Qui aurait pu savoir qu'il allait se passer tant de choses en une seule fin d'année ?
Sûrement pas Edward Kaspbrak, petit serveur de marrons grillés dans le cœur de Manhattan.
Si vous lui aviez dit qu'il en verrait de toutes les couleurs à cause d'u...
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Il est 19h13 exactement lorsqu'Edward arrive chez son employeur qui n'est rien d'autre que le pâtissier le plus réputé de cette avenue, donc qui dit réputé, dit patron pas très laxiste et qui pour son grand malheur, déteste une chose par dessus tout, les retards, alors se retenir de sermonner son employé devient très difficile pour lui, surtout quand celui ci arrive tous les jours en retard.
Ce soir, treize minutes de retard, ce qui n'est pas son record mais presque, c'est donc pour cela qu'Eddie décide de choisir la discrétion et ainsi se dépêcher de prendre le food-truck et de sortir à quelques mètres de là. Enfonçant son bonnet dont il ne peut plus voir la couleur sans l'associer à son patron, certes c'est mignon et cela fait sourire les passants mais il aurait pu avoir la décence de lui en donner un à sa taille, ce qui fait qu'il ne cesse de tomber devant les yeux du petit brun au moindre mouvement; combien de fois il doit se retenir de ne pas l'arracher de sa caboche et de le jeter à même le sol pour ne plus à avoir à le remonter sans cesse.
Car ô combien sa taille le complexe, il a beau n'avoir aucun problème de croissance, mais bonne nature n'a point envie de lui donner quelques centimètres en plus, ce qui fait de lui un des plus petit de sa classe mixte, quelle honte pour lui. Mais ce n'est pas encore cela le pire, le pire est que suite à cela tout le monde pense qu'il n'est rien d'autre qu'un "petit chaton sans défense", ce que le client d'hier à dû croire au vu de son comportement. Alors qu'en réalité monsieur Kaspbrak à plus d'une réplique dans sa poche, on verra bien qui est le petit chiot sans défense se dit-il a lui-même tout en allumant le petit barbecue.
Qu'est ce qu'il aimerait que tout cela change, et trouver quelqu'un qui lui redonnera confiance en lui au lieu de rire de son petit gabarit et sa bouille d'enfant avec ses petites tâches de rousseurs le rajeunissant. Oh que oui il aimerait trouver quelqu'un qui l'aime à sa propre valeur et qui l'aidera à maintenir cet esprit de Noël et tous ses sourires qui s'éteignent peu à peu. Edward Kaspbrak serait-il en train de sombrer très lentement ?
Mais.. et si ce travail "qui ne donne pas envie" était la solution à sa tristesse naissante ?
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Hello, voici le chapitre 9, (que je n'aime pas du tout, je n'ai pas réussi àl'écrire correctement) Hier je n'ai pas eu le temps de le poster, alors aujourd'hui livraison surprise de 2 chapitres, d'ici 2h maximum vous aurez le droit au fameux chapitre 10, qui sacrément long par rapport aux autres.
