Chapitre 12

5 0 0
                                    

J'étais de retour à la maison qui était celle de mon mari. Après les discours de mes parents concernant le devoir familial, je n'avais pas le choix. On pouvait le dire que mes parents étaient content d'être débarasser de moi et ne voulait plus m'avoir dans les pattes.

C'est vraiment ce sentiment que j'avais ressentie. J'avais même ressentie que je l'ai avais plus dérangé qu'autre chose. C'est à moi de m'arranger avec ma vie.

Il était presque 18 heures.

Et le souper n'était pas prêt. Non je n'avais rien fais du tout, et je n'en avais pas envie. Tout ce que je voulais c'était de me rebeller. Ça commence tôt. Mais si je fais tout ce qu'il voulait, c'est lui qui allait finir par avoir le dernier mot dans tout. Pas question de le laisser me contrôler.

D'un autre côté ça ne me tentait pas.

18: 45

Il n'était toujours pas là.

Lui qui me disait qu'il saurait là à 18 heures, il ne respectait rient. Installée sur le fauteuil devant la télévisin je me laissais aussi distraire.

Prête à tenir tête à mon mari. Ce n'est pas parce que j'étais jeune que j'allais me laisser faire. Pas question de me laisser faire dans aucun des cas.

19 : 10

Louis arriva.

Louis: Ça ne sent pas le repas.

Voici les seuls mots qu'il trouva à me dire, et je ne savais pas quoi ajouter de plus.

moi: Déjà tu devais venir à 18 heures....

Louis: Où est le souper?

moi: Tu es venu en retard?

POW!

Il me frappa tellement fort que je tomba sur le ventre. Je ne savais pas trop quoi ajouter. Sans pouvoir ajouter un mot de plus.

Louis: Trop d'impertinence avec moi.. quoi tu penses que je suis ton ami? Tu as cru que j'étais un bouffon ou quoi?

Encore couchée sur le sol.

Jamais je n'aurais pu le croire qu'il aurait osé me frapper.

Louis: Lève-toi maintenant!

Il me tira par le bras, et je m'accrocha à lui. Il semblait oublier que j'étais enceinte. Comment il me prenait avec autant de violence.

moi: Tu me fais mal... et je suis enceinte.

Louis: Si tu agissais comme une bonne femme... je ne t'aurais jamais fais du mal.

moi: Pourquoi tu dois me faire mal aussi?

Louis: Car je dois tout t'apprendre... au fait je dois complètement refaire ton éducation qui est à chier. Maintenant tu vas aller préparer le souper. Est-ce que c'est clair?

Je me mis à trembler.

Louis: Répond-moi!

moi: Oui!

Et sans perdre un instant je me rendu à la cuisine pour le préparer le souper. Voici c'était cette nouvelle vie qui m'attendais. J'appartenais complètement à Louis.

En silence j'installai la table. Louis était déjà assis impassible sans ajouter un mot. J'avais réussi à lui préparer des pâtes. Je ne suis pas une cuisinère hors-pair, mais je me débrouille. Faut vite apprendre à se débrouiller quand on doit s'occuper toute seule.

Louis: C'est ça que tu as été capable de faire?

moi: Oui!

Je frisonnai.

J'avais trop peur qu'il se met à me frapper à nouveau. Je n'osais même pas bouger, et je n'avais pas le choix de rester par ici.

Louis: Alors c'est quoi d'être dans la réalité poupée?

moi: Je regrette...

Louis: Tu regrettes?

ça avait sorti tout seule mais trop tard pour faire marche arrière. Oui je regrettais d'avoir cru que c'était un homme facile. D'être tomber en amour avec lui. De l'avoir épouser. D'avoir penser que je pouvais gérer la vie des grands.

Louis: Dis-moi ce que tu regrettes le plus?

moi: je ne sais pas ...

Louis: C'est ça...!

Et il se mit à manger.

D'un coup leva la tête vers moi.

Louis: Mange!

J'obéi sans rien pouvoir ajouter de plus.

Louis: Si tu fais les trucs comme il se doit... je ne vais pas m'énerver, et tout va bien se passer pour toi. Mais quand tu fais ta conne, tu m'énerve. 

___________________

LIAWhere stories live. Discover now