Trouvé sur devianart par VIZKOPA
TW: Y'A DU Q
Tu te réveilles au doux son de la pluie qui tapote contre la fenêtre. La lumière matinale est douce et tamisée, traversant une couche de nuages froide et grise. Il est encore tôt et tu peux entendre les faibles ronflements des autres membres de l'équipage remplir la cabine dans laquelle tu te trouves. Tu ouvres lentement les yeux, savourant l'état de somnolence qui pèse encore dans ton esprit. La vue qui t'accueille est celle dont tu es sûre de ne jamais te lasser.
Roronoa Zoro. La bouche ouverte, un petit filet de bave, les cheveux ébouriffés à cause de l'oreiller, son seul œil valide bougeant de gauche à droite sous sa paupière alors que des rêves voltigeant dans son esprit. Il a retiré les couvertures de son corps dans son sommeil, comme d'habitude, sa poitrine bronzée et puissante créait un contraste parfait avec les draps blancs.
Tu l'admirais un instant, le regard fatigué, traçant les lignes de ses abdos jusqu'à son aine qui menait au trésor caché par son bas de jogging . Tes doigts traces ses courbes de plus en plus lentement, tes paupières sont lourdes et ton esprit est dans une brume agréable que tu ne voulais pas quitter. Alors, avec le sourire, tu te retournes et te réinstalles confortablement, avide de quelques heures de précieux sommeil. Sachant que le capharnaüm qu'allait être de prendre le petit-déjeuner avec l'équipage du chapeau de paille n'allait pas tarder.
Mais bien sûr, Zoro eu d'autres idées.
Tu entends le rythme de sa respiration changer quand il se réveille mais tu gardes les yeux fermés et maintient une respiration profonde simulant un sommeil profond. Tu le sens bouger, les draps bruissent alors qu'il se tourne vers toi, tu sens le poids de son regard sur ton épaule. Il expire et tu peux sentir son souffle léger contre ta nuque.
La chair de poule apparaît sur ta peau et un frisson te traverse. Inconsciemment, tu lui laisses un libre accès à ton cou, avec seulement quelques mèches qui s'y posaient. Cette fois, il expire un courant d'air chaud qui fait bouger tes cheveux et te fait pousser un gémissement de protestation.
Il rie doucement. «Mm, bonjour», dit-il avec sa voix grave et rauque du matin. Entendre son timbre de voix matinal te fait frissonner et une accumulation de chaleur entre vos jambes se fait sentir. "Bien dormis?"
Ses doigts calleux descendent sur ton bras nu, faisant glisser la bretelle de ta chemise de nuit et tu peux sentir tes poils s'iriser en réponse, implorant son toucher. Il baisse la tête et frotte son visage contre la jonction entre ton cou et ton épaule.
Tu fredonnes de manière affirmative, l'esprit encore trop brumeux pour former une phrase cohérente, et tu te blotties plus près de sa chaleur.
Il rit de nouveau. Un bras fort s'enroule autour de ta taille et un corps fort enveloppe le vôtre. Son excitation est évidente et se fait sentir contre le bas de ton dos, mais il prend son temps avec toi. Des baisers légers comme une plume chatouillent ton cou tandis que ses mains commencent à errer, prenant doucement votre poitrine avant de descendre le long de tes côtes jusqu'à ta hanche où il s'arrête momentanément pour évaluer ta réaction.
Tu peux sentir la chaleur de sa paume de main s'infiltrer à travers le fin tissu de ta nuisette. Tu frappes sa main paresseusement, déchiré entre le fait de vouloir continuer et le fait d'avoir besoin de dormir un peu plus longtemps. Sa main ne fait que glisser plus bas, serrant doucement la chair de ta cuisse. Il joue brièvement avec l'ourlet de ta nuisette avant de glisser sa main en dessous pour caresser la courbe de tes fesses. Tu te délectes de son faible gémissement d'appréciation lorsqu'il découvre que tu ne portes rien en dessous.
"Mon Dieu, si tu savais ce que tu me fais", grogne-t-il, la voix légèrement étouffée alors qu'il enfouit son visage dans tes cheveux et respire ton odeur. "J'ai envie de toi."
"Mais, les autres ..."
"On va devoir être discret alors, d'accord?" Vous pouvez presque entendre le sourire narquois sur son visage. Il baisse ses lèvres vers votre oreille. "Ecarte tes jambes pour moi, juste un peu."
Tu fais ce qu'il te demande, soudain, à la place de repousser sa main comme précédemment tu te surprend à t'agripper fermement à son bras fort, le maintenant en place alors que ses doigts se déplacent en cercles lents mais fermes sur ton clitoris. Tes lèvres s'entrouvrent, ton souffle devient un mélange d'halètements et de gémissements calmes. Ses hanches se frottent lentement contre les tiennes, au rythme de ses doigts et lorsque ta robe remonte autour de ta taille, tu peux le sentir tout entier contre toi et alors ses doigts ne suffisent plus.
«Zoro», tu halètes. "S'il te plait ." Tu te mords la lèvre pour amortir le gémissement alors que ses doigts te quittent trop vite.
«Tu penses pouvoir rester silencieuse?» Murmure-t-il, la main glissant le long de ta cuisse jusqu'à la chair tendre derrière ton genou.
Sans un mot, tu hoches la tête et il ne perd pas plus de temps. Il soulève les couvertures, cachant vos corps des regards indiscrets de vos camarades qui pourraient se réveiller à tout moment. Il écarte doucement vos cuisses d'une main ferme et place ta jambe derrière son genou, en veillant à ce que ses mouvements ne créent pas trop de bruit pour ne pas alerter les autres. Tu es maintenant complètement ouverte à lui. Incapable de fermer tes cuisses alors qu'il continue à exercer des cercles lents et tortueux d'une main sur ton clitoris, tandis que l'autre se débat avec le cordon de son bas de survêtement.
Puis il te comble, une main ferme sur ta hanche pour te guider sur sa longueur. Tu sens sa prise se resserrer lorsqu'il est bien positionné, un gémissement bas et satisfait grondant dans sa poitrine qui se perd dans tes cheveux. Quand il se reconcentre, il commence à bouger, à un rythme tranquille comme avant, vous balançant tous les deux au rythme du navire qui tangue sur les vagues.
Tu n'es pas habituée à ces ébats doux et paresseux. Zoro, c'est plutôt des coups secs et des vas et viens dures, brutes et rugueux, et tu adores ça. Mais là... c'est quelque chose que tu n'aurais jamais pensé possible venant de sa part, et malgré le rythme mesuré, tu sens la lente montée de ton apogée, comme un amas de papillons dans ton bas-ventre diffusant une chaleur agréable à chacune de tes extrémités.
Sa main sur ta hanche glisse le long de ta cuisse et la déplace plus haut, le laissant te prendre à sa guise, plus profondément, jusqu'à ce que tu en viennes à mordre plus fort sur ta lèvre inférieure pour étouffer tes bruits de plaisir. Sa propre voix est étouffée à l'arrière de ton cou où ses lèvres laissent des traces brûlantes sur ta peau et ses dents peignent une toile de traces rouges, violettes et bleues.
Lorsque vous approchez tous les deux du point de rupture, sa bouche cherche la tienne et tu tournes la tête, réussissant seulement à attraper le coin de ses lèvres. Insatisfait, tu tends la main pour la plaquer contre sa nuque et entrelaces tes doigts dans les mèches ébouriffées de ses cheveux, le tirant vers le bas pour vous connectez. Il avale tes gémissements lorsque ton point culminant te frappe, te submergeant de lentes impulsions de chaleur qui semblent durer éternellement. Il suit le rythme de ses allers-retours même à travers son propre orgasme, prolongeant le tien jusqu'à ce que tu ne puisses plus en supporter d'avantages physiquement.
Quand il s'arrête enfin, l'environnement qui t'entour redevient réel. La pluie tombe toujours et au-dessus de ta respiration laborieuse, les ronflements de tes amis résonnent encore dans la cabine. C'est comme si le temps s'était arrêté pour vous laissez profiter l'un de l'autre.
Tu te retournes pour lui faire face, gémissant à la perte de sa chaleur de l'intérieur de toi. Une légère rougeur colore ses joues et un bâillement fend son sourire satisfait. C'est contagieux, et bientôt tu te retrouves à bâiller à ton tour.
Il ricane, fixant tes vêtements puis les siens avant de te tirer contre sa poitrine. «Rendors-toi», murmure-t-il contre tes cheveux. "On a encore une heure max avant que les autres ne se réveillent."
Avec reconnaissance, tu te blottis dans ses bras, l'appel du sommeil et le calme du matin t'enveloppes.
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One Piece X Lectrice [Traductions]
FanfictionHey hey! En aucun cas les one-shot qui seront présents dans ce recueil ne m'appartiennent. Je m'occupe juste de les traduire pour mon plaisir et pour le vôtre. Les X Reader dedans sont bien entendus des OS que j'apprécie vraiment beaucoup et que je...