Quelques instants de plaisirs ~Terminé~

Chapitre 48

Deux semaines et demis que je suis isolé dans cette chambre stérile. Et vous savez quoi sa paye. Les résultats de la prise de sang sont revenue positifs aujourd'hui. Les globules rouges sont revenus en nombre. Si vous saviez dans quelles joie cette nouvelle ma mise. J'ai appelé tout de suite tout le monde en vision-conférence pour les mettre au courant de cette nouvelle formidable. C'est le début d'une nouvelle ère, d'un nouveau commence, le début de la guérison.Mais aussi bientôt l'accès vers la porte de sortie. Une transfusion en moins pars jours. Des heures en moins avec une poches de globules rouges suspendu au dessus de la tête. Quelle soulagement de voir du concret après, prés de vingt jours dans cette chambre entourer de tout un tas de chose stérile pour que ne contrat pas la moindre bactérie, virus. Qu'elle bien ça fait de savoir cette nouvelle en début de journée.

Cette nouvelle a égailler ma journée, mon sourire ne ma quitter durant des heures. Tout comme ceux de ma famille.  Voir ce que j'aime le  visage rayonné de bonheur est tellement beau. Il faut dire que c'est tellement significatif cette prise de sang.

Celui de Kyle quand il est venue me voir, était tellement beau, resplendissante. Nous avons passer des heures à parler tous les deux rires. Ma fatigue est un peu moins présente je profite plus de mes proches, de mes visites. 

Je retrouver ma voix peu à peu que j'avais perdu pendant près d'une semaine. Je marche un peu durant les séance de kiné dans la chambre, n'ayant pas le droit de sortir. Les aides soignante me masse régulièrement les jambes, ce qui me fait un bien fou. Étant allonger à longueur de journée n'ayant pas suffisamment de force pour pouvoir manche un peu en dehors du kiné qui me fatigue tout de même, je reste dans le lit, et mes jambes s'engoudissent. Le massage du matin et du soir son très attendu.

Kyle doit passer aujourd'hui, seul. Pour que nous nous retrouvions un peu malgré l'endroit. Nous en avons de besoin, pour notre couple. En attendant je fais un peu de lecture pour m'occuper.

Il est 15h quand Kyle arrive dans sa blouse et tout son attirail, un sourire étendu sur les lèvres ce qui ravive tout de suite le miens.

"- Coucou, me fais t'il un petit geste de main.

- Hey ça va ?

- On ne peut mieux, si tu savais comme je suis heureux que tes globules rouges sont de nouveau là. Tu sais à quoi j'ai pensé quand tu nous as appeler ? "

Je le regarde impatiente de savoir le fond de sa pensée à se moment si important. Je lui fais signe de poursuivre attive à ce qu'il va me dire dans les secondes qui vont suivre.

"- Je vais bientôt pouvoir de nouveau embrasser les lèvres de ma copine. "

J'éclate de rire dans l'instant qui suit. Il était tellement sérieux, tellement sincère. La façon qu'il a eu d'utiliser les mots. Il me reprend me disant d'arrêter de rire. D'après lui ça n'a rien de drôle. Il boude un peu en installant près du lit dans un fauteuil.

" - Je suis sérieux Lina, être près de toi ne pas pouvoir te prendre dans mes bras, t'embrasser, te sentir contre moi, c'est un supplice.

- Je sais Ky', c'est pareil pour moi, mais dans quelques semaines, quelques jours se sera loin derrière nous, ne t'inquiète pas.

- C'est long, tu as de la chance que je t'aime énormémenent.

- Moi aussi je t'aime Kyle. "

Son regard empreint d'amour fixe le miens remplis de sentiments pour lui. Nous avons toujours fait qu'un aujourd'hui encore plus. Notre relation a évoluer. Ils nous suffis d'un simple geste pour détecter le moindre problème, la moindre parole que l'autre émet au fond de lui. La parole n'étant plus possible durant quelques jours, j'ai appris à transmet mes émotions, mes sentiments d'une autre façon d'au travers de la voix. Les gestes m'y ont aidée, mais avec Kyle ça a toujours été differents, ils nous suffisaient de nous regarder. On vient rapidement à parler  de son week-end qu'il à passer chez sa mère et son père. Enfin le samedi chez sa mère et le dimanche chez son père, pour être plus exacte. Il a renoué un peu de contact avec eux durant ma convalescence. Je l'ai sentis soulager, heureux, que ces parents fassent de nouveau partie pleinement, du moins plus présente dans sa vie.