Tu te plains de regarder le monde
Seulement par le trou de la serrure.
Tu as peur que la glace fonde...
Mais tu ne connais rien de la nature.
Tu voudrais ouvrir cette foutue porte,
Mais que le mal t'emporte.
Que tu en ais la clé ne changera rien,
Jamais ce monde ne sera tien.
Ouvrir cette porte t'enseigne de nouvelles vérités,
Mais au fond tu sais ce n'est jamais assez.
Notre vision du monde est bornée.
Mais c'est là qu'en est la beauté.
Nous avons le devoir de ne pas franchir le pas
Auquel cas on s'en mordrait les doigts.
Tels les prisonniers de la caverne de Platon
Nous sommes prisonniers de notre imperfection
Nous sommes imparfaits face à la beauté du monde.
Pour nous pendant longtemps la Terre n'était pas ronde.
Dans cette caverne, savoir c'est se déplacer
Plus on sait, plus on tend vers l'entrée.
L'atteindre ne relève pas de la fable,
Mais il faudrait que l'Homme soit capable
D'assumer ses nouvelles responsabilités
De super intelligence terrestre.
Il a beau être capable de philosopher
Il détruit encore le domaine sylvestre.
La biodiversité arrive à son dernier acte,
Il est temps de changer la parole en actes.
Si l'homme ne veut pas s'auto-occir,
Il faudrait qu'il choisisse d'agir.
Un grand homme a dit "Nous sommes nos choix"
Mais quand ferons nous les bons pour une fois ?
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Inclassable
Short StoryNotes et contre-notes de tout et de rien. Quoi dire de plus ? Voici mes pensées, mes idées, que je ne peux classer.