Jeu secret (Jimin X Reader)

Mauvaise pub

(t/p) : Mais un gosse de riche tueur de femme, quel mauvaise pub pour sa famille. Ils allaient tous perdre et pour ça, la seule chose qu'ils leurs restaient comme espoir c'était de se tourner vers un homme de la justice, vous...

Procureur : Je n'aime pas vos suppositions...

(t/p) : Ce ne sont pas des suppositions, mais la vérité. Et votre compte en banque en dit long.

Procureur : Pardon ? De quoi est ce que vous parlez ?

(t/p) : Vous avez reçu une très belle somme peu de temps après avoir innocenté ce garçon.

Procureur : Je ne vois pas de quoi vous parlez, et vous n'avez aucunes preuves.

(t/p) : Il sera facile de les avoir, après tout il a été facile de les trouver.

Procureur : Elles ne seront pas recevable !

(t/p) : Peut être mais je ne suis pas sûr que votre carrière apprécierai ce coup de pub. Vous savez, il est tellement simple de détruire une vie... Vous savez de quoi je parle n'est ce pas ?

Procureur : Qu'est ce que vous voulez ? De l'argent ? Que je vous fasse sauter des amendes ? 

(t/p) : On veut que justice soit faite...

Procureur : Impossible ! 

L'homme devenait de plus en plus nerveux, il tournait en rond dans son bureau. La panique le gagnait de plus en plus. 

(t/p) : Vous avez peur n'est ce pas ? 

Procureur : Peur ? Peur de quoi ? 

(t/p) : D'eux... Une famille de riche, avec l'argent on peut tout acheter et même briser des carrières. 

Procureur : Vous ne savez rien !

(t/p) : Oh si je sais ! Vous deviez accuser ce type de meurtre mais sa famille vous a menacé et vous a donné assez d'argent et une bonne pub pour acheter votre silence. Et maintenant, ils font partis des familles les plus puissantes du pays. Contrairement à cette pauvre famille qui après avoir perdu une fille et une soeur doivent vivre dans la misère en payant pour un crime qui ne sera jamais puni... 

Procureur : Je n'avais pas le choix ! 

(t/p) : Mais maintenant oui !

Procureur : Ils me le feront payer ! 

(t/p) : Ils auront d'autres problèmes à régler très bientôt.

L'homme se laissa tomber sur son siège et se tenait la tête dans ses mains. 

Procureur : Que voulez vous de moi...

(t/p) : Simplement que vous rouvrez l'enquête, pour le reste nous avons déjà ce qu'il faut. 

Procureur : Et ensuite ? 

(t/p) : Ensuite c'est à vous de vous faire pardonner, en commençant par cette pauvre famille. Elle ne méritait pas ça. 

Procureur : Ils vous écraseront vous aussi, après tout vous n'êtes que des enfants. 

(t/p) : Pas de simple enfants. Si c'est un adversaire de taille qu'ils veulent, alors ils en auront un... Ouvrez l'enquête de nouveau et vous verrez jusqu'où je peux aller. Et surtout, prévenez moi s'ils essayent de vous acheter de nouveau.