Chapitre 44. N.Y

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* Point de vue Nino* (il a encore gagné les négociations déso)



Une semaine à peu près s'était écoulée depuis notre retour de Sicile, et nous avions tous reprit le travail aussi vite, oubliant bien vite la semaine « farniente ». Nous avions été prévenu que l'avion amenant la Cosa Nostra se poserait ce matin, aux alentours de 10h30 et on arriva quelques minutes après son atterrissage, amenant plusieurs voitures avec nous afin d'assurer la sécurité.


Je remerciais le mec qui vint m'ouvrir la portière, descendant avec Aaron de la voiture, et je me dirigeais directement vers Carlos, lui serrant la main.


— Bienvenue à New-York. Souriais-je

— Bonjour. Sourit Carlos. Merci pour la sécurité. Je pense qu'Elena va pouvoir sortir maintenant.


Il entra la tête vers l'intérieur de l'avion et fit signe de la tête avant d'en descendre totalement, se plaçant près de l'escalier.


— Bonjour. Le salua Aaron en tendant la main. Toute mes excuses pour mon comportement la dernière fois.

— Y a pas de mal. Ricana Carlos en lui serrant la main. C'est plutôt à moi de m'excuser. J'ai nettement plus l'habitude que vous concernant la cuvée de Dino. Le concours n'était pas équilibré.



— C'est surtout que la grande majorité de mes cuites sont avec mon mec donc ça a conditionné pas mal mon attitude. Grimaça Aaron. Mais j'avoue que sa cuvée est vraiment forte putain.

— Oui. Ria Carlos. Dino en est très fier.

— Ah bah Naëlle est très pressée de pouvoir la boire. Ricanais-je avant de monter les marches de l'escalier.


Je penchais la tête par la porte, observant la demoiselle au téléphone.


— Mademoiselle Castello, c'est un plaisir de vous revoir. Souriais-je


Elena termina son appel, étirant un large sourire en me voyant puis rangea son téléphone tout en se dirigeant vers moi, enroulant aussi vite ses bras autour de mon cou.


— Bonjour Monsieur Nicolino. Le plaisir est partagé.


Je posais aussi vite mes mains sur ses joues, l'embrassant longuement avant de reculer le visage.


— Ton vol s'est bien passé ?

— Un peu long. Mais oui, ça a été.


J'invitais la demoiselle à descendre, observant le déchargement du coin de l'œil.


— Aaron ?

— Yep. Les mecs, vous pouvez les aider pour accélérer la cadence s'il vous plait. Ordonna Aaron dans la foulée.

— Carlos, tu peux te charger de mes malles ? Demanda Elena.

L'Aube Du Dragon_ Livre VIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant