Malheureusement j'étais toujours cette fille qu'on fait souffrir... Je n'avais trouvé qu'une seule solution, et cette solution était d'en parler. Mais cela m'effrayais, et si ce cauchemar empirer à cause de ça ? Je me disait aussi pour me rassurer que cela ne pouvais pas être pire... Ils me frappaient tout les jours, ils m'insultaient et me rabaisser. Chaque fois ils me laissaient au bord du malaise, allongée par terre sans pouvoir bouger, car mon corps m'abandonnait comme un lâche. Il ne supportait plus c'est coup à répétition, il était rempli de bleus et saigné par moment... Il fallait que j'y mette fin, sinon mon corps et mon esprit allaient lâcher. Je voulais donc dire la vérité a ma mère, que tout avait recommencé. Mais le manque de courage m'empêchait de lui en parler... Chaque fois que je m'avançais pour lui en parler la panique s'emparait de moi, la peur que cela empire prenait le dessus plus aucun point positif me venait, alors je faisais demi-tour et retournais dans ma chambre...Aujourd'hui j'avais rendez-vous chez le psychologue comme chaque semaine. Cette fois la j'y allais seule, je prenais le bus, les écouteurs dans les oreille savourant le son mélodieux qui s'en échappait. Seul la musique avait le pouvoir de m'appaisait, appaisait ma douleur, ma peur, ma tristesse... Je ne redoutais plus les rendez-vous chez le psychologue, c'étais devenu une routine, chaque semaine il me demandait ce qu'il ce passait au lycée alors je lui disait, il me demandait si les idées noires me revenait je lui répondit que oui mais que j'arrivais à les contrôler. Il me demandait aussi si je continuais à dessiner ses fins traits rouge sur mes bras, je lui répondit que oui. Mais il ne me jugeait pas, il me dit seulement que cela ne réglerait pas mon problèmes, malheureusement je le savais déjà... Cette séance était bien sûr comme je l'avais dit, toujours les mêmes questions et les mêmes réponses.
Alors je rentrait chez moi, comme à l'aller je pris le bus, une fois chez moi je montais à ma chambre suivi de mon petit Chimmy, il me suivait tout joyeux, c'est la que je me rendis compte que j'ai oublié ce que c'était d'être joyeux, pourquoi sommes nous joyeux ? Comment le savons nous ? Et pour combien de temps pouvons nous l'être ? Avais-je atteint la fin de mon droit à la joie, en avais-je trop abusé ? Je ne sais pas, petite j'étais souvent joyeuse, seul les événements tragique me faisaient pleurer, comme la mort de mon arrière grand-mère, j'ai pleurer puis je me suis dit quelle me regardait de la haut, que la haut elle pourrait me voir tout les jours alors que je la voyait très peu quand elle était encore là. Mais c'est maintenant devenu l'étoile la plus brillante de mon ciel. Quand je lève les yeux au ciel parsemé d'étoiles, celle que je remarque c'est la sienne.Le soleil commençait à ce coucher, il passait du orange, au rose pâle et finit rose très foncé. J'aimais chaque couleurs de ces couchers de soleil. Chaque couleur avait une signification, le orange présentait mon enfance, car c'est un orange pâle, il est doux tout comme l'était mon enfance. Le rose lui représente ma préadolescence, la période a laquelle j'avais commencé à goûter au côté amer de la vie, car c'est un rose qui devient petit à petit agressif. Et puis le rose foncé voir rouge reprensentait mon adolescence, où seul le goût amer de la vie était resté. Peut-être qu'un jour tous repartirait de zéro, peut-être que j'allais revenir dans l'orange pâle des couchers de soleil... Il faut que j'y crois car tout n'est pas impossible. Alors je contemplais le soleil couchant avec Chimmy dans mes bras en le caressant, cela m'appassait et m'apportait un peu de douceur...
Puis ma petite sœur arriva pour me faire un câlin et caresser Chimmy, elle était si adorable avec ma moi, c'étais ma petite source d'énergie, c'est une enfant débordante d'énergie, toujours le sourire au lèvres, et cela me donnais la force de me battre pour retrouver moi aussi je sourire, que j'arrive à passer au dessus des blagues racistes comme quand j'étais petite. Mais il fallait d'abord que j'arrête cet enfer quotidien... Alors je pris la décision d'en parler à ma mère, je pris mon courage à deux mains et descendit la voir.
MOI : Maman je peux te parler s'il te plaît...
Mes mains commençaient à trembler, je savais très bien quelle dirait oui et que j'allais devoir tout lui raconter...
MAMAN : Bien sûr, viens on va aller dans ma chambre pour ne pas être dérangé. Mais ça va ma chérie...? Tu es toute pâle et tu tremble...
MOI : C...c'est juste que je dois te parler de quelque chose qui est compliqué à dire....
MAMAN : Tu sais que je suis la pour toi ? Alors tu dois tout me dire, tu te sentira mieux après.
MOI : Oui je le sais t'inquiète pas maman. D'abord promet moi que tu n'en parlera à personne d'accord...?
MAMAN : Je te le promet, dit moi tout maintenant. Vient dans mes bras ça t'aidera peut-être et te rassura...
J'allais alors dans ses bras et commençais mon récit..
MOI : M...maman j'en peux plus du lycée... Les élèves de ma classe continuent de ce moquer de moi et de m'insulter... Je suis toujours toute seule... Personne ne me défend... Ils font tout pour que je craque... E...et quand je vais au bus....I..ils me frappent... Je suis recouverte de tâches bleutées partout sur mon corps... Mon cerveau lui ai bourrés d'insultes et de moqueries... J'en peux plus maman...
Quand je fini mon récit, j'éclatais en sanglots... Ma mère était sous le choc qur cela continue malgré ma tentative d'y mettre fin brutalement... Elle tentait de me réconforter, elle essuya mes larmes et me promis que cela s'arrêterait...À suivre ..
Désolé davoir été inactive mais je n'avais plus d'inspiration...😅 J'espère que ça vous plaira !
VOUS LISEZ
Espoir
Novela JuvenilAmbre est une jeune fille âgée de 15 ans, cette jeune fille souffre d'une dépression car elle vie un enfer quotidien. Elle tente de mettre fin à ses jours mais les médecins arrivent à la sauver. Ambre va-t-elle réussir à mettre fin à cet enfer ? Co...