Aujourd’hui une nouvelle journée commence. Je suis dans mon bureau entrain de compléter des dossiers, de ce que j’ai pu voir déjà hier. Mes entretiens de ce matin, c’était très bien passer, comme je le voulais. Bien sûr, ce fameux Paul, m’a parlé, comme j’avais prévu. Une semaine était passé, et après avoir pris mes habitudes, je pouvais commencer à avoir des entretiens avec des prisonniers plus important. Et cette après-midi, je vais avoir mon entretien avec ce fameux Hayden.
Quand, d’un coup on toque à ma porte.
-Oui
-Bonjour madame Shady, répond le Directeur.
-Je voulais juste vous prévenir que l’entretien avec Hayden fregadero est annulé.
-Pourquoi ?
-Une bagarre, il doit se reposer, il ne peut pas bouger de sa cellule.
-Puis-je faire son entretien à sa cellule alors ?
-Je ne sais pas, je ne pense que ce soit le mieux pour votre sécurité.
-Il y a des caméras, donc vous pourrez vérifier, et je peux y aller pendant que les autres sont dehors.
-D’ accord, très bien. Mais tous ne vont pas dehors, je préfère vous prévenir.
-Ne vous en faites pas pour moi. J’y vais de ce pas le voir, pour faire mon rapport après.
Je pars, me dirigé vers les cellules. Il n’y qu’une cinquantaine de prisonniers encore. Parfait, moins il y en a, mieux c’est. Bien sûr en entendant mes talons claquer, ils se dirigent tous vers les barreaux. Certains m’appellent par mon prénom, d’autres font quelques réflexions. Mais je m’en fiche, je préfère me diriger vers ce qui m’intéresse.
J’arrive face à sa cellule, derrière tous les autres sont en cellules a deux ou quatre, sauf lui. Je peux voir un homme avec juste un pantalon en tissu fin, assis par terre, torse nu, on peut admirer tous ses tatouages. Il me regarde, enfin, je pense qu’il a fini par voir mon ombre. Il a les cheveux noir court, des yeux marron foncé voir même noir. On peut voir beaucoup de cicatrice sur le peu de peau qu’on voit.
-Monsieur Fregadero, je suis…
-Je sais qui vous étes.
Il avais un voix grave, une voix qui pourrait faire baisser les yeux a n’importe qui. Je comprend mieux pourquoi, les psychologue ne veulent pas s’occuper de lui.
-Parfait, alors vous savez pourquoi je suis là, j’aimerai qu’on discute.
-Et de quoi ?
-De vous.
-De moi ? Pourquoi ne pas parler de vous. Déclare-t-il en avançant vers les barreaux pour s’approcher de moi.
Le directeur me dit qu’il ne peut pas beaucoup bouger, mais ça plutôt allaire d’aller.
-Et bien, on pourrait mais ce n’est pas moi qui suis dans une cellule.
Je vois ses mains se crispaient, je crois qu’il n’aime pas que je lui réponde.
-Mes hommes ont fait des recherches sur vous…
-Oh je me disais bien que votre gang doit toujours être là pour vous.
-Je pense surtout qu’on se ressemble vous et moi.
-C’est vrai. Mes parents sont morts aussi. Mais j’ai fait le deuil, vous je ne pense pas. Sinon pourquoi reprendre le gang de votre père ?
-Et vous ? Pourquoi ne l’avoir pas repris ?
Je suis surprise, pourquoi dit-il ça.
-Mon père n’a fait partie de aucun gang, vous pourrez dire à vos hommes de faire mieux leurs recherches, car celle-ci sont complètements fausse.
Il rigole.
-Demain, nous nous reverrons, cette fois ci dans la salle, vous acceptez ?
-Ais-je le choix ?
-Non, mais je préfère que ce soit de vous-même que vous veniez. Alors à demain.
Avant que je ne tourne les talons, il me déclare :
-Attention, les caméras peuvent entendre ce qu’on dit, il ne faudrait pas qu’ils fassent de recherches sur vous.
Je me tourne à 90°, sourie et lui répond :
-Malheureusement, elles sont cassées, on ne peut rien entendre de ce qu’il s’est dit.
Et je pars.
Le reste de l’après-midi, je pensais à ce qu’il m’avait dit. Je ne comprends pas, mon père n’a jamais était ça. Alors pourquoi me l’avoir dit ? Surement pour me déstabiliser j’en suis sûr.
Mon père était un homme bon, humble, prêt à aider tout le monde. C’est vrai, qu’avec ma mère nous n’avons rien manqué, nous avons eu tout ce qu’on voulait. Mais ma mère m’a toujours expliqué que mon père travaillait très dur pour nous deux.
Quand ils sont mort, je suis passé de famille d’accueil a famille d’accueil, jusqu’à mes 18 ans j’ai pu prendre mon indépendance. Je me souviens quand j’étais plus jeune, toutes les moqueries de ne plus avoir de parents. Mais tout cela à bien changé, j’ai changé.
Une fois rentré chez moi, je cherche un vase. En rentrant j’ai vu un fleuriste pas très loin, j’ai donc acheté des roses rouges, mes fleurs préférés. J’aime sentir leur odeur. Mais je devais me dépêcher, ce soir j’ai un rendez-vous. Je prends vite une douche, enfile un jean un débardeur, des bottines et j’y vais.
Je retrouve mon rendez-vous dans une petite ruelle noir, seuls. Je retrouve Damien, un homme grand musclé, imposant, aux yeux vert et cheveux châtain.
-Nina, tout se passe bien ?
-Parfait, et-vous de votre côté ?
-Oui c’est nickel, mais beaucoup demande pourquoi vous n’êtes pas là. Je leur dis que vous êtes en mission.
-Merci Damien, c’est très bien.
-Vous pensez rester longtemps ?
-Oui, je pense qu’il va falloir du temps. Mais s’il y a un problème de votre côté, tu m’appelle, j’essaierai de venir.
-D’accord. Alors vous l’avez trouvé ?
-Oh oui, je l’ai trouvé, et je n’en suis pas déçu. Je t’en dirais plus pour la suite du plan.
J’allais partir, quand je lui déclare en tournant ma tête :
-Au faite Damien, sur la liste tu pourras mettre deux hommes en moins.
-Mais j’en ais vu qu’un qui a était trouver.
-Demain, il y en aura un deuxième.
Et je repars chez moi.
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Un jeu dangereux
ActionUne nouvelle vie commence, dans cette prison. je suis psychologue en prison et fais le tours de toutes celles du pays. Enfin j'atteind mon plan de faire celle là plus dangereuse du pays. Je ferai la rencontre, là-bas, de Hayden fregadero, le crimine...