Mon cœur hurle
Mais personne ne l'entend
La douleur m'envahit
Je me sens partir petit à petit
Chaque larme me brise
Tout ne tient qu'à un fil
Ne demandant que d'être coupé.
(Fiona)
Personne de la boucle n'a pris la peine de me demander pourquoi je ne parle jamais. Tout le monde pense que c'est parce que je suis extrêmement timide sauf Hugh...
"Maman, c'est grâce à moi que les plantes ont survécu. J'arrive à les manipuler !"
Si je n'avais rien dit à ma mère. Peut-être que je n'aurais pas été sur un bûcher et Hugh n'aurait pas sacrifié la majorité de sa colonie...
Maintenant je suis terrifiée... Et je n'ai personne vers qui me tourner parce que je suis incapable d'appeler à l'aide.Si je laisse mon envie prendre le dessus
Si je ferme les yeux
Il sera temps de dire au revoir à la vie.
(Olive)
Fixant le ciel, la jeune rousse se mit sur la pointe des pieds et tendit une main vers les belles couleurs du crépuscule. Tout ce qui la retenait sur cette terre misérable, ses chaussures en plombs. Le désir de les enlever et de se laisser emporter consumait tout son être. La voix d'Horace la sortit de cette transe de nostalgie:
"Toutes mes condoléances pour ta mère..."
Olive se retourne vers lui et se précipite dans ses bras pour une étreinte réconfortante.La tristesse ne se voit pas forcément sur le visage mais se ressens dans le cœur.
(Millard)
Millard attendait désespéré depuis quelques heures que quelqu'un vienne le chercher; qu'une personne se soucie de lui. Il passa sa journée à fixer sa porte dans l'espoir qu'elle s'ouvre révélant l'un de ses amis qui le sauverait des idées noires contaminant son esprit et son âme. Lorsque le soleil se couche, les paupières du particulier s'étaient déjà closes donnant enfin à ses yeux l'occasion de se reposer pendant que ses larmes aussi transparentes que lui séchaient grâce à la brise provenant de la fenêtre entrouverte.
Le silence de la pièce se retrouve brisé par les craquements doux de la porte.
À présent résonne dans la pièce le choc des talons d'une femme confiante. Elle prit dans ses bras l'adolescent et réussit tant bien que mal à le mettre dans son lit sans le réveiller:
"Les oiseaux ressentent les sentiments."
Sur ces paroles, elle resta toute la nuit à protéger son enfant de la noirceur qui le guette.Je ne te demande pas pardon, je te demande juste de me détester si c'est ce que tu as envie.
(Bronwyn)
Honte. Ce sentiment la ronge néanmoins le plaisir et la satisfaction de la mort de cette enflure qui les a maltraité son frère et elle; sont tellement apaisant. Et que ce soit entre ses propres mains qu'il a embrassé La Faucheuse renforce la puissance de cette émotion, la joie. Elle se souvient que lorsqu'elle l'a soulevé, il implorait son pardon. Elle se souvient des mots qu'elle a prononcé. Ces mots glaciales qui lui envoie des frissons de peur.
"Prend exemple sur moi. Je ne t'ai jamais pardonné... En revanche je t'ai toujours haï. La haine est une bonne amie quand on s'y fait."
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One Shot "Miss Peregrine Et Les Enfants Particuliers"
FanfictionCe seront des one shot sur Miss Peregrine et les enfants particuliers. Je pense faire toutes sortes de relations (par exemple Enorace, jemma) , y compris certains particuliers avec le lecteur^_^.Je ne vous cache pas qu'il y'aura beaucoup Enoch et Mi...