Je poste tout de suite le prologue de la prochaine fiction, allez faire un tour sur mon profil ! (et même pour lire mes deux autres fictions qui sont déjà finies haha) Je tiens à remercier tous ceux qui me suivent sur toutes mes fictions, même si celle là est beaucoup moins connue, on voit ceux qui restent, merci beaucoup je vous aime !! (trop d'amour ici mdr) Sinon, à propos de cet épilogue... Et bien il y en a deux. Un triste et un heureux, parce qu'au départ c'était bad end mais je supporte pas ça donc j'ai fais un second épilogue haha /!\
Epilogue 1 :
Je n’ai jamais été bon à rien. Pas bon pour se mélanger. Pas bon pour faire rire. Pas bon pour s’accoupler. Pas bon pour aimer. Pas bon pour rendre mon père fier. Pas bon pour aimer Derek. Ouais, jamais le bon. A chaque fois, ils auraient pu trouver tellement mieux. Désolé, Papa. Désolé, Derek. Vous trouverez quelqu’un qui en vaille le coup, je vous le promets.
Quand Derek arriva sur la crique cachée, ce mardi soir, en plein été, il avait un sourire aux lèvres. Il allait enfin revoir l’homme –ou plutôt la sirène- de sa vie. Son absence lui pèse, même s’il n’en dit rien.
Mais lorsqu’il arrive sur le sable, il ne voit personne. Bizarre, il arrive toujours en deuxième normalement.
Il scrute la plage du regard, puis l’aperçoit enfin, allongé contre un rocher, lui tournant le dos.
Il se rue vers lui, inquiet soudainement, sans qu’il ne puisse expliquer pourquoi. Avec douceur, il secoua l’épaule de son bien-aimé. Mais il n’eut aucune réaction. Alors, il le fit rouler sur le côté pour avoir son visage vers lui.
Et il lâcha un cri d’horreur.
Stiles était dans le même état que lorsqu’il l’avait retrouvé sur le bord de la piscine : totalement desséché.
D’une blancheur à faire pâlir la neige de jalousie, ses veines ressortaient partout sur son demi-corps, comme des sillons noirs. Ses yeux, encore ouverts, avaient virés au blanc eux aussi. Ses iris d’origine noisettes étaient désormais grisâtres. Quant à son autre moitié, elle avait tourné au gris, le même gris que ses yeux, en réalité. Beaucoup d’écailles étaient tombées au sol, comme des pétales de fleurs fanés.
Seul sur cette crique, seul sur cette terre, seul dans sa vie, Derek se mit à pleurer, hurlant sa douleur au monde.
Epilogue 2 :
Une main lui secoua doucement l’épaule. Il papillonna des yeux, et souris en voyant son brun en face de lui. Mais celui ne lui rendit pas.
-Qu’est ce qu’il t’est arrivé ? Stiles !
-C’est… On ne peut pas en parler une autre fois ?
-Ca urge là !
-Pourquoi ?
Derek lui fit un signe de tête vers sa queue de sirène. Il lâcha cri d’horreur en se rendant compte de la situation. Ses écailles étaient devenues grisâtres, et tombaient toutes une par une au sol, comme des pétales de fleur fanés.
-Ne panique pas, je vais te porter jusqu’à l’eau et tout va bien aller.
-Non, attend, le retient-il.
Se penchant légèrement, il se mit à arracher ses écailles de lui-même.
- Aide-moi ! Ordonne-t-il, un grand sourire sur le visage.
Après une légère hésitation, le brun obéit. Il se rendit très vite compte que les écailles partaient d’elle-même, pour révéler une peau très pâle.
Une peau très pâle et… Des pieds… Des jambes… Bref, un corps entièrement humain.
-Comment est ce que c’est possible ? Questionna le brun.
-C’est la pleine lune…
-Et ?
-Et pendant la pleine lune, tout peut arriver.
Une fois toutes les écailles enlevées, ils se regardèrent longtemps, très longtemps… Avant d’éclater de rire sous la nervosité.
-Et maintenant ? Demanda Stiles après une nuit entière à se câliner et à découvrir les possibilités de son nouveau corps.
-Maintenant, tu emménages chez moi, et on se prépare à vivre une fin digne des contes de fées, du genre « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Enfin, dans notre cas, « ils vécurent heureux et adoptèrent beaucoup d’enfants ».
-Derek, ça n’existe pas les contes de fées… Le réprimanda-t-il.
-Les sirènes non plus, à ce qu’il parait…
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My pretty mermaid (boyxboy)
FanfictionLa science peut expliquer beaucoup de choses. Mais l'amour, sûrement pas.