Chapitre 43_ Dernier jour en Sicile

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* Point de vue Nino*



On ressortit du bureau quelques temps plus tard, la demoiselle s'étant effectivement changé, et l'on rejoignit la salle privée où Carla, Jo ainsi que Cole et Aaron se trouvaient.


— Tu as changé de robe ? S'étonna Carla.

— La première a eu un souci. Et vous votre visite ? Répondis-je en souriant

— Un soucis ? ... Oh. La visite... Je sais pas... Mon cœur, tu as aimé la visite ? Sourit Carla.

— Très belle salle en effet. Ricana Jo. Le reste de l'étage, tu m'as demandé de regardé le sol alors bon. Ria t-il

— Oh bon. C'était le moment où c'était pas très intéressant hein... répondit Carla en croisant les bras.

— Oh ça doit être la zone avec les danseuses de lap dance. Ricana Cole. Y'en a de très jolies d'ailleurs.

— Un problème de jalousie Carla ? Ria Elena.

— Oh eh... Commence pas. Parce que toi t'es pas jalouse peut-être ? Lui répondit Carla avant de lui tirer la langue.

— Je ne sais pas. Ria Elena.

— Non Aaron. On ne teste pas. Grognais-je. Bouges ton cul de là et je t'étripes.



Aaron reprit place aussi vite, haussant les épaules.


— Je voulais juste aider moi.

— Vous vouliez aider comment monsieur Aaron ? Sourit Elena. Je suis curieuse du coup.


Je me frottais le visage en soupirant, secouant la tête.


— La première idée aurait été d'amener l'une des demoiselles qui semblait bien apprécier la vue pendant votre...Danse... Mais sinon, je peux le redescendre dans la fosse au lion. Répondit Aaron.



Ou pas. Mais vraiment ou pas.


— Je suis curieuse de voir ça. Ricana Elena. Je suis très joueuse monsieur Aaron.


Elle tourna la tête vers moi en levant un sourcil.


— Tu veux redescendre mon Dragon ?

— Non. Mais si je le fais pas, ça laisse x interprétations. Soupirais-je. Eh bien allons-y. Je vois pas l'intérêt mais bon.



J'embrassais Elena, me levant après avoir bu mon verre. Cole et Jo ne se retenant clairement pas pour rire vu ma tête alors que Aaron était déjà à l'entrée. Je fourrais mes mains dans mes poches, soupirant en secouant la tête, suivant ce sale gosse.


— Tu m'explique ? Grognais-je alors qu'on descendait les marches.

— Juste envie de voir si la sicilienne est territorialiste ou pas. Répondis Aaron en haussant les épaules.

L'Aube Du Dragon_ Livre VIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant