Millard x Reader(male)

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(Pardonnez-moi j'ai pas respecté l'heure. Je suis vraiment désolé. Je cuisinais et ça m'est complètement sortie de la tête cette histoire)

Rappel:

(T/P)= Ton prénom

(C/Y)= La couleur de tes yeux

(C/C)= Ta couleur de cheveux

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Miss peregrine vérifiait l'état de santé de son pupille alors qu'un énième éternuement s'abattait sur le mouchoir de ce dernier. Rien de bien méchant cependant, juste un rhume assez mauvais qui le clouait dans son lit. Décidément la vie n'était pas tendre avec lui: malgré son âge, (T/P) n'avait aucune idée de ce que pourrait être sa particularité. Celle-ci semblait à avoir du mal à se manifester. Toute cette histoire n'était qu'une plaisanterie à ses yeux. Le particulier était persuadé que dans ce monde quelqu'un rigolait de lui et de son manque de chance.

Finalement ces quelques jours de repos loin des enfants lui firent le plus grand bien. Une façon désagréable de casser sa routine et pourtant qui fût la bienvenue. Bien que l'un d'eux lui ait particulièrement manqué et il n'est guère surpris de sentir son sourire s'agrandir lorsqu'il entend le son de sa voix l'appeler.

Tout naturellement, (T/P) se tourne vers la source et au lieu d'un chapeau et des vêtements flottants, il voit des cheveux roux bouclés étonnamment court sur la nuque et plutôt long sur le sommet de la tête cachant ainsi le front de l'adolescent, des yeux verts qui avait un regard différent de tout ce qu'il put observer, des joues légèrement rouges parsemées de tâches de rousseurs et un sourire timide.
Le (C/C) se sentit plutôt perturbé: est-ce qu'il pouvait réellement voir Millard ? Alors qu'il ne disait rien, le jeune homme le prit dans une étreinte serrée tout en lui contant ses études sur la boucle. Sauf que la voix de Millard lui parut si lointaine tandis que (T/P) fixait ces deux orbes vertes: il y avait une émotion particulière, il y discernait de la tendresse, de l'admiration et autre chose. Les joues rougissantes du garçon lui laissaient bien un précieux indice mais pour une raison quelconque,il n'y croyait pas. Il ne croyait pas qu'une personne aussi intelligente, intéressante, drôle, sans pudeur, ambitieuse lui dissimule un amour profond. Surtout si cette personne est opposé à tout sentiment de ce genre.

Son cœur se serra dans sa poitrine lorsque l'émotion disparut de ses iris clairs pour laisser place à de la confusion avant de s'en aller pour jeter un œil derrière et revenir avec des revolvers de question. Il ne disait rien jusqu'à ce qu'il sente la main de Millard contre son front:

"-(T/P), te sens-tu bien ?"

Le particulier gêné bredouilla une excuse avant de s'enfuir vers sa chambre pour réfléchir sur ce qu'il vient de lui arriver. Et il ne prit même pas le temps de donner un regard à cette forêt de déception qu'étaient les yeux du garçon.

Les jours suivants tout le monde était assez confus envers l'attitude de leur ami qui n'arrêtait pas de fixer le jeune homme invisible, enfin pas pour tout le monde. Il ne pouvait détacher son regard de ses yeux, et à présent qu'il a remarqué que ce regard si émotionnelle ne lui est réservé qu'à lui, (T/P) ne peut s'empêcher de se mordre légèrement sa lèvre inférieure.
Cependant Millard a beau être un garçon patient, le comportement de (T/P) l'intriguait vraiment. Il n'est pas dupe, il sait que quelque chose a changé. Et comme à chaque fois qu'il veut surprendre quelqu'un, il utilise sa particularité.

Et c'est ainsi, alors qu'il lisait un livre, qu'il fut interpellé par un garçon complètement nu se soutenant sur sa porte:

"-OH MON DIEU ! MILLARD VA METTRE DES VÊTEMENTS !"

L'adolescent rougissant se cacha immédiatement derrière ses mains alors que son livre tombé sur son lit et atterri finalement sur le sol.

-Je ne vois pas ce qui te dérange...

Le jeune homme perplexe se rapprochait doucement faisant grincer le plancher et alors qu'il parle doucement à son interlocuteur, celui-ci le coupe violemment.

-JE PEUX TE VOIR, ANDOUILLE ! ALORS BOUGES TES FESSES ET VA AU MOINS METTRE UN PANTALON !"

Il n'en faut pas plus à Millard qui décolle. Ce n'est pas vraiment être vu nu qui le dérange mais être vu tout court. Imaginer vous pendant plus de 70 ans sans que personne ne sache à quoi vous ressembler ainsi que vous-même et puis voilà que quelqu'un sait parce que vous n'êtes pas invisible à ses yeux.

Une fois, le jeune homme revenu une longue discussion s'ensuit traitant principalement sur l'apparence et les sentiments du garçon suite à cette découverte:

"-Pourquoi ne me l'as tu pas dit avant ?

Si jusque là, le (C/C) a su gardé le contrôle de cette situation. Cette simple question vient de le déstabiliser et il ne pouvait plus mentir à son ami alors il redressa son regard pour le plonger dans celui de Millard qui avait une certaine confusion néanmoins toujours cette émotion douce et chaleureuse.

-J'étais distrait par ton regard.

Le garçon supposé invisible détourna aussitôt ses yeux de ses orbes (C/Y), la rougeur sur ses joues se fit plus sombre tandis qu'un silence s'abat sur la pièce. Et dire qu'il était persuadé qu'il ne saurait jamais la vraie nature de ses sentiments, il vient de se prendre une bonne gifle de la part de l'ironie.

Personne ne m'a donné ce regard. Tu as de beaux yeux revolvers.

(T/P) éclata de rire lorsque le particulier le fixa à nouveau avec un haussement de sourcil ce qui valut un sourire de Millard. Une fois calmée, le (C/C) s'approcha doucement de lui en chantant doucement les paroles d'une chanson à sa façon.

Il a les yeux revolvers.
Il a le regard qui tue.
Il a tiré le premier.
Il m'a touché c'est foutu."

L'adolescent déglutit alors que son ami continuait à rapprocher son visage du sien et après quelques secondes interminable leurs lèvres s'entrechoquèrent au plus grand bonheur de Millard qui émit un petit gémissement.

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One Shot &quot;Miss Peregrine Et Les Enfants Particuliers&quot;Où les histoires vivent. Découvrez maintenant