L'instagram d'une confédération (Plus utiliser car plus de comunauté)

Chapitre 26 Le léman express

(HRP : Je viens de voir ce truc au nouvelles, et comme c'est pas rien qui sait passé je voulais juste y revenir avant de clôturé officielement ce chapitre en plus le chiffre tombe super bien je trouve)

CFF (Chemin de fer fédéral) était entrain d'accoucher du fils d'elle même et de SNCF. Dans sa condition d'entreprise semi privé, elle appartenait pas mal à Suisse, et comme suisse aime vraiment pas ce prendre la tête les cantons en des normes à respecter mais s'occupe des trains qui passe par le territoire. C'est ainsi qu Genève fut la première est celle qui géra le mieux la situation ne lui en voulant absolument pas de faire un enfant franco-suisse. Puis elle prévenu son frère, son frère adorait les trains, CFF était une des personne très proche de lui, même quand il eut un accident chimique au beau milieu de sa campagne qui paralysa son chef-lieu il fut impressioner de son efficacité à gérer cette crise. Il y avait aussi le LEB son petit train de campagne dont il rénovait actuellement les rails, et avec lequel il avait passé de bon moment le remerciant d'être le trait d'union entre la ville et la campagne. Puis le fameux m2 le seul métros suisse qui est le meilleur ami du LEB et de CFF. Il adore est justement le petit qui naît actuellement sera un peu son équivalant genevois, se qui rend nostaligique, cette charmante forêt. 

C'est à ce moment avec un peu de retard que Vaud arrive est demande rapidement à Genève si le bébé est née elle aquiese, puis l'amène dans la chambre d'hôpital où CFF tient un petit bébé dans ses bras. Il faut savoir qu'il a plusieur difficulté à naître sans parler que ce petit, à pas choisi le meilleur moment pour naître. Car oui derrière la seconde porte en entend des cris, les deux suisses se regardent tristement avec CFF, si une seule et unique chose leur avait fait peur en apprenant cette grossesse, cette la culture gréviste de SNCF, qui a toujours était très mal vu par les suisses. CFF était justement pas très gréviste de nature et leur avait juré de faire circuler les trains côté suisse quoi qu'il adevienne. Puis Vaud et Genève profondément outré par leur énième disputes débiles ouvrirent la porte, Vaud jeta son habituel regard noir à France avant de se rappeler quelque chose. Sa belle vallée de joux était assayie de frontalier pendulaire, une légère colère monta en lui pendant qu'il resta en soutient pour sa soeur et ne maquant jamais une occasion de se battre avec la française. Genève quand à elle restait de marbre les regardant profondément déçus avant que les deux, se redisputent, rapidement. Genève partit les yeux en larmes accompagné par son frère d'humeur exeptionnelement altruiste. 

Vaud et Genève retounèrent vers la jeune mère inquiètent pous son fils mais essayèrent de calmer au mieux qu'il purent en lui disant qu'il était magnifique, et qu'il améliorera les relations entre Suisse et France à coup sûr. Puis SNCF alla voir son enfant qui dormait sur une peluche train...

(Voilà La fin...)