C'est lorsque le regard de la pauvre bête à bout de force croise celui démuni de Jisung que son corps réagit, au quart de tour, il est envahi par par un sentiment de colère et de tristesse, sa voix s'éleve fortement à travers les cris, alors que l'animal tourne de l'œil peut à peu.
Jisung : STOP ! arrêtez sa. Vous êtes taré ou quoi ? C'est nouveau qu'on bât nos animaux comme ça ? Qu'est-ce-que ce chat vous a fait pour que vous le battiez ainsi ? Savez vous que votre acte est de l'ordre pénal ? Je peux vous dénoncer pour sa. Et je n'hésiterai pas. Ne voyez vous pas qu'il est sur le point de mourir !?
Homme : déguage de là, tu n'as rien à faire, et ce truc m'appartient alors si je veux le battre à mort je le ferais, je n'es aucuns odres ni moral à recevoir d'un gosse. Oust !
Jisung : je suis désoler mais je ne peux pas, je ne veux pas vous laisser faire ça. Si ce chat vous pose problème, donnez le moi, je prendrais en charge les frais de vétérinaire et autres, vous n'entendrez plus parler de lui, mais s'il vous plaît cesser de le battre ainsi.
Homme : alors prends le et dégage de ma vu. Si je le revois j'le butte. C'est compris ? Je ne blague pas.
Jisung : oui, merci m'sieur.
Le bleuté retire sa veste et la dépose sur la bête à bout de force afin de l'enrouler dedans sans le blesser plus qu'il ne l'ai déjà. Ce dernier n'oppose aucune résistance, bien trop faible pour ne serait-ce que bouger la patte. Un simple très faible miaulement plaintif et douloureux lui échappe.
Jisung serre la bête contre lui en repartant rapidement à son appartement. Il le sait, il doit agir vite sinon la bête va perdre la vie dans ses bras. Alors une fois la série de quatre chiffres composé il dépose son sac, récupérant son porte feuille et son téléphone avant de filer dans le premier bus en direction d'un cabinet vétérinaire.
Jisung : tiens bon mon beau, je vais pas te laisser mourir comme sa. Ça va aller mais tiens le coup.
Doucement il passe ses doigts sur la tête ensanglantée de la bête sous un faible grondement de cette dernière. Il en déduit que ce chat n'est pas trop domestiqué ou qu'il a trop mal alors il le laisse tranquille, enroulé dans sa veste tout en surveillant la bête qui peine à garder les yeux ouvert et à trouver de l'oxygène. Cette vision fait mal à Jisung.
Lorsqu'il redresse la tête il constate qu'il va pouvoir descendre dans deux arrêts. Voyant que le chat tourne toujours un peut plus de l'œil il prit pour que ça aille vite.
Le chat ferme les yeux sans parvenir à les séparer à nouveau. La douleur est bien trop importante. Cela inquiète Jisung qui saute presque du bus lorsque les portes s'ouvrent et il se met à courir vers la clinique vétérinaire, secouant doucement le chat lors de ses foulées.
Jisung : s'il vous plaît vite, il va vraiment mal !
Rapidement une soigneuse viens à sa rencontre. Il peut voir son regard peiné et inquiet lors qu'elle vois l'etat plus que critique de l'animal. Elle ne pose pas de questions et fait signe à Jisung de la suivre. Il faut faire vite et le bleuté l'a bien compris.
Soigneuse : cas extrêmement urgent Joongae !
L'homme tourne la tête et repose le lapin duquel il s'occupait pour installer un cousin sur la table d'occultation. La soigneuse y dépose le chat et le vétérinaire l'occulte un court instant. Rapidement la bête se retrouve transportée en soin intensif laissant Jisung seul avec le petit lapin dans la pièce. Ce dernier viens lui lechouiller les doigts comme pour le rassurer jusqu'à ce que le dénommé Joongae reface éruption dans la piece.
Joongae : j'ai quelques questions à vous posez monsieur...
Jisung : bien-sûr, je vous écoute.
Joongae : il me faut votre nom et prénom, adresse, numéro de téléphone et les informations sur le chat, notamment la raison de son état...qui je ne vous le cache pas est vraiment critique. Je ne sais pas s'il passera la nuit, nous l'avons mis sous respiration artificielle.
Jisung commence alors son récit sur la bête expliquant la situation au vétérinaire tout en lui fournissant les autres informations qu'il lui a demandé plutôt. Jisung leur demande de faire tout leur possible pour la bête. Peu importe le prix, cette boule de poils mérite de vivre, Jisung le sens. Bien-sûr il n'a pas hésité à donner l'adresse de ses " voisins " afin que la lois se charge d'eux comme il se doit. Pour Jisung de tel actes ne peux pas être laisser impunit. C'est inadmissible.
La soigneuse reviens dans la pièce avec des radios et des scanners, Jisung trouve que leur efficacité est vraiment rarissime. Cela lui fait plaisir, plus le personnel sera efficace plus l'animal aura de chances de s'en sortir.
Joongae : bon Monsieur Han, ce chat n'est pas pucé, il a deux côtes cassées et il a une quadruple fracture de la pâte arrière gauche, du jamais vu, et une fracture ouverte à la patte avant gauche aussi. Sa mâchoire est brisée. Par chance, car dans son malheur il a quand même un petit point positif, c'est qu'aucune de ses dents n'ont été fracturées, cassées ou arrachées ce qui signifie qu'il n'a pas besoin d'opération pour retirer des morceaux de dents qui aurais pu se planter ici et là dans sa gueule. Bon...après il a de multiples blessures ici et là sur le corps. Nous avons du lui faire quelque points...la question est désormais de savoir si vous souhaitez garder l'animal, le faire euthanasier ou le laisser à une asso-
Jisung : je vais le garder. Faites ce que vous pouvez pour le sortir de la, peu importe le prix je me débrouillerais.
Joongae : très bien. Ce monde à bien besoin de personne aussi généreuse que vous. Nous allons le garder facilement une semaine pour voir son état et surveiller son alimentation, ses plaies et ses multiples fractures. Cette petite boule de poils doit vous être bien reconnaissante de l'avoir sortie de la... ailleurs si vous le garder il vous faut lui trouver un nom.
Jisung : oh...euh..je ne sais pas moi, je vous fait confiance pour lui en trouver un sympathique, ça lui fera un souvenir des personnes qui se sont démenés pour lui sauver la vie.
Joongae : Félix. Il ressemble un peu au chat de la pub alors j'ai tout de suite penser à ça.
Jisung : va pour Félix alors. Je suis désolé mais je dois rentrer chez moi, quand es-ce que je peux revenir le voir pour avoir de ses nouvelles ?
Joongae : ne vous inquiétez pas, je vous appellerai tout les jours ou tout les deux jours pour vous faire un bilan. Il va être mis à part dans un endroit calme pour qu'il se repose alors je pense qu'il serait mieux de le laisser vraiment seul, inutile de lui apporter plus de stress que nécessaire, il doit déjà avoir suffisamment peur de l'homme.
Jisung : d'accord merci pour tout. À bientôt.
Joongae : à bientôt Jisung merci pour ce petit matou. Vous êtes une bonne personne.
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« For your smile » • jilix | hanlix •
FanfictionIl est au plus bas, il sent sa fin approcher au fur et à mesure que son corps s'habime. Il est spécial, voilà le problème : sa différence. Sa vie est monotone. Ses journées longues alors que ses nuits sont courtes et d'un blanc pur. Il était random...