Il nous suffit de garder les yeux réveillés,
De les garder ouverts quand tout semble s'effondrer.
Que tu vois devants ces-derniers ta vie défiler,
Il nous suffirait de ne jamais les fermer.
Si c'était si simple, je l'aurais déjà fait.
Mais rien de simple ne me satisfait.
Quand la fatigue est toujours là,
Et qu'elle ne s'endort pas.
Il nous suffiraient de ne plus jamais les fermer.
Pour ne jamais revoir ces souvenirs passés.
Pour ne plus revivre en rêve ce pourquoi on fuit.
Il suffit de ne plus se rappeler de l'ennui.
Alors on tente de se noyer.
Dans son travail, dans des passions sans intérêts.
Alors on fait tout pour oublier,
Se tuer dans une existante faussée.
Ils m'aurait suffit de garder les yeux éveillés,
Mais quand j'ai trop sommeil, je ne résiste pas.
J'aurais pus ne plus revivre ses sentiments oubliés,
Mais la simplicité, je ne connais pas.
Et quand nouveauté devient habitude,
On tente de trouver nouveau désir.
Qui sont plus signe de lassitudes,
Que de véritables amours à bénir.
Alors, si demain je décide de fermer les yeux.
De revivre éternellement ces vouloirs douloureux,
De ne plus me forcer à rester dans cette mollesse
Il est possible que je ne tienne pas ma promesse.
Même si vous ne pouvez me le pardonner,
Je ne vous dirais plus jamais à demain.
Je sais que ma vie est peut être bientôt terminée.
Alors, ne pleurez pas, ne déviez pas votre chemin.
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Poèmes - Ce que nous sommes
PoesíaJe ne me dis pas grand poète, j'écris juste les choses qui me passe par la tête. Je ne posterais surement pas beaucoup mais ce seront des thèmes souvent reliés qui me tiennent à cœur. Disons que cela sera sur des choses que je ne pourrais pas adapt...