Devil's Eagles T2 : Les ailes du désespoir

Chapitre 9 : Snake

J'ai repris la muscu et mangé mes cinq repas par jour.
J'ai enfin retrouvé ma carrure.

Il était temps. Je ressemblais à un crêve-la-faim tellement j'avais fondu.

Ma Pocahontas m'a super bien coacher. Elle a été géniale.

Je vais enfin pouvoir me venger.

Salt Lake City, la ville qui m'a vu naître. Mais aussi celle qui m'a vu tomber. Le soleil est déjà couché lorsque nous arrivons.
Je gare la voiture dans le parking de l'hôtel que j'ai réservé pour la semaine.

Cheyenne m'accompagne, comme convenu.
J'ai prévu de lui faire visiter et de l'emmener faire du shopping. Ouais, je suis ce genre de mec.

C'est pas parce que je suis venu pour me venger que je ne peux pas prendre du bon temps avec ma femme.

En plus, la ville est assez sympa si on enlève ma mère, mon frère et tout les flics pourris.

Je vais à l'accueil pour récupérer notre clé. Les manches de ma chemise sont retroussée et la réceptionniste louche sur mes tatouages avant de m'annoncer que la chambre est déjà prise.

Je tape du poing sur le comptoir.

Cheyenne me rejoint, inquiète à l'idée que je puisse faire une connerie.
C'est vrai que je suis assez nerveux en ce moment, mais pas encore assez stupide pour faire n'importe quoi.

- Bébé ? Un problème ?
- Ouais, la dame a un problème avec moi.
- Pas du tout. C'est juste que votre chambre est déjà occupée par quelqu'un d'autre et toutes les autres sont prises.
- C'est ça, et moi je suis le président des États-Unis. Je veux voir le responsable, tout de suite.

Un homme d'une bonne quarantaine d'années arrive à l'accueil. C'est étrange, j'ai l'impression de l'avoir déjà rencontré.

- Jordan Parker? demande-t-il sous le choc. C'est vraiment toi gamin ?
- Je suis désolé, mais...
- Mr Walker, tu te souviens ?
- Oui, ça me revient. Vous teniez le diner où on venait traîner avec les potes.
- T'es devenu un homme dis donc. Alors en quoi puis-je t'être utile ?
- J'ai réservé une chambre pour moi et ma femme.
- Elle est sublime, dit-il en consultant l'ordinateur. Là, je l'ai.

Monsieur Walker récupère la clé et me la donne.

- Merci.
- Passe un bon séjour, mon grand. Et s'il y a le moindre soucis, n'hésitez pas.

Je le remercie d'un signe de tête et nous nous éloignons sans un mot de plus.

Le trajet de l'ascenseur dure une éternité. J'enlace ma femme et l'embrasse. Je suis heureux qu'elle soit avec moi. Elle m'aide à me contenir.

Cette ville me met à cran.

Nous arrivons à notre étage. Enfin. J'attrape la main de Cheyenne et la guide jusqu'à notre chambre.
Dès qu'elle entre, ses yeux s'écarquillent.

- Jordan ! C'est pas une chambre ça, c'est... C'est...
- La suite nuptiale, bébé. C'est un peu notre voyage de noce.

Elle se jette sur moi et m'embrasse avec fougue. Je sens ses mains s'attaquer aux boutons de ma chemise. Je la débarrasse de son tee-shirt et de son soutien-gorge.

Putain de dieu, elle a des seins magnifiques.

Elle retire ma chemise et gesticule un moment avant de perdre au moins huit centimètres d'un coup.
Je vire mes pompes à mon tour et m'attaque à son jeans.

- T'es sûre ? On est pas...
- Bébé ! Ferme-la !

Ok, faut pas me le dire deux fois.

J'abaisse son pantalon et sa culotte d'un seul geste avant de me jeter sur sa chatte pour la dévorer.

Elle gémit et putain, si elle continue, je vais venir dans mon froc.

Je me relève et elle grogne de frustration. Je la soulève et l'emmène dans la chambre comme une jeune mariée digne de ce nom.

J'achève de lui enlever son jeans et sa culotte qui lui sont restés sur les chevilles, puis je retire mon futal.

Je lui embrasse les chevilles, remonte jusqu'à ses cuisses. Je dépose un baiser sur son clitoris puis sur son ventre. Je lui lèche le bout des seins avant de remonter vers sa bouche.

Je me positionne pour la pénétrer quand elle pose ses mains à plat sur ma poitrine pour me stopper.

- Tu y vas doucement, d'accord ?
- Évidemment, mon ange. Si ça va pas, tu m'arrêtes.

Elle retire ses mains pour les poser sur mes biceps et j'entre en elle aussi délicatement que possible.
J'avance centimètre par centimètre tout en observant ses réactions.
Je suis tendu à l'extrême lorsque j'arrive au fond de sa chatte.

- Bouge, me dit-elle.

Je commence à faire des vas et viens à un rythme lent et régulier. Je la sens se détendre et accélère légèrement le mouvement. Elle commence à gémir et à remuer son bassin en cadence.

Putain, c'est trop bon.

- Jordan, vas-y, vas plus vite.

Je peux rien faire d'autre que de lui obéir tellement j'en crève d'envie.
Je lui impose alors mon propre rythme. Ma queue cogne le fond de sa chatte. Chaque coup de reins lui arrache un gémissement de plaisir.
J'ai besoin de jouir, mais pas avant elle. Alord je continue à la pilonner jusqu'à ce qu'un orgasme phénoménal l'emporte et qu'elle hurle de plaisir.
Je jouis en elle dans un grognement de pure plaisir avant de me retirer et de m'effondrer à côté d'elle.

- Ça va, bébé ?

Elle hoche la tête et vient se blottir contre moi.

Je suis l'homme le plus heureux de la terre en ce moment.
Merde, ça valait vraiment le coup d'attendre.

Ma princesse finit par s'endormir dans mes bras.
Je n'ose pas bouger de peur de la réveiller et je finis à mon tour par trouver le sommeil.

Mais mon bonheur s'achève là où mes cauchemars commencent.

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Alors, ce fameux passage un peu hot, vous en pensez quoi ?
J'ai un peu peur de ne pas être très douée, je l'avoue.
Bref, donnez-moi votre avis, même négatif, histoire que je m'améliore.

Je vous adore 😘