Undertaker -livre 2-

Chapitre 1: Un Amour Naissant.

Adrian, perdu dans ses pensées, regardait cette femme vêtu d'un manteau marron qui tirer sur le
Rouge.
Alors qu'il détournait le regard pour repartir, le shinigami Ronald lui fit par d'un information.

'' Adrian, il va falloir que suive cette demoiselle, une personne proche d'elle va mourir dans peu de temps.
- mh ? Bien je vais y aller. ''

'' - Et me voilà répartit. Une âme qui n'avait pas été inscrite sur mon carnet de mort devait être à tout pris ramasser.
Ce ne me dérange, je vais pouvoir en encore admirer une danse des lanternes en présence de la pleine lune.-

'' Toujours aussi belle d'ailleurs. ''-fis-je d'une voix basse suivit d'un petit soupir sans être étonné de cette fabuleuse et resplendissante beauté émenant de la lune.-

Ronald n'eut pas compris ce que je dit et me regardait comme si il voulu que je répète.
Mais je ne fis rien.
Cette femme attirait mon regard sans savoir pourquoi.
Ronald se remis à m'expliquer quelques trucs important, enfin je crois. J'étais déjà partis.
J'avais sauté du toit sur un autre et me voilà entrain de suivre cette femme qui vient de prend une voiture*.

Pour ne pas perdre sa trace, je décide de monter sur le toit de la voiture en douceur.

Le cochet et la femme ne me remarquent pas et continue leur route.
Le paysage urbain devient vite un paysage rural.
Les terrains vagues et battue par l'homme éclairé pas la lune me fait penser à un paysages du royaume des mort.
C'est si apaisant.
-Si j'ai terminé de ramasser l'âme assez rapidement, j'irai peut être me lire un petit livre sur un de ces terrain. Hé hé-

Le cochet fit halte devant un immense portail de faire.
J'etais étonné que la femme ayant une maison, je devrais dire demeure à ce stade là, soit plutôt vêtue simplement malgré son boa teinté de la même couleur que son manteau et son chapeaux plutôt élégant, et également assortit au manteau.

Des messieurs ouvrirent le portail pour laisser entrer la voiture.
La voiture s'arrêta devant le bâtiment.
Un autre homme venait ouvrir la porte à la femme en l'appelant Mlle.... Mlle..... - mince j'ai oublié en moins d'une seconde peut être ai-je mal entendu, ça m'arrive aussi-.
En sortant, elle laissa échapper un parfum de rose. - Serait-elle aller à un rendez-vous galant ?-
Possible. Elle avait un rouge au lèvres une teinte ou deux plus foncé que le rouge normale, les cheveux bien coiffé et en grosse boucle parfaite venant se poser sur l'épaule, dont elle laissait le creux léger fait par l'épaule.

L'âme que je devais récupérer était celle d'un de ses domestiques.
Il allait mourir d'une cause naturelle: celle de son âge.

Je mettais rendu sur les lieux où l'homme était.
Il était maréchal-ferrant et était accompagné d'un garçon beaucoup plus jeune que lieux.
Àpparement, il avait prévu sa mort: le jeune apprenait à battre le fer.
Avant qu'ils ne s'aperçoivent de ma présence, je me suis caché dans un coin de l'atelier derrière une planche en bois, et j'attendit.
L'homme devrait décéder à 22h12 tapante.
J'attends jusqu'à ce que son heure sonne.

A 22h11, il commenca à tousser, il s'écroula au sol et commenca à trembler.
Il essayait de combattre la mort et résistait.
Pendant que l'apprenti courru chercher de l'aide, je fis mon apparition devant l'homme, il me regarda et je le regardais.
Il me prit pour la mort elle même: c'est vrai qu'avec une faux de la même forme qu'elle c'est compliquer de pas me confondre avec, sachant en plus que peu de personne crois aux shinigamis, certains humains ne connaissent même pas le terme. Ils ne savent pas ce que c'est.

A 22h12, il mourut et les lanternes cinématique fit leur apparition et se mirent à danser.
Après avoir trier une partie de la lanterne, je sors pour aller sur le toit.
Je finis de trier la lanterne et d'un coup de faux je coupa la dernière scène.

La femme vint voir ce qu'il se passait mais s'appercu de ma présence.
Elle me regarda fixe.
Elle n'avait pas l'air surprise, juste légèrement étonné mais rien de plus.
-peut être connait-elle les shinigamis...-

Après quelques minutes, je disparu pour retourner à l'office ramener le cahier qui m'avait été distribué ainsi que l'âme retardataire.
J'allais en suite me coucher mais je ne pu m'endormir...

Chaque fois qu'il y avait une âme à récupérer, on se croisé et voilà qu'on se croisait sistématiquement depuis maintenant 2 à 3 mois.
Alors on a commencer à discuter petit à petit même si le règlement était formelle sur le contact interdit entre shinigamis et humain.

Les rayons du soleil me réveilla à l'aube d'un jour printanier.
Je me levais, me préparer et récupéra ma faux et mon carnet d'âme. Et c'était répartit pour une journée.
Je pris les âmes qui étaient notées dans le carnet et je revis la femme.
Maintenant je crois que je faisait ces sortie que pour la revoir.
Cette relation me faisait prendre conscience qu'on ne se détendait jamais à l'office sauf quand on lisait ou qu'on manger à la cantine.
J'appréciais de réapprendre tout ce que j'avais oublié du monde humain.
Je restais attentif à tout ce qu'elle me disait.
On se donnait rendez-vous en ville.
Bien sur on éviter de se donner rendez vous DANS un endroit pour pas que j'effrais les autres humains avec ma faux.
Elle m'a appris qu'elle pensait que j'étais un criminel -c'est pas tout à fait faux quelque part- mais elle n'a jamais mentionné qu'elle croyait en l'existance des shinigamis ou qu'elle pensait que j'étais la mort, donc une espèce surnaturelle.
Cette charmante femme, me pense humain.

Elle se prénomme Maria.
Ça lui va à ravir.

Elle ne connaît toujours pas mon prénom et pourtant, un jour alors que j'hésitais a lui avouer mes sentiment pour elle, elle rougit sans que je ne lui ai dit quoi que ce soit et elle fit le premier pas.

Elle regardait le sol, les main jointe comme elle le faisait souvent pour tenir son manteau et le dit tout bas.
Mais j'avais très bien compris.
Elle le répéta un peu plus fort en me regardant cette fois et m'embrassa sur la joue avant de repartir chez elle en voiture et de me laisser en plan.''

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Note de l'auteur:

*voiture: je reprend les terme de l'œuvre Black butler. Ce termes pouvait à la fois désigner les premières voiture ou encore des sortes de mini calèches privée ou publique.
Celle-ci (dans l'histoire), désigne la voiture privée de Maria.